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Publié dans Médecine d'Afrique Noire 5301 - Janvier 2006 - pages 11-14
Auteurs : SOLOFOMALALA GD, RAKOTOMALALA JY, RAKOTOARISOA AJC, RAZAFINDRAMBOA H, RANAIVOZANANY A - Madagascar
Vingt deux dossiers de malades opérés pour anévrisme de l’aorte abdominale de décembre 1989 jusqu’à décembre 2000 ont été étudiés. Le sex-ratio a été de 2,7. Nos malades avaient en moyenne 62 ans. L’hypertension artérielle représentait le principal facteur de risque. L’anévrisme était symptomatique dans 64 % des cas et rompu dans 14 % des cas. L’échographie constituait l’examen de première intention pour le diagnostic et le suivi. Comme attitude chirurgicale, nous avons choisi la «mise à plat greffe» par voie médiane xyphopubienne et transpéritonéale. Le taux de mortalité a été de 27 % pour les interventions réglées et de 100 % pour les cures en catastrophe d’anévrisme de l’aorte abdominale.
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