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Publié dans Médecine d'Afrique Noire 5613 - Hors série SARANF 2009 - pages 713-716
Auteurs : K. TOMTA, H.D. SAMA, P. EGBOHOU, T. MOUZOU, M. CHOBLI - Togo
Introduction
L’amélioration de la prise en charge anesthésique qui conduit à proposer des techniques dont l’innocuité est reconnue, l’intérêt porté à la prévention et au traitement de la douleur postopératoire, ou encore le développement de la chirurgie ambulatoire sont les facteurs qui ont participé au regain de la pratique des blocs ilio-inguinal ilio-hypogastrique dans les pays occidentaux. Ceci n’est pas le cas dans les pays du sud où, la cure de hernie représente parfois le 2ème motif d’intervention en chirurgie viscérale. Dans ces environnements peu équipés, la rachianesthésie et l’anesthésie générale constitue les techniques de référence avec des taux de morbidité et de mortalité élevés. Or la quasi-totalité des études publiées sur le sujet confirme la supériorité de la technique d’anesthésie loco-régionale par bloc ilio-inguinal ilio-hypogastrique et génito-fémoral (BIIG) ou locale plan par plan sur toutes les autres techniques dont l’anesthésie générale et la rachianesthésie.
Il y a donc là un véritable enjeu à développer une technique qui permet de soutenir la diffusion d’un mode de prise en charge qui allie sécurité de la pratique, amélioration de la satisfaction des patients, notamment en termes de prise en charge de la douleur post-opératoire, et diminution des coûts.
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