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Publié dans Médecine d'Afrique Noire 5302 - Février 2006 - 79-82
Auteurs : TIEMBRE I., DAGNAN S., ZENGBE P., BENIE J., EKRA D., KONE AB., N’GUETTA K.O, KOFFI N M., KOFFI K., TAGLIANTE-SARACINO J. - Côte d'Ivoire
Notre étude réalisée au dispensaire antivénérien
(DAV) de l’Institut National d’Hygiène Publique d’Abidjan
avait pour objectif d’étudier les cas d’herpès génital
reçus et pris en charge dans ce service de janvier 1994 à juillet
2000. Nous avons retrouvé 250 cas d’herpès génital
sur un total de 18 069 consultants soit une prévalence globale de 1,4
%.
Les patients présentant l’herpès génital étaient
en majorité des hommes (91 %); Célibataires dans (70 %) dont l’age
était compris entre 20 et 39 ans (88 %) et exerçant un métier
dans 63,70 % des cas.
Les principaux sièges des lésions étaient le sillon balano-prépucial
chez l’homme (64 %) et chez la femme au niveau des grandes lèvres
(71 %).
62 % des patients avaient consulté pour primo-infection contre 38 % de
récurrence (2 à 4 chez le même patient).
L’association herpès génital avec les autres Infections
Sexuellement Transmissibles a été retrouvée.
Il ressort de cette étude que l’herpès génital occupe
une place non négligeable dans les consultations au dispensaire antivénérien
de l’Institut National d’Hygiène Publique, et l’évolution
est marquée par plusieurs récurrences chez le même malade.
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