L'actualité

Notre métier d'éditeurs de revues médicales en Afrique francophone et au Maghreb, nous amène à suivre de très près l'actualité de la santé de ces pays.
Nous lisons la plupart des journaux spécialisés et sommes en contact avec de très nombreuses associations et ONG.
Nous fréquentons aussi certains forums spécialisés.

Dans notre développement Internet, nous avons pensé que toutes ces informations que nous recueillons quotidiennement ne pouvaient que vous intéresser.
C'est la raison de cette rubrique que nous mettrons à jour le plus régulièrement possible.

Afin d'être en harmonie avec la déontologie Internet, nous vous précisons que toutes nos sources sont informées des textes que nous leur empruntons afin de les mettre à votre disposition dans cette rubrique.

Toutefois, comme elles le précisent elles-même pour la plupart, nous vous prions de traiter les informations avec la plus grande prudence et de ne pas hésiter à suivre les liens que nous plaçons systématiquement à la fin des articles, afin de lire le document original et de contacter, le cas échéant, l'auteur ou le responsable de la publication.

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L'actualité de la santé en Afrique

Juillet 2003

VIH/SIDA : 6 000 chercheurs réunis à Paris - Le soleil - Sénégal - 14/07/2003
Ce dimanche a vu s'ouvrir, pour 4 jours, au Palais des congrès de Paris, la deuxième conférence internationale de l'International AIDS Society (IAS). Il s'agit du plus grand rassemblement scientifique et médical de l'année sur le VIH/SIDA. Organisée par l'Agence nationale de Recherches sur le SIDA (ANRS), par les instituts nationaux américains de la santé (NIH) et les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) d'Atlanta, cette conférence coïncide avec le 20 ème anniversaire de la découverte du SIDA. Intitulée "Pathogenèse et Traitement", elle rassemblera 6 000 chercheurs et scientifiques du monde entier. Ces derniers communiqueront sur les dernières avancées et s'interrogeront sur la manière de les traduire en nouvelles stratégies thérapeutiques. Nelson Mandela, ancien président d'Afrique du Sud et Prix Nobel de la Paix, et Fernando Henrique Cardoso, ancien président du Brésil interviendront sur le thème majeur du développement, de l'accès à la prévention et aux traitements dans les pays défavorisés. Selon Michel Kazatchkine, Directeur de l'ANRS et président de la conférence, "pour étendre les traitements à ces pays, les chercheurs et les cliniciens doivent avoir à la fois accès aux dernières données scientifiques fondamentales, mais aussi à l'expertise clinique et thérapeutique : c'est l'objectif de la conférence de Paris".
Lire l'article original : http://www.lesoleil.sn/santeenv/article.cfm?articles__id=28835

Lutte contre le Sida au Burkina : Le coup de pouce de la République de Chine - L'observateur Paalga - Burkina Faso - 14/07/2003
Des consommables médicaux, des réactifs pour VIH et autres appareils constituent le don fait par la République de Chine à notre pays à travers le Secrétariat permanent du Conseil national de lutte contre le Sida et les infections sexuellement transmissibles (SP/CNLS-IST).
La cérémonie de remise a eu lieu le 11 juillet 2003 à Ouagadougou. Dans le monde, 42 millions de personnes dont 30 millions d'Africains sont infectés par le VIH/Sida. Au Burkina Faso, plus de 600 mille personnes vivent avec ce fléau. On comprend dès lors, pourquoi le gouvernement de notre pays a inscrit au nombre de ses priorités, la lutte contre le Sida. C'est ainsi qu'est né en 2001 le secrétariat permanent du Conseil national de lutte contre le Sida et les infections sexuellement transmissibles (SP/CNLS-IST) que préside le président du Faso. C'est pour soutenir le Burkina Faso dans ce combat que la République de Chine a fait don au (SP/CNLS-IST) au profit de l'hôpital Yalgado un lot de réactifs pour VIH et des consommables de laboratoires d'une valeur globale de 97 millions de nos francs. De plus, l'appareil FASCOUNT de l'hôpital a été réparé. Pour le secrétaire permanent du (CNLS-IST), M. André Joseph Tiendrébéogo, "ce geste constitue un engagement de taille de la République de Chine aux côtés du gouvernement burkinabè pour faire régresser l'épidémie du Sida". Il a naturellement remercié le pays donateur qui "agit toujours avec beaucoup d'efficacité à nos côtés". Dans son adresse, l'ambassadeur de Chine, M. Wen Lung Tao, a fait remarquer que son pays est un partenaire du Faso et que ça lui fait mal au cœur de voir l'intensité de ce fléau au Burkina. C'est entre autres pour cela que la Chine a décidé d'octroyer une subvention d'un milliard de FCFA à notre pays pour la période 2001-2005 afin de soutenir les efforts du Burkina en matière de lutte contre le Sida. L'accent, durant cette période, sera mis sur la prévention, la surveillance de l'épidémie, la prise en charge et le renforcement du partenariat. Cet important financement entre, selon M. Wen Lung Tao, dans le cadre de "notre solidarité avec le Burkina Faso". Le secrétaire général du ministère de la santé, M. Jean Gabriel Ouango représentait son ministre à cette cérémonie. Pour lui, ce geste vital de la Chine est à saluer. Il a alors traduit toute la gratitude de notre gouvernement à celui de la Chine. Il a ensuite promis que "tout ce matériel aura une traçabilité facilement vérifiable et sera utilisé à bon escient". San Evariste Barro
Lire l'article original : http://www.lobservateur.bf/quotidiens/societe2.asp?Numero=3487

SENEGAL - TAIWAN : 4e subvention de 450 millions de Fcfa au secteur de la Santé - Le soleil - Sénégal - 14/07/2003
Le ministre de la Santé, de l'Hygiène et de la Prévention, le Pr. Awa Marie Coll Seck, a reçu vendredi matin des mains de l'ambassadeur de la République de Chine à Dakar, M. Yun Cheh Huang, une subvention de 700.000 dollars Us (450 millions environ de Fcfa, destinée à l'effort d'amélioration de la couverture sanitaire dans les zones rurales. Cette subvention de Taïwan est la quatrième tranche de subvention octroyée au Sénégal. Dans les détails, cette subvention va servir au développement de la santé communautaire, à l'appui institutionnel pour la mise en œuvre des programmes, la supervision, l'éducation pour la santé et à la formation des personnels de santé", a souligné l'ambassadeur de Taïpeh, qui a loué, comme le ministre Awa Marie Coll Seck, les relations exemplaires de coopération qui lient le Sénégal et la République de Chine. L'ambassadeur, qui a également remis au ministre de la Santé, un chèque de 1 million de Fcfa en contribution au téléthon contre le paludisme, a estimé "que la gestion des trois dernières tranches a été une réussite". Sur ce volet, le ministre Coll Seck a déclaré l'importance de l'appui de Taïwan dans le domaine de la Santé et la transparence qui a régné dans le suivi des fonds venus en appui. Elle a indiqué que ces appuis du gouvernement de Taïpeh vont essentiellement à la vaccination, mais aussi dans le sens global de l'amélioration de la couverture en soins de santé et du développement de la formation et le perfectionnement des médecins. F.D.
Lire l'article original : http://www.lesoleil.sn/santeenv/article.cfm?articles__id=28820

DIVO : On craint une épidémie de fièvre typhoïde - Fraternité Matin - Côte d'Ivoire- 14/07/2003
Les conséquences de l'insalubrité de la cité du Djiboua commencent à se faire sentir sur la population. En effet, elle a peur d'une épidémie de fièvre typhoïde. Pour cause, plusieurs patients qui se sont rendus au CHR de Divo ont été déclarés en grande majorité atteints de cette maladie après consultation. Aujourd'hui nombre de personnes se demandent pourquoi les responsables de la santé ne veulent pas considérer cela comme un début d'épidémie afin de parer au plus pressé pour sauver des vies humaines en organisant des séances de vaccination dans tous les quartiers. Les malades rencontrés trouvent que les frais de 5000 Fcfa du test WIDAL qui permet de détecter la fièvre typhoïde au laboratoire du CHR sont trop élevés pour leur bourse. Et compte tenu du nombre important de cas, ils souhaitent une réduction. Interrogé, le docteur Aboudi des services de médecine du CHR a indiqué que la tuberculose et la fièvre typhoïde sont fréquentes à Divo depuis l'an 2000 et que c'est loin d'être une épidémie. SOUMAÏLA BAKAYOKO
Lire l'article original : http://www.fratmat.co.ci/story.asp?ID=21627

