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Le patriote | Côte d'Ivoire | 09/02/2007 | Lire l'article original
Pour palier donc la faible couverture sanitaire, le Pr Assé Henri mise sur l’application des dix axes stratégiques du plan national en élaboration. Notamment la détection précoce, la formation des acteurs, la standardisation de la prise en charge, la confirmation biologique des cas et le renforcement du Plateau technique.
Face au caractère dramatique et «affreux» de la maladie, le Premier ministre lui a appelé à une prise de conscience collective aussi bien des décideurs, des agents de santé que des bailleurs de fonds. «… C’est un cas de santé publique auquel nous avons le devoir de nous attaquer quelles soient nos difficultés», invite M. Charles Konan Banny.
Dressant le bilan de son département pour l’année 2006, le ministre Allah Kouadio Remi a reconnu la résurgence de certaines maladies, mais très vite stoppées grâce aux efforts du gouvernement et à l’implication personnelle du Premier ministre. Au nombre des actions posées oui en cours, le ministre Allah Kouadio a annoncé l’affectation très prochaine de 300 agents de santé dans les zones centre, nord, ouest l’intégration de 1300 cadres de santé et la réhabilitation du CHU de Bouaké prévue pour mars 2007.
Parlant de l’ulcère de Burili, le ministre de la Santé et de l’hygiène publique pense qu’avec 10 régions touchées sur les 19 en Côte d’Ivoire, cette maladie est une bombe à retardement dont les soins sont longs ; lourds et coûteux.
Coulibaly Moussa
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