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Le potentiel | Congo-Kinshasa | 11/12/2010 | Lire l'article original
Lors qu’on ajoute le nombre des malades, la rupture arrivera plus rapidement.» La solution, selon lui, c’est de faire un plaidoyer intense pour arriver à mobiliser plus des fonds et du gouvernement et des bailleurs pour rendre disponible, plus d’ARV et prendre en charge plus de personnes. Il a, par ailleurs, demandé à tous les acteurs, tous les bailleurs et à tous les partenaires de ne pas baisser les bras, «puisqu’autrement, nous risquons d’avoir une explosion de chiffre qui étonnera le monde entier». Déjà, certaines organisations basées au Nord-Kivu n’arrivent plus à prendre en charge des personnes vivant avec le Vih/Sida. C’est le cas de l’ONG Amo-Congo, qui a vu les financements de la Banque mondiale interrompus. Une centaine de malades sont ainsi restés pendant plusieurs semaines sans accéder au traitement anti-rétroviral.
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