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Sidwaya | Burkina Faso | 11/03/2014 | Lire l'article original
Le projet : « Supporter l’utilisation des résultats de la recherche dans la prise de décision », communément appelé projet SURE, a pris fin, par la rencontre de Ouagadougou, tenue le 10 mars 2014. Elle a regroupé les pays membres dudit projet, notamment, le Burkina Faso, le Cameroun, la République centrafricaine, le Congo, le Mozambique, la Zambie, le Kenyan et l’Ouganda. Ce projet, lancé en 2009, à Kampala, en Ouganda, a eu un impact positif dans les pays bénéficiaires. La responsable nationale au Burkina Faso, Mme Salimata Ki/Ouédraogo, a révélé qu’au Burkina Faso, ce projet a éclairé les prises de décision en santé et a permis de réduire le taux de mortalité. Elle a expliqué que des équipes ont été formées dans chaque pays pour aider le gouvernement à prendre les meilleures décisions en matière de santé. Le projet prend fin, dit-elle, mais les équipes qui ont été formées dans les différents pays continueront les activités de renforcement des capacités des acteurs intervenant dans la prise de décision. Elle estime que le bilan est positif, dans l’ensemble.
Valoriser les résultats de la recherche et éclairer les prises de décisions politiques
Selon Mme Salimata Ki/Ouédraogo, le département de la santé a été associé au projet. Elle a précisé que, dès le début, chaque pays a cherché les résultats sur les sites et les a adaptés à son contexte. Partant de là, des propositions d’actions ont été faites aux politiques, qui, après discussion, ont pris les décisions nécessaires. De l’avis du secrétaire général du ministère en charge de la santé, Amédée Prosper Djiguemdé, le présent atelier se tient dans un contexte mondial de valorisation des résultats de la recherche pour éclairer les décisions politiques. « La recherche pour la santé représente, aujourd’hui, l’une des principales voies permettant une amélioration véritable de la santé des population », a-t-il soutenu. Il a, par ailleurs, cité les quatre notes de politiques sanitaires que le Burkina a élaborées ; à savoir, celles portant sur la réduction de la mortalité maternelle, l’amélioration des allocations budgétaires pour la santé, la viabilisation de l’assurance maladie universelle et l’accélération de la réduction du tabagisme.
Il a souligné qu’il reste à mieux capitaliser et orienter les acquis des recherches menées, pour les traduire en actions favorables à l’amélioration de la santé de la population.
Aimée Florentine KABORE
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