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Médecine d'Afrique Noire

Médecine d'Afrique Noire N° 5206 - Juin 2005

Médecine d'Afrique Noire

N° 5206 - Juin 2005

Editeur : APIDPM Santé tropicale
Langue(s) de publication : Français
Edition papier : ISSN 0465-4668
Edition électronique : ISSN 2490-9971
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Il y a actuellement 2393 articles.


Archives (par année de publication)

Sommaire du N° 5206 - Juin 2005

Professeur Jean-Robert Mabiala Babela Le paludisme chez l’enfant de plus de 5 ans au CHU de Brazzaville
J.R. MABIALA-BABELA, H. LOUBOVE, T. BANSIMBA, K.R. NTSILA, A. MOUKO, P. SENGA - Congo-Brazzaville - pages 325-328


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Professeur Jean-Robert Mabiala Babela Le paludisme chez l’enfant de plus de 5 ans au CHU de Brazzaville Le paludisme chez l’enfant de plus de 5 ans au CHU de Brazzaville est évalué 1,5 étoiles

Auteurs : J.R. MABIALA-BABELA, H. LOUBOVE, T. BANSIMBA, K.R. NTSILA, A. MOUKO, P. SENGA - Congo-Brazzaville
Publié en Français dans Médecine d'Afrique Noire 5206 - Juin 2005 - pages 325-328


Résumé

Dans une étude transversale réalisée du 1er janvier au 31 décembre 2002 au Centre Hospitalier et Universitaire de Brazzaville, 415 dossiers d’enfants de plus de 5 ans atteints de paludisme ont été analysés. Leur âge était compris entre 5 et 10 ans dans 69,6 % des cas. Les formes graves, les plus fréquentes (66,5 %), étaient dominées par les anémies (43,6 %) et les formes neurologiques (22,2 %) ; l’atteinte rénale était rare (0,5 %). Première cause de décès, le paludisme se situait en quatrième position parmi les affections les plus létales.
Les principales mesures de lutte contre le paludisme doivent s’appliquer avec la même rigueur à cet âge : assainissement du milieu, usage de la moustiquaire imprégnée, administration d’un traitement présomptif précoce et adapté.




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Tuberculose ostéo-articulaire des membres. A propos de 16 cas
J.C. DABOIKO, D.D. OUEDRAOGO, E. ETI, J.F. NIKIEMA, M. GBANE, M. KOUAKOU N’ZUE - Côte d'Ivoire - pages 329-332


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Tuberculose ostéo-articulaire des membres. A propos de 16 cas Tuberculose ostéo-articulaire des membres. A propos de 16 cas est évalué 2,25 étoiles

Auteurs : J.C. DABOIKO, D.D. OUEDRAOGO, E. ETI, J.F. NIKIEMA, M. GBANE, M. KOUAKOU N’ZUE - Côte d'Ivoire
Publié en Français dans Médecine d'Afrique Noire 5206 - Juin 2005 - pages 329-332


Résumé

Objectif : Déterminer les caractéristiques épidémiologiques et sémiologiques de la tuberculose ostéoarticulaire des membres en milieu hospitalier ivoirien.
Patients et méthodes : Etude rétrospective menée en milieu hospitalier à Abidjan, à propos de 16 cas de tuberculose des membres sur une période de quatre ans.
Résultats : La prévalence de la tuberculose des membres était de 13,44 % toutes localisations confondues. Onze hommes et cinq femmes étaient concernés avec une moyenne d’âge de 41 ans. Sept patients ne présentaient aucun facteur favorisant. Deux malades étaient connus VIH positif. Le mode d’installation de la douleur, principal signe fonctionnel, était insidieux et un syndrome d’imprégnation tuberculeuse dominait les signes généraux. Le tableau clinique était le plus souvent celui d’une ostéoarthrite (10 cas). L’ostéite et l’arthrite isolées représentaient respectivement deux et quatre cas. Les localisations à la hanche (11 cas) et au genou (trois cas) étaient les plus fréquentes.
Conclusion : En milieu hospitalier ivoirien, la tuberculose des membres est en nette recrudescence. La pandémie du VIH associée à la tuberculose pulmonaire, pourrait être en cause.




