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Médecine d'Afrique noire

Publié dans Médecine d'Afrique Noire 5403 - Mars 2007 - pages 161-165

Prise en charge chirurgicale des tumeurs ovariennes bénignes : à propos de 120 cas à Libreville   Article Open access   note

Auteurs : PITHER S., MAYI TSONGA S., DANKORO A., NDOMBI ONNAS I., OGOWET IGUMU N., KASIA JM - Gabon


Résumé

Objectifs : Connaître la fréquence de la pathologie ovarienne opérée dans le service, la fréquence respective des deux voies d'abord (laparotomie et coelioscopie) dans la prise en charge des kystes ovariens et le type histologique le plus fréquent.
Matériel et Méthode : C'est une étude rétrospective faite à partir de 120 patientes porteuses d'une tumeur annexielle bénigne, unilatérale ou bilatérale, de nature kystique ou solide qui ont bénéficié d'un traitement chirurgical, conventionnel ou coelio-chirurgical. La période d'étude s'étend de janvier 2000 à décembre 2003. Le service de chirurgie gynécologique du Centre Hospitalier de Libreville a été le cadre de cette étude. Nous avons exclu les tumeurs borderline et tumeurs malignes de l'ovaire.
Résultats : La fréquence du traitement chirurgical des kystes ovariens a représenté 8 % des interventions gynécologiques. L'âge moyen a été de 28ans (extrêmes 17-64). La parité moyenne a été de 4 (extrêmes 0-10). 12 % de nos patientes avaient des antécédents de chirurgie pelvienne. 78 % (94/120) des kystes ont été opérés par laparotomie contre 22 % (26/120) par coelioscopie. On a noté aucune complication ni conversion au cours du traitement coelioscopique, aucune complication après laparotomie. Le type histologique le plus fréquent a été le cystadénome séreux. La durée moyenne de séjour a été de 2 jours (extrêmes j0-j3) pour la coelioscopie et de 6 jours pour laparotomie (extrêmes 5j-10j).
Conclusion : L'exérèse coelio chirurgicale des kystes de l'ovaire doit être une technique privilégiée par rapport à laparotomie en raison de ces nombreux avantages. Le caractère récidivant de cette pathologie fréquente chez la femme en période d'activité génitale nous recommande un traitement coelio-chirurgical dans la mesure du possible, afin d'éviter une augmentation des pelvis cicatriciels. Toutefois, la laparotomie serait indiquée pour des masses abdomino-pelviennes.

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