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Infomed | Sénégal | 28/06/2024 | Lire l'article original
L’accueil dans les structures sanitaires a toujours posé un réel problème aux populations. A l’occasion de la cérémonie de clôture du projet mtaps de l’Usaid sur les médicaments, technologies et services hier, le secrétaire général du ministère de la Santé a soutenu que les autorités sont conscientes qu’un bon accueil constitue la moitié du traitement d’un malade.Les autorités sont décidées à résoudre le mauvais accueil dans les structures sanitaires. Selon le Secrétaire général du ministère de la Santé, Serigne Mbaye, la qualité des soins est au cœur de leurs préoccupations.«Nous sommes conscients qu’un bon accueil constitue la moitié du traitement d’un malade.
C’est la conviction du ministre et de l’ensemble du personnel de santé. Et nous y travaillons et nous essayons de former notre personnel. Mais aussi de définir des démarches de qualité», dit il.
A l’en croire, lorsque le ministre de la Santé a pris fonction, il a manifesté son ambition de réorganiser, surtout par rapport à l’accueil aux urgences.«Il a même tenu une réunion de grande envergure où tous les spécialistes étaient réunis pour aborder cette question au niveau de la néonatologie, des maternités, des postes de santé. Nous avons toujours mis l’accent sur ce premier contact avec le malade. Parce que nous sommes des citoyens qui fréquentent aussi les structures de santé , a-t-il fait savoir.Selon M. Mbaye, quand vous êtes bien accueillis, ce n’est pas la même chose que si vous n’êtes pas bien accueillis.
«Et nous essayons de mettre l’accent làdessus, de former davantage mais également de sanctionner ceux qui seraient pris dans un mauvais comportement par rapport à cet accueil qui est primordial», avertit-il.Revenant sur le projet Mtaps, Serigne Mbaye est d’avis qu’il a permis au ministère de la Santé de prendre des axes très forts dans la lutte antimicrobienne mais également la protection contre les infections« Et nous avons des expériences dans les hôpitaux, à Dakar et dans les régions, qui ont été partagées.
Et cette séance permet de mettre en avant les bonnes pratiques, les résultats qui ont été engrangés. Parce que pendant 6 ans, on a pu former le personnel de santé, installer des habitudes et des aptitudes qui permettent de changer les comportements au niveau des structures sanitaires», explique-t-il
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