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La morbidité et mortalité liées à l’hypertension artérielle et aux valvulopathies dans le district de Bamako
Y. COULIBALY, M. KONE, M. SACKO, A. DIAWARA, M. DIARRA, A. DICKO, A. SANGHO, MK TOURE - Mali - pages 333-337


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La morbidité et mortalité liées à l’hypertension artérielle et aux valvulopathies dans le district de Bamako La morbidité et mortalité liées à l’hypertension artérielle et aux valvulopathies dans le district de Bamako est évalué 1 étoiles

Auteurs : Y. COULIBALY, M. KONE, M. SACKO, A. DIAWARA, M. DIARRA, A. DICKO, A. SANGHO, MK TOURE - Mali
Publié en Français dans Médecine d'Afrique Noire 5206 - Juin 2005 - pages 333-337


Résumé

Le but de ce travail était d'évaluer la morbidité et la mortalité de l'hypertension artérielle et des valvulopathies dans le district de Bamako. Elle a été initiée dans le cadre du cours supérieur d'épidémiologie de l'OMS à Bamako.
Notre étude, transversale et rétrospective a été réalisée à partir d'une enquête communautaire et un dépouillement des registres d'hospitalisation des services de cardiologie. L'enquête a porté sur un échantillon représentatif de 603 adultes âgés de 20-65 ans et de 343 enfants de la tranche d'âge de 5-15 ans repartis en trois strates selon le degré d'urbanisation de la ville
L'analyse a été effectuée sur 1119 hospitalisations sur une période de 12 mois du 1er janvier au 31 décembre 2001.
Résultats : La population enquêtée pour l'hypertension artérielle était caractérisée par une prédominance du sexe féminin (63,8 %) et une moyenne d'âge de 35,5 %. La prévalence de l'HTA était de 16,1 % avec une fréquence élevée chez les sujets de plus de 40 ans; elle n'était pas liée au sexe (p = 0,001) Dans la population enquêtée pour la valvulopathie, le sexe féminin prédominait également (58,9 %) , la moyenne d'âge était de 9,74 ans et la prévalence de 1,8 % était comparable dans les deux sexes Le taux de létalité hospitalière de l'H TA et des valvulopathies à l'hôpital du point G et du Gabriel Touré, étaient respectivement de 11,1 % à 13,8 % et de 4,7 % à 8,7 %.
Conclusion : cette première évaluation communautaire des pathologies cardiovasculaires a montré une fréquence élevée de l'HTA (16,3 %). L'âge supérieur à 40 ans et l'obésité étaient les facteurs de risque associés à l'HTA.




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Localisation orbitaire primitive d’un lymphome malin non hodgkinien. A propos d’une observation chez un enfant malagasy
H.L. RANDRIANARISOA, J.T.M. RANDRIAMORA, N.H.J. RALIBERT, J.R. ANDRIANTSOA, D. GIZY RATIAMBAHOAKA, E. RASIKINDRAHONA, P. BERNARDIN, V. ANDRIANTSOA RASAOVELONORO - Madagascar - pages 339-342


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Localisation orbitaire primitive d’un lymphome malin non hodgkinien. A propos d’une observation chez un enfant malagasy Localisation orbitaire primitive d’un lymphome malin non hodgkinien. A propos d’une observation chez un enfant malagasy est évalué 1,5 étoiles

Auteurs : H.L. RANDRIANARISOA, J.T.M. RANDRIAMORA, N.H.J. RALIBERT, J.R. ANDRIANTSOA, D. GIZY RATIAMBAHOAKA, E. RASIKINDRAHONA, P. BERNARDIN, V. ANDRIANTSOA RASAOVELONORO - Madagascar
Publié en Français dans Médecine d'Afrique Noire 5206 - Juin 2005 - pages 339-342


Résumé

Introduction : Le lymphome non hodgkinien (LMNH) se définit comme une prolifération maligne développée aux dépens des lymphocytes et débutant dans les différentes structures lymphoïdes de l’organisme humain. La localisation orbitaire du LMNH survient fréquemment chez le sujet âgé aux alentours de 60 ans. Mais, elle est assez exceptionnelle chez l’enfant. Nous rapportons le cas d’une jeune fille présentant une localisation orbitaire du LMNH.
Observation : Jeune fille, âgée de 7 ans avec un antécédent oculo-orbitaire à type de chalazions répétés, présentait une exophtalmie droite inflammatoire, latéralisée,d’évolution rapide secondaire à une tumeur orbitaire supéro-latérale droite associée à une adénopathie isolée prétragienne droite. Cette exophtalmie était compliquée d’une kératite grave d’exposition ayant entraînée une perte fonctionnelle de cet œil. Le bilan biologique révélait une accélération de la vitesse de sédimentation sanguine, et une hypoplaquettose. Le bilan morphologique était limité à une échographie orbitaire, une scintigraphie gamma-caméra, une radiographie du crâne en incidence de Blondeau et de profil droit qui révélait une masse intra-orbitaire hypervascularisée, faute de scanner et d’IRM. Il a été décidé de faire une biopsie tumorale à visée diagnostique. La pièce biopsique, envoyée pour l’examen anatomo-pathologique révélait un lymphome non hodgkinien orbitaire.
Conclusion : La localisation orbitaire du LMNH chez l’enfant, bien qu’exceptionnelle, doit être présent à l’esprit devant toute exophtalmie d’évolution rapide.
La limite de notre étude réside dans l’absence du TDM par sa précision.




