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L'essor | Mali | 11/01/2010 | Lire l'article original
Au cours cette cérémonie, le bilan des activités réalisées entre 2006-2009 a été présenté par la cellule qui a expliqué la vulnérabilité des porteurs d’uniforme face au VIH-Sida en raison du déploiement des soldats aux quatre coins du globe dans le cadre des missions de paix. De par leur nature, ces opérations renforcent l’exposition à la maladie. La cellule a mis l’accent sur la promotion du dépistage volontaire et la sensibilisation en vue d’un changement de comportement des hommes en uniforme. À cet effet, elle affiche un taux de réalisation de 60 % de ses activités et un taux de 7 % de réalisation pour le dépistage volontaire.
Le coordinateur de la cellule sectorielle de lutte contre le VIH-Sida, Elimane Mariko, a assuré que la structure veille sur tous les porteurs d’uniforme vivant avec le VIH-Sida. Cependant, a-t-il reconnu, il reste beaucoup de choses à faire en matière de sensibilisation, de prise en charge et de dépistage volontaire, car les hommes participent plus au dépistage que les femmes. Le directeur du service social des Armées, le colonel Tiéoulé Satigui Sidibé, a de son côté promis l’ouverture de deux nouveaux centres de dépistage volontaire à Kayes et Koulikoro qui viendront s’ajouter aux 7 centres déjà opérationnels dans les camps militaires de notre pays. Il a aussi promis que le service social élargira le taux de couverture en renforçant le groupe cible des femmes et de jeunes des camps militaires qui seront assistés par des officiers et des assistantes sociales dans chaque région militaire du pays.
Par Sidi Yaya Wagué
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