Congrès de la Société africaine de gynécologie obstétrique : Le Bénin prépare la rencontre de la Sago - Le Matinal - Bénin - 12/07/2003
Le Bénin abrite en décembre 2004 le 8e congrès de la société africaine de gynécologie obstétrique. En prélude à cet événement de grande portée scientifique, le ministère de la santé publique a organisé hier 11 juillet 2003 dans ses locaux une séance de plaidoyer qui a rassemblé plusieurs personnalités du monde médical.
Ouverte par M. Yarou Moussa, directeur de cabinet du ministre de la santé publique, cette rencontre a accouché de la présentation du projet de constitution du comité préparatoire du 8e congrès de la Sago. Mais avant d'en arriver là, l'assistance composée de plusieurs personnes ressources a eu droit à plusieurs communications. Celle présentée par le professeur Eusèbe Alihonou a renseigné l'auditoire sur la Société africaine de gynécologie obstétrique à travers sa mission, ses activités, ses objectifs et son but. Créée en 1988 à Cotonou, la Sago est une affirmation de l'homme noire dans le domaine de la science, a dit le professeur Alihonou. La mission fondamentale de la Sago a-t-il poursuivi par ailleurs est de collaborer étroitement avec les gouvernements pour l'amélioration de la qualité de la santé maternelle et infantile. Après bientôt 15 ans d'existence, la Sago a fourni son expertise aux gouvernants dans la résolution des problèmes liés à la santé maternelle et infantile. La recherche la formation et la prestation de services constituent les missions que la Sago s'est assignées. " Notre souhait est que le 8e congrès de la Sago qui se tiendra en décembre 2004 connaisse un succès éclatant. L'événement pour nous est très important en raison de la place que nous accordons à la santé de reproduction en général et aux soins obstétricaux en particulier ", a dit M. Yarou Moussa qui dans son discours, a lancé un appel en direction de tous ceux qui ont à cœur le développement de la Société africaine de gynécologie obstétrique. Dans sa déclaration, le docteur Lokossou qui ne s'est pas montré trop prolixe a souhaité que tous les partenaires du système sanitaire béninois et les autres départements ministériels s'associent au comité préparatoire pour la réussite du congrès sur tous les plans. Affissou ANONRIN
Lire l'article original : http://nt7.h2com.com/lmo_article.cfm?article_num=7746

L'"apollo" plein la vue. Contre toute attente, la conjonctivite sévit en pleine saison de pluies - Mutations - Cameroun - 11/07/2003

Depuis quatre jours, René Ebolé a les yeux enflés, larmoyants et rouges. Au réveil, il a de la peine à ouvrir ses paupières collées par une substance aqueuse et transparente s'écoulant de ses yeux. Le jeune homme se plaint également d'une sensation de brûlure aux yeux qu'il cache derrière des lunettes de soleil noires. Selon l'ophtalmologue qui le suit, M. Ebolé est atteint d'une conjonctivite, comme plusieurs habitants de la ville de Yaoundé. Lire la suite


Epidémie de méningite cérébro-spinale : Le spectre s'est éloigné - Sidwaya - Burkina Faso - 11/07/2003
Le Burkina Faso a encore connu en 2003, une épidémie de méningite. A la cinquième semaine de l'année (semaine du 27 janvier au 2 février 2003), les districts sanitaires de Léo, de Batié et de Saponé ont franchi le seuil épidémique de dix cas pour 100 000 habitants. Le nombre le plus élevé de cas est survenu à la 8e semaine, contrairement aux autres années où il était noté entre la 13e semaine et la 15ème semaine de l'année. Au total, dix-sept (17) districts sanitaires sur les cinquante-trois (53) que compte le Burkina ont connu une situation d'épidémie. Le pré-positionnement des médicaments et consommables dès le mois de novembre 2002 et les campagnes de vaccination réactive dans les districts sanitaires entrés en épidémie se sont faits conformément à notre plan de préparation et de réponse à une épidémie ont été notifiés, soit 14,9% de taux de létalité. Depuis cette 21e semaine, aucun district ne s'est trouvé ni en alerte, ni en épidémie. En cette 26e semaine (semaine du 23 au 29 juin 2003), nous pouvons annoncer la fin de l'épidémie, un risque de reprise étant écarté. Il nous reste maintenant à analyser nos actions de lutte pour en tirer des leçons pour l'avenir. Le rapport de l'épidémie posera les bases de cette analyse et l'évaluation de la gestion de l'épidémie nous permettra d'avoir des éléments de correction pour d'autres éventuelles situations analogues.
Le Directeur de la communication et de la presse ministérielle Jean-Bernard ZONGO
Lire l'article original : http://www.sidwaya.bf/sitesidwaya/sidawaya_quotidiens/sid2003_11_07/sidwaya.htm