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Docteur Ogou Kévin Elie Digbeu Adénocarcinome caecal révélé par une appendicite aiguë perforée
T. ABITA, F. MAISONNETTE, N. PICHON, F. LACHACHI, S. DURAND-FONTANIER, D. VALLEIX, B. DESCOTTES - France - pages 343-344


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Docteur Ogou Kévin Elie Digbeu Adénocarcinome caecal révélé par une appendicite aiguë perforée Adénocarcinome caecal révélé par une appendicite aiguë perforée est évalué 1 étoiles

Auteurs : T. ABITA, F. MAISONNETTE, N. PICHON, F. LACHACHI, S. DURAND-FONTANIER, D. VALLEIX, B. DESCOTTES - France
Publié en Français dans Médecine d'Afrique Noire 5206 - Juin 2005 - pages 343-344


Résumé

La découverte d’un adénocarcinome cæcal au décours d’une appendicite aiguë perforée est très rare (1,9 %). Nous rapportons un cas de cancer cæcal chez un patient opéré pour une péritonite appendiculaire. La prise en charge en urgence de la pathologie appendiculaire ne permet souvent pas de réaliser des investigations paracliniques en préopératoire, et sont probablement responsables du petit nombre de cas rapportés. Le pronostic des cancers cæcaux ou coliques proximaux découverts au décours d’une appendicite est mauvais, probablement en rapport avec le fait que l’affection n’a pas été diagnostiquée lors de la chirurgie première. Une masse cæcale pseudo tumorale découverte lors d’une chirurgie pour une appendicite présumée pose un dilemme au chirurgien qui doit décider de la meilleure attitude à adopter.




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Connaissance et pratique de la contraception par les patientes admises pour avortement provoqué clandestin à la clinique de Gynécologie-Obstétrique du CHU Tokoin - Lomé
K. AKPADZA, K. AGBA, V. TETE, S. BAETA, A. ATTIGNON, K. ADABRA, A.K.S. HODONOU - Togo - pages 345-351


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Connaissance et pratique de la contraception par les patientes admises pour avortement provoqué clandestin à la clinique de Gynécologie-Obstétrique du CHU Tokoin - Lomé Connaissance et pratique de la contraception par les patientes admises pour avortement provoqué clandestin à la clinique de Gynécologie-Obstétrique du CHU Tokoin - Lomé est évalué 1 étoiles

Auteurs : K. AKPADZA, K. AGBA, V. TETE, S. BAETA, A. ATTIGNON, K. ADABRA, A.K.S. HODONOU - Togo
Publié en Français dans Médecine d'Afrique Noire 5206 - Juin 2005 - pages 345-351


Résumé

L’avortement provoqué clandestin, devenu une préoccupation quotidienne à la clinique de Gynécologie-Obsté-trique du CHU Tokoin-Lomé, suscite inquiétudes et interrogations eu égard à la vulgarisation de la contraception au Togo et la multiplication des Centres de Planification Familiale à Lomé. Pour répondre aux interrogations, identifier les causes des avortements provoqués clandestins reçus à la clinique, et déterminer le profil des patientes, nous avons mené une étude portant sur la connaissance et la pratique de la contraception par les responsables de cet acte.
Les résultats suivants ont été obtenus :

  • - la moyenne d’âge des patientes était de 22 ans,
  • - les âges extrêmes étaient 13 ans et 44 ans,
  • - 32,57 % des patientes étaient analphabètes,
  • - 19,70 % étaient élèves,
  • - 83,33 % étaient célibataires,
  • - 85,60 % des patientes connaissaient l’existence des méthodes modernes de contraception ; 22,72 % ignoraient le lieu où elles peuvent se procurer ces méthodes.

Les décideurs de l’avortement étaient la gestante (48,49 % des cas), le procréateur (29,54 % des cas), le couple (12,12 % des cas), les parents (9,85 % des cas).
Trois principaux motifs ont été évoqués pour interrompre la grossesse. Il s’agissait des motifs socio-professionnels (39,40 %), des motifs familiaux (29,54 %), des motifs économiques (21,21 %).
L’inconscience (43,18 %), l’ignorance des méthodes contraceptives (14,40 %), le refus du partenaire (12,87 %), l’insuffisance de l’information (12,12 %) et la peur des effets secondaires des contraceptifs (8,33 %) ont été cités par les patientes pour justifier la non-utilisation des méthodes contraceptives.
Ces résultats recommandent le renforcement de la communication pour le changement de comportement chez nos patientes en activité génitale.




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Parasitoses intestinales en Afrique Noire : prévalence chez les étudiants entrant à l’Université de Yaoundé I en 2001, en prévision de leur traitement par les extraits de plantes
E. FAKAM TAKOUEKO, G. DEMMANO - Cameroun - pages 353-360


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Parasitoses intestinales en Afrique Noire : prévalence chez les étudiants entrant à l’Université de Yaoundé I en 2001, en prévision de leur traitement par les extraits de plantes Parasitoses intestinales en Afrique Noire : prévalence chez les étudiants entrant à l’Université de Yaoundé I en 2001, en prévision de leur traitement par les extraits de plantes est évalué 1 étoiles

Auteurs : E. FAKAM TAKOUEKO, G. DEMMANO - Cameroun
Publié en Français dans Médecine d'Afrique Noire 5206 - Juin 2005 - pages 353-360


Résumé

Nous avons analysé par la méthode coprologique directe les selles de 2205 étudiants. 354 (16 %) sont infectés, la différence de prévalence de parasitose entre les sexes n’est pas significative. 93.2 % des étudiants infectés sont porteurs d’un seul parasite et 6.8 % présentent une double infection. Les espèces parasitaires sont Entamoeba histolytica (5.7 %), levures (4.8 %), Ascaris lumbricoïdes (3.5 %), Entamoeba coli (2.2 %), Trichuris trichuira (0.5 %), Necator americanus (0.4 %). Lorsqu’il y’a double infection, les helminthes sont associés entre eux, les amibes sont associées entre elles et aux levures, les associations parasitaires sont spécifiques selon les provinces.




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Manifestations inaugurales du diabète chez l’adulte congolais de plus de 40 ans
H.G. MONABEKA, E. BOUENIZABILA, P. KIBEKE - Congo-Brazzaville - pages 361-365


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Manifestations inaugurales du diabète chez l’adulte congolais de plus de 40 ans Manifestations inaugurales du diabète chez l’adulte congolais de plus de 40 ans est évalué 1 étoiles

Auteurs : H.G. MONABEKA, E. BOUENIZABILA, P. KIBEKE - Congo-Brazzaville
Publié en Français dans Médecine d'Afrique Noire 5206 - Juin 2005 - pages 361-365


Résumé

Le but de cette étude est de décrire les manifestations cliniques et biologiques lors de la découverte du diabète dans une population adulte de plus de 40 ans. Ce travail rétrospectif mené de janvier 1999 à juillet 2002 repose sur une cohorte de 262 diabétiques nouvellement diagnostiqués et hospitalisés dans le service des maladies métaboliques et endocriniennes du CHU de Brazzaville.
La population étudiée se compose de 143 hommes et 119 femmes ayant 48,7 ± 6,7 d’âge moyen. Soixante dix neuf patients ont moins de 49 ans (groupe 1) et 183 ont 50 ans ou plus (groupe 2). La prévalence des signes classiques du diabète (polyurie, polydipsie) est de 86 % dans le groupe 1, et de 68,8 % dans le groupe 2 (p < 0,05). La durée moyenne des symptômes avant l’hospitalisation est de 4 semaines dans les deux groupes. Le coma céto-acidosique ou une cétose simple inaugure le diabète respectivement dans 17,2 % et 48,1 % dans le groupe 1 contre 4,4 % et 13,1 % dans le groupe 2 (p < 0,05). Les accidents vasculaires cérébraux inaugurent plus fréquemment la maladie dans le groupe 2. Certaines manifestations inaugurales du diabète chez l’adulte congolais rejoignent celles décrites par les différents auteurs africains.




