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Les dépêches de Brazzaville | Congo-Brazzaville | 06/03/2010 | Lire l'article original
Avec le traitement gratuit du paludisme grave, il s'agit de renforcer, voire d'améliorer, les stratégies de soins du paludisme d'une manière générale. Les médicaments pour faire face à ce paludisme grave viennent d'être distribués dans tous les départements du pays. Et dès le 8 mars, quelques centres pilotes sont choisis pour une durée de trois mois, avant les hôpitaux et autres centres de santé intégrés.
A la question de limiter la gratuité aux enfants et aux femmes enceintes, Georges Moyen a signifié que, dans toute œuvre humaine, on commence une action toujours par un bout, mais cela ne veut pas dire que le chef de l'État n'envisage pas d'étendre la mesure. Sur les différents contrôles préconisés, le ministre affirme que les responsables sanitaires sont placés devant leur responsabilité et qu'aucun médicament ne doit sortir du circuit formel. D'autre part, les services d'épidémiologie et des maladies sont appelés à donner un large écho à la gratuité de ce traitement contre le paludisme grave. Les malades doivent savoir qu'ils sont appelés à être traités gratuitement, en tenant compte, bien sûr, des catégories de population.
En ce qui concerne les consultations hospitalières, elles restent payantes, le ministère a rappelé qu'il fallait éviter l'amalgame entre la gratuité du traitement du paludisme et la gratuité de l'hospitalisation.
Rappelant que le paludisme est la première cause de mortalité, le ministre a redit qu'à travers les diverses mesures prises le chef de l'État ne ménageait aucun effort dans ce domaine pour le bien-être de la population.
Faustin Akono
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