Résurgence de l'épidémie de rougeole à Tshilundu au Kasaï Oriental - DigitalCongo - RD Congo - 10/07/2003
Les vaccinateurs refusent de se rendre dans cette localité sous-prétexte qu'elle appartient à une autre zone de santé. Une épidémie de rougeole est signalée dans la localité de Bakua Kalubi, dans la zone de santé de Tshilundu, province du Kasaï Oriental, selon l'Acp. Les vaccinateurs refusent de se rendre dans cette localité sous-prétexte, signale la même source, qu'elle appartient à une autre zone de santé. L'on déplore beaucoup de victimes à la suite de ce refus d'assurer la couverture vaccinante de la localité. Les parents des enfants victimes dénoncent ceux altitude délibérément créée, selon eux, par les médecins des zones de santé de la contrée. Le regard de ces parents est désormais tourné vers la coordination provinciale du Pev (Programme élargi de vaccination) Kasaï Oriental afin qu'elle mette tout en oeuvre pour trouver une solution rapide avant qu'il ne soit trop tard.
UNE FORMATION POUR LES MEDECINS CHEFS DES ZONES DE SANTE
Par ailleurs, à en croire la même source, les chefs de zones de santé et les cadres des inspections médicales du Kasaï Oriental viennent de terminer un séminaire-atélier de formation pour parfaire leurs connaissances dans le cadre de la surveillance épidémiologique. Les participants locaux ont échangé avec des collègues venus de Kinshasa sur les techniques de détection des maladies transmissibles prioritaires, l'analyse et l'interprétation des données, etc. H.M.K | Le Potentiel
Lire l'article original : http://www.digitalcongo.net/fullstory.php?id=25901

Lutte contre le paludisme au Bénin : Le PNLP lance une campagne d'imprégnation gratuite des moustiquaires - L'@raignée - Bénin - 10/07/2003
Pour mieux lutter contre le paludisme, le Programme National de Lutte contre le Paludisme (PNLP) a lancé, le mardi 08 juillet dernier à la Direction Départementale de la Santé de l'Atlantique (DDSA), une campagne d'imprégnation des moustiquaires dans la ville de Cotonou.
Du 9 au 19 juillet 2003, se dérouleront dans tous les arrondissements de la municipalité de Cotonou, des séances d'imprégnation des moustiquaires dans toutes les maisons. A cet effet, plus de trois cents personnes sont recrutées pour exécuter cette opération sous la supervision de cinquante agents de santé. A la cérémonie de lancement de la campagne, le Dr Ogoubiyi Flore représentant le Directeur départemental de la santé de l'Atlantique (DDSA) a exhorté les agents nouvellement recrutés à suivre les instructions des encadreurs pour mener à bien l'opération sur le terrain. Aussi, a-t-elle recommandé aux agents recrutés d'être accueillants dans les familles pour atteindre les objectifs visés par le PNLP. Cette campagne d'imprégnation des moustiquaires est une doléance des populations a souligné la directrice nationale de la protection sanitaire (DNPS) le Dr Dorothée Yevidé avant de préciser que le paludisme représente la première maladie qui touche la population béninoise, vu le nombre de cas enregistrés dans les hôpitaux. Ainsi, plusieurs activités sont prévues pour lutter contre ce mal généralement causé par les moustiques anophèles. Sur le plan préventif, l'utilisation à grande échelle des moustiquaires imprégnées est recommandée. C'est pourquoi, durant dix jours, le PNLP procédera à l'imprégnation gratuite des moustiquaires et à la sensibilisation contre le paludisme dans la ville de Cotonou. L'année dernière, plus de vingt-deux mille moustiquaires ont été imprégnées à Cotonou et la DNPS souhaite que ce taux soit largement dépassé pour la campagne 2003. Notons qu'au cours de cette campagne, les cas de paludisme simple seront pris en charge gratuitement dans les centres de santé publics de Cotonou. Les autres départements seront également pris en charge dans les prochains jours, a-t-elle promis avant de lancer officiellement la campagne d'imprégnation des moustiquaires pour l'année 2003 à Cotonou. Maxime VIEIRA
Lire l'article original : http://www.laraignee.org/nsante/fiche_news.php?news=6

Santé de la reproduction - L'express - Madagascar - 10/07/2003
La Santé de la reproduction des adolescents (Sra) est devenue un thème qui revêt une importance capitale en matière de santé dans le monde entier. À Madagascar, 32% de la population est constituée d'adolescents et de jeunes âgés de 10 à 24 ans soit sur 16 millions d'habitants. Les statistiques de l'enquête Eds ont montré un taux de fécondité élevé, soit une moyenne de 6 enfants par femme : 93 % des grossesses non désirées se rencontrent chez les jeunes et les adolescentes; 77 % des séropositifs se trouvent dans la tranche d'âge de 15 et 19 ans. Par ailleurs, dans 94% des cas, les rapports sexuels sont non-protégés chez les jeunes et les adolescents. A souligner que dans le monde, 6.000 jeunes contractent le VIH/sida tous les jours. Cette situation a amené le ministère de la Population à consacrer la Journée mondiale de la population sur la Sra, placée avec pour thème "Un milliard d'adolescents: le droit à la santé, à l'information et aux services". Et ce, dans l'objectif d'améliorer l'accès des jeunes et des adolescents aux informations relatives à la sexualité et à la santé de reproduction; de consolider les activités de lutte contre le VIH/sida en faveur des jeunes et des adolescents; d'identifier les acteurs œuvrant pour la santé de la reproduction; et d'amener les décideurs, planificateurs et techniciens à focaliser leurs activités sur la Sra et la lutte contre le VIH/Sida au profit des jeunes et des adolescents. À l'occasion de cette Journée, diverses manifestations de sensibilisation programmées de la célébration qui se dérouleront sur l'esplanade d'Analakely, et organisées par le ministère de tutelle et ses partenaires tels que les ministères de l'Éducation et de la Santé, la Cua, le Fnuap ainsi que les associations et ONG œuvrant pour la Sra. Ramalala
Lire l'article original : http://www.lexpressmada.com/article.php?id=13658&r=13&d=2003-07-10

Des équipements neufs à l'Hôpital général de Grand-Yoff : Pour une meilleure qualité des soins - Le quotidien - Sénégal - 10/07/2003

Le personnel de l'Hôpital général de Grand-Yoff (Hoggy) affiche le sourire. L'infrastructure sanitaire a réceptionné, hier, du matériel flambant neuf offert par la Coopération économique française. Pour le directeur de l'hôpital, l'arrivée de ce matériel a commencé à produire son effet. Saliou Diallo informe que sa structure, "rien que pour le premier semestre, (a) reçu plus de 11 000 nouveaux consultants et les lits de l'hôpital affichent, déjà, pratiquement complet, au point que la commission médicale envisage sérieusement la possibilité d'augmenter notre capacité d'accueil". Lire la suite


L'onchocercose : plus de 7 millions de Congolais déjà infectés - DigitalCongo - RD Congo - 09/07/2003
Kinshasa n'a pas non plus échappé à l'incursion de l'onchocercose. Les sites de Kinsuka sont les plus touchés. L'onchocercose est une pathologie qui se transmet à la suite de la piqûre d'une petite mouche noire, la simulie ou maringouin secteur d'un parasite appelé l'onchocerca volvulus. Il est la première cause de cécité dans les pays en développement. Lire la suite

Réseau accès aux médicaments essentiels : Pour une gratuité des traitements - Sidwaya - Burkina Faso - 09/07/2003
Le Réseau accès aux médicaments essentiels (RAME) a rencontré la presse, samedi 5 juillet 2003, au Centre de presse Norbert Zongo. Le but de cette rencontre: faire connaître le réseau, sa nature, son mandat, ses actions. Réseau à but non lucratif, apolitique et non confessionnel, le RAME est une organisation de personnes actives en faveur de l'accès des populations aux médicaments. Il est né dans un contexte d'appréhension, causé par l'entrée en vigueur des accords de Bangui de 1999 qui régissent la protection de la propriété intellectuelle et des droits commerciaux. Pour favoriser l'accès aux médicaments gratuitement et de bonne qualité, le RAME a lancé une pétition pour recueillir des signatures, afin de demander au président et au Premier ministre d'user de leur pouvoir pour une révision des accords de Bangui. Par la même occasion, le réseau voudrait interpeller le chef de l'Etat sur "le blocus injuste" que les USA ont causé depuis 2002 par rapport à l'adoption de mesures permettant aux pays pauvres d'importer des copies de médicaments sous brevets à faible coût.
L'action du RAME va donc consister en la promotion d'actions et de politiques qui favorisent l'accès de la majorité aux traitements, en des propositions au gouvernement et aux institutions spécialisées de mesures favorisant l'accès aux médicaments essentiels, en des campagnes de sensibilisation et de pression contre toute mesure ou système limitant l'accès aux traitements. Le coordonnateur du réseau, M. Simon Kaboré a profité de l'occasion pour demander aux populations de signer la pétition, gage de leur adhésion à la lutte pour un accès à moindre coût, voire gratuit aux médicaments.
Lire l'article original : http://www.sidwaya.bf/sitesidwaya/sidawaya_quotidiens/sid2003_09_07/societe_1.htm

Neuf jours après l'appel à la reprise des chefs d'établissements, le personnel infirmier traîne les pieds - InternetGabon - Gabon - 09/07/2003

Les grévistes n'ayant toujours pas repris du service, les quelques soins dispensés actuellement au CHL le sont par des médecins et quelques infirmiers dont des stagiaires. L'épreuve de force engagée par les pouvoirs publics avec les membres du Syndicat national des personnels de santé (Synaps), en grève depuis le 26 mai 2003, semble, à l'heure actuelle, tourner à l'avantage des grévistes. Lire la suite


Diabète et Hypertension artérielle : Les cadres de la santé actualisent leurs connaissances - Fraternité Matin - Côte d'Ivoire- 09/07/2003
Les cadres supérieurs de la santé, regroupés au sein du SYNACASS-CI, leur structure syndicale se sont réunis les 3-4 et 5 juillet, à l'hôtel Président de Yamoussoukro, pour renforcer et actualiser leurs connaissances autour des pathologies chroniques que sont " l'hypertension artérielle et le diabète ". Former et mieux actualiser les connaissances de ses membres, pour une meilleure prise en charge des malades, semble être pour Dr Amichia Magloire, le secrétaire exécutif du SYNACASS-CI, une des priorités de leur structure. Le succès des trois premières éditions de ce type d'enseignement post-universitaire tenues sur " les infections, le VIH-Sida, et les urgences ", en 2000, 2001 et 2002, à San-Pedro, en dit long sur cette action, saluée du reste par l'ex-ministre de la Santé, M. Richard Kadio Michel, qui présidait l'édition 2003. A Yamoussoukro, il s'agit selon docteur Gadji, président du comité scientifiques médico-chirurgicales en la matière, afin d'en faire des recommandations avisées aux autorités gouvernementales. Trois jours durant, les médecins et autres spécialistes de la santé, venus de toutes les structures sanitaires du pays, ont appris et renforcé leurs connaissances sur ces pathologies préoccupantes. Ils ont eu droit à divers exposés et communications libres ; entre autres, sur la surveillance biologique, les grossesses et l'HTA, les urgences hypertensives, d'une part, les cas de diabètes chez l'enfant, les carnivores domestiques, la surveillance biologique du diabète, d'autre part. Une table ronde animée par les Dr Kramoh, Sibailly, Laubouet et les professeurs Bissagnéné, Boni Serge et Delafosse, a enrichi les participants sur les cas de l'HTA, d'infections et grossesses compliquées de diabète ; de même que sur les aspects psychologiques de l'HTA et l'éducation du diabétique en Côte d'Ivoire. L'atelier a, en outre, recommandé aux autorités, la création d'un programme de "santé hypertension artérielle (HTA)" ainsi que la mise sur pied de "diagnostic précoce du diabète", dans chaque structure sanitaire du pays. KOUASSI ARISTIDE K.
Lire l'article original : http://www.fratmat.co.ci/story.asp?ID=21462

Le VIH/Sida dans les armées : La prévention comme arme de combat - Le soleil - Sénégal - 09/07/2003
Les résultats enregistrés après le dépistage de 300 personnes dont une seule s'est révélée séropositive, et sur deux contingents en partance et de retour de la RD Congo, fondent la fierté affichée par les autorités sanitaires de l'armée nationale. Même si le médecin-colonel, Cheikh Diagne, directeur de la Santé des Armées, qui a rencontré lundi la presse, relativise ce "succès", il le fait surtout au regard de la caractéristique assignée à sa corporation. Lire la suite

Ouverture officielle de centre de santé et hôpital de zone dans le Mono/Couffo : Les attentes de la population comblées - L'@raignée - Bénin - 08/07/2003
Dans le département du Mono/Couffo, le centre de santé de Manonkpon dans l'arrondissement Zougbonou commune de Houéyogbé et l'hôpital de zone d'Aplahoué ont été officiellement mis en service le lundi 30 juin 2003 par le Ministre de la santé publique Mme Céline Seignon Kandissounon pour le bien être de la population. Lire la suite

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