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Complications de la circoncision rituelle
O. ABDOU RAOUF, A. JOSSEAUME, R. TCHOUA - Gabon - pages 366-368


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Complications de la circoncision rituelle Complications de la circoncision rituelle est évalué 1 étoiles

Auteurs : O. ABDOU RAOUF, A. JOSSEAUME, R. TCHOUA - Gabon
Publié en Français dans Médecine d'Afrique Noire 5206 - Juin 2005 - pages 366-368


Résumé

La circoncision rituelle en Afrique est le plus souvent pratiquée par des personnes plus compétentes en liturgie qu’en chirurgie. Les auteurs rapportent 65 observations de complications de circoncisions colligées sur 5 ans dans le service d’accueil des urgences (Oxyologie) du Centre Hospitalier de Libreville. Ils ont identifié deux types de complications d’importance variable, mais exigeant le plus souvent un ou plusieurs gestes en urgence avec une mortalité non négligeable.




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Profil des patients atteints d’infections sexuellement transmissibles au dispensaire anti-vénérien de l’INSP d’Abidjan
B. TOURE, N.M. KOFFI, O. AKE, J. ESSAN, J. DIARRA-NAMA - Côte d'Ivoire - pages 369-374


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Profil des patients atteints d’infections sexuellement transmissibles au dispensaire anti-vénérien de l’INSP d’Abidjan Profil des patients atteints d’infections sexuellement transmissibles au dispensaire anti-vénérien de l’INSP d’Abidjan est évalué 1 étoiles

Auteurs : B. TOURE, N.M. KOFFI, O. AKE, J. ESSAN, J. DIARRA-NAMA - Côte d'Ivoire
Publié en Français dans Médecine d'Afrique Noire 5206 - Juin 2005 - pages 369-374


Résumé

Les infections sexuellement transmissibles (IST), de part leur fréquence et leur gravité, constituent de véritables problèmes de santé publique dans les pays en développement, notamment en Côte d’Ivoire, pays le plus touché en Afrique de l’ouest. Depuis l’avènement du VIH/SIDA, ces infections classiques ont connu un regain d’intérêt à l’origine de l’accentuation des campagnes de sensibilisation. Malgré tous ces efforts, les comportements sexuels à risque restent répandus dans la population.
Les auteurs ont mené une étude transversale descriptive, d’une durée de 2 mois, auprès de 167 patients consultant le Dispensaire antivénérien (DAV) de l’Institut National de Santé Publique (INSP) d’Abidjan, Côte d’Ivoire, dont l’objectif général était de décrire le profil des patients atteints d’IST. Le recrutement s’est fait tous les jours ouvrables auprès de tous les patients qui ont consulté pendant la durée de l’étude. Elle a retrouvé une prédominance masculine des patients (sex-ratio = 1,22). La population d’étude était jeune : la moyenne d’âge était de 28,83 ans.
Les patients enquêtés avaient eu des rapports sexuels précoces, pendant l’adolescence. Ces rapports étaient beaucoup plus précoces chez les sujets de sexe féminin (16,7 ans) que ceux de sexe masculin (17,5 ans) : p = 0,032945.
Dans l’ensemble, le niveau de connaissance des patients relatif aux IST/VIH/SIDA était bon chez 120 (71,9 %) patients, moyen chez 33 patients (19,7 %) et faible chez 14 patients (8,4%). Les mass médias étaient le canal d’information le plus cité : 100 % des patients. Les parents étaient cités par 2,3 % des patients.
Malgré cette bonne connaissance, les patients ont toujours des comportements à risques, notamment marqués par le port irrégulier de préservatifs.
39 patients soit 23,4 %, ont effectivement fait le test de dépistage du VIH sur les 117 patients qui avaient accepté de le faire : 28,2 % étaient séropositifs.




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L’hysterectomie par voie vaginale à la clinique gynécologique et obstétricale du CHU A. Le Dantec
D. DIALLO, M.R. SY, S.M.K GUEYE, J.C. MOREAU - Sénégal - pages 376-378


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L’hysterectomie par voie vaginale à la clinique gynécologique et obstétricale du CHU A. Le Dantec L’hysterectomie par voie vaginale à la clinique gynécologique et obstétricale du CHU A. Le Dantec est évalué 1 étoiles

Auteurs : D. DIALLO, M.R. SY, S.M.K GUEYE, J.C. MOREAU - Sénégal
Publié en Français dans Médecine d'Afrique Noire 5206 - Juin 2005 - pages 376-378


