Siaka Sy est un naturothérapeute. Dans cet écrit, il nous parle de la dengue et propose son antidote pour en guérir.

La dengue est là ! Que faire en l’absence d’un traitement spécifique ?

De tout ce qui a été dit et écrit, s’agissant de la dengue, il ressort qu’il n’y a pas de traitement spécifique. C’est pourquoi la prise en charge est essentiellement symptomatique ; en d’autres termes, la gestion des symptômes.
Pourquoi il n’y a pas de traitement spécifique dès lors que l’origine virale est établie ? Tout simplement parce que la médecine conventionnelle ne dispose pas de molécules capables d’agir sur le virus concerné.
La médecine alternative, par contre, a des approches comme, entre autres, l’extrait de la feuille d’olivier et l’enzyme protéolytique serrapeptase.

De la médecine alternative

Le terme médecine alternative, ou thérapie alternative est utilisé pour décrire une gamme de traitements qui ne sont pas connus, ou acceptés par la médecine conventionnelle (généralement pour des raisons qui ne sont pas toujours basées sur des fondements scientifiques).

C’est le cas de Linus Paulin( deux fois prix Nobel) ; auteur du concept de la médecine ortho moléculaire qui consiste à apporter aux cellules les quantités nécessaires de micro nutriments pour lutter efficacement contre les maladies chroniques et bien d’autres pathologies. Cette médecine ortho moléculaire a démontré que par l’administration de grandes quantités de vitamines C, par exemple, on pouvait lutter contre les maladies chroniques.

Les docteurs Hugues et Niel Riordan ont démontré que par l’administration par voie intra veineuse de grande quantité de vitamine C, on pouvait traiter certains cancers. Il en est de même du Dr Otto Warburg (double prix Nobel de médecine qui a démontré par ce qu’on appelle l’effet Warburg, que le cancer résulte du dysfonctionnement de la respiration cellulaire. En d’autres termes les mitochondries chargées de la production d’énergie n’arrivent plus à fonctionner correctement. Ce sont des preuves scientifiques qui ont du mal à passer dans la médecine conventionnelle. S’agissant du cancer, le Dr Laurent Schwartz est en train de révolutionner la cancérologie en suivant la piste ouverte par le prix Nobel Otto Warburg dans les années 1920 avec son effet warburg.

En 1948, le Dr Frederick R. Klenner guérissait la polio sans paralysie avec des doses massives de vitamine C.

S’agissant toujours de la médecine alternative, il s’est tenu les 1er et 2 octobre 2016 à Paris, le 2e Congrès international de la Santé Naturelle ; Congrès auquel j’ai participé. C’était vraiment deux jours avec les grands noms de la médecine naturelle le Pr comme le Pr Henri Joyeux (chirurgien cancérologue),, le Pr Philippe Evens ( pneumologue) le Pr Marcel Roberfroid (toxicologue biochimiste) le Dr Michel de Lorgeril (expert international en cardiologie) le Dr Christian Velot(biologie et génétique moléculaire), Laurent Schwartz(cancérologue) le Natacha Campbell- McBride (neurologue neurochirurgienne, spécialiste de l’autisme)…etc. Il faut savoir que ces praticiens qui préconisent des traitements novateurs contre bien de problèmes de santé, ne sont pas des « charlatans » mais de grands médecins qui ont eu les mêmes formations que ceux de la médecine conventionnelle.

Ces médecins, face souvent aux limites objectives de la médecine conventionnelle dans certