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Publié dans Médecine d'Afrique Noire 4807 - Juillet 2001 - pages 321-324
Auteurs : M. OUEDRAOGO, M. BAMBARA, A.Z. ZOUBGA, S.M. OUEDRAOGO, G. OUEDRAOGO, C. KI, E. BIRBA, K. BONCOUNGOU, Y.J. DRABO - Burkina Faso
Le but de cette étude a été de mettre en évidence des difficultés de la pratique de la thérapie anti-rétrovirale dans les conditions actuelles et d'en tirer les enseignements.
C'est une étude rétrospective de septembre 1998 à janvier 2000. Elle inclut des malades hospitalisés du service de pneumo-phtisiologie du Centre Hospitalier National Yalgado OUEDRAOGO de Ouagadougou, ou référé par d'autres services extérieurs à l'hôpital. Le suivi de 34 malades dont 26 sous bi-thérapie et 8 sous tri-thérapie a révélé seulement 16 mois après son début, 11 cas d'interruption de traitement et 4 cas de décès. Le premier contrôle du taux de CD4, seul critère d'appréciation de l'évolution biologique réalisable au Burkina Faso, chez 16 malades a révélé son accroissement de 350 % pour bi-thérapie et 700 % pour la tri-thérapie.
Cette étude qui rapporte 169 cas de malades séropositifs dans le service sur 266 testés, pendant la même période, pose la problématique du choix stratégique dans la prise en charge médicale des malades du SIDA dans le contexte actuel des pays en développement.
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