Résumé

Introduction : Alternative à la voie abdominale, la chirurgie par voie basse très courante en Occident est encore peu pratiquée en Afrique.
Objectif : Evaluer les résultats de cette chirurgie dans notre service à travers les complications qui ont été relevées.
Patientes et méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective s’étalant de janvier 2000 à juillet 2003 et portant sur des patientes ayant bénéficié d’une hystérectomie par voie vaginale.
Résultats : Cette intervention représente 13,7% des hystérectomies réalisées dans le service. Elle a été proposée à 17 patientes âgées en moyenne de 58 ans avec des extrêmes de 40 et 80 ans. La parité moyenne était de 7. La seule indication était la cure d’un prolapsus génital. La durée moyenne du temps vaginal était de 50 minutes avec des extrêmes de 35 à 60 minutes. Les pertes sanguines étaient négligeables. Nous avons enregistré un cas de plaie vésicale. Les suites opératoires furent simples avec une durée d’hospitalisation de 5 jours avec des extrêmes de 4 à 6 jours.
Conclusion : Les bons résultats enregistrés nous poussent à élargir nos indications et à privilégier la voie basse à chaque fois qu’elle est possible.




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L’intoxication aiguë chez l’enfant en milieu rural malgache
M.R. RASOLOHERIMAMPIONONIAINA, N.E. RAVELOSON, T.MD. RAOELISON, M.D. RAMAROSON, A. RAMIALIHARISOA - Madagascar - pages 379-381


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L’intoxication aiguë chez l’enfant en milieu rural malgache L’intoxication aiguë chez l’enfant en milieu rural malgache est évalué 1 étoiles

Auteurs : M.R. RASOLOHERIMAMPIONONIAINA, N.E. RAVELOSON, T.MD. RAOELISON, M.D. RAMAROSON, A. RAMIALIHARISOA - Madagascar
Publié en Français dans Médecine d'Afrique Noire 5206 - Juin 2005 - pages 379-381


Résumé

Une étude rétrospective a permis de rapporter les données démographiques caractérisant l’intoxication chez l’enfant en milieu rural malgache.
152 cas sont colligés : 128 victimes d’une intoxication accidentelle, 24 d’une intoxication volontaire. 80 sont de sexe féminin, 72 de sexe masculin. L’âge moyen est de 4,6 ± 4,6 ans (p=NS entre les 2 sexes). Les enfants intoxiqués constituent 4,5% de l’hospitalisation en pédiatrie, et 27,1 % de la population des intoxiqués en général. L’âge de prédilection est entre 1 et 5 ans, et entre 10 et 15 ans (tableau 2). Le décès est de 4 sur 152 (2,6 %). La durée de séjour occasionnée par l’intoxication est de 3,7 ± 2,4 jours.
La gamme de toxiques est très diversifiée: allant du carburant (essence, gasoil), passant par les plantes, puis par les produits d’usage domestique et agricole comme le pétrole lampant, et les insecticides, pour enfin impliquer les toxiques «classiques» comme la chloroquine.
Les facteurs favorisants retrouvés sont : L’âge préscolaire, le sexe masculin, le rangement non sécurisé, l’accessibilité facile d’achat (alcool, chloroquine), et pour l’intoxication volontaire se rajoutent : l’âge pubertaire, et le sexe féminin.




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Apport de l’échographie bidimensionnelle dans la baisse brutale de l’acuité visuelle
E. MAKOSSO, N. OMBETTA, G. ETROUBEKA, P. GAMY, A. MOUKO, G.G. KAYA - Congo-Brazzaville - pages 382-384


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Apport de l’échographie bidimensionnelle dans la baisse brutale de l’acuité visuelle Apport de l’échographie bidimensionnelle dans la baisse brutale de l’acuité visuelle est évalué 1 étoiles

Auteurs : E. MAKOSSO, N. OMBETTA, G. ETROUBEKA, P. GAMY, A. MOUKO, G.G. KAYA - Congo-Brazzaville
Publié en Français dans Médecine d'Afrique Noire 5206 - Juin 2005 - pages 382-384


Résumé

La baisse brutale de l’acuité visuelle constitue une urgence ophtalmologique. Son diagnostic étiologique constitue un véritable challenge pour l’ophtalmologiste et pour l’échographiste. La démarche diagnostique repose sur la clinique, la réalisation des tests optiques et l’échographie oculaire surtout lorsque les milieux transparents de l’œil deviennent opaques. L’échographie par son innocuité, sa réalisation facile et sa grande disponibilité constitue un examen particulièrement efficace. L’objectif de ce travail est de redéfinir sa contribution dans la prise en charge des malades ayant une baisse brutale de l’acuité visuelle dans nos conditions d’exercice.




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