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Publié dans Médecine d'Afrique Noire 4703 - Mars 2000 - pages 165-168
Auteurs : Qi Li Ya, Z. Ouattara, K. Ouattara - Mali
Il s’agit d’une étude rétrospective ayant concerné 34 dossiers de fistules vésico-vaginales colligés à l’Hôpital National de KATI de juillet 98 à avril 1999 soit une période de 10 mois. Encore une fois l’étude a permis de vérifier certaines vérités en la matière, ce sont :
Il s’agit essentiellement de fistules de la cloison vésico-vaginale (70,6 %), associées dans 2 cas à une fistule recto-vaginale. Les fistules géantes, diamètre supérieur à 3 cm, représentent 8,8 % (3 cas). La série compte 18 fistules de première main soit 52,9 % des cas. La majorité des fistules ont été opérées par voie basse (61,8%) et dans 85,3 % des cas l’opération a consisté en une fistuloraphie et dans les trois cas de fistules géantes une fistuloplastie. Le résultat général est bon avec 85,5 % de fistules guéries, miction spontanée rétablie, pas de fuite urinaire et dans les autres cas une insuffisance sphinctérienne a persisté. Ainsi la FVV reste un problème d’actualité de santé publique au Mali. La solution viendra dans l’amélioration de l’aide obstétricale surtout en milieu rural.
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