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Notre Voie | Côte d'Ivoire | 21/04/2006 | Lire l'article original
“Le bilan scientifique, c'est de montrer que dans les pays en voie de développement, on peut mener des recherches de qualité pour des résultats exportables. Et c'est ce que nous avons démontré à travers les travaux que nous avons réalisés”, explique Pr. Yoman. Ces travaux concernent les programmes Ditrame (diminution de la transmission mère-enfant) et Cotrimo-CI (prévention des affections opportunistes par l'administration du Cotrimoxazole qui est un antibiotique utilisé en Côte d'Ivoire), et aujourd'hui, en cours d'expérimentation, le programme Trivacan qui pose la question de savoir s'il est possible d'interrompre temporairement le traitement anti-rétroviral chez les personnes vivants avec le vih et observant un traitement. Au plan social, le PAC-CI, selon son coordonnateur, veut montrer qu'à partir de la recherche, on peut étendre une prise en charge à toute la société. “Pas seulement aux personnes nanties ayant les moyens de se prendre en charge mais aussi aux pauvres”, précise-t-elle. De fait, le programme a démarré avec une file active de 500 personnes pour arriver aujourd'hui à 5000 personnes. Ces journées scientifiques ont enregistré la participation de plusieurs spécialistes dont Pr. Salamon, coordonnateur nord (en France) du PAC-CI, et Pr. Jean-François Delfraissy, directeur de l'Agence nationale de recherche sur le sida et les hépatites virales (ANRS) qui finance le programme PAC-Ci. Plusieurs présentations des différentes recherches ont été faites hier par de jeunes chercheurs ivoiriens.
Coulibaly Zié Oumar
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