Cet électrocardiographe a pour rôle, selon le professeur Séka Rémi, d’évaluer sans douleur et sans radiation grâce à l’imagerie par ultrason la fonction cardiaque, les valves cardiaques, la présence de maladies coronariennes et une multitude d’autres paramètres liés à l’état cardiovasculaire des patients. Cette technique permet, à l’en croire, de poser des diagnostics (évaluation d’essoufflements, de douleurs thoraciques, de souffles cardiaques, de palpitations..) ; de faire le suivi de maladies cardiaques connues et même de guider des interventions médicales et chirurgicales.

“Par sa facilité d’accès et son absence d’effets secondaires pour le patient, l’électrocardiographe est désormais l’équivalent du stéthoscope pour le cardiologue, soit un outil indispensable”, a précisé le directeur de l’ICA. La Fondation de l’ICA s’est assignée pour mission de recueillir et de gérer des fonds qui serviront à financer les projets de l’ICA dans le domaine de la recherche, de l’équipement et de la promotion de la santé. Une de ses nombreuses missions, c’est également de renforcer les capacités de l’ICA en matière de diagnostic et de traitement des coronaropathies et cardiopathies. “La Fondation SIR s’est engagée à nos côtés dans la lutte contre les maladies cardiovasculaires. Elle est un partenaire de la Fondation ICA, car ce n’est pas la première fois qu’elle contribue à la réalisation des projets de la Fondation ICA”, a souligné M. Gounongbé Nazaire.

C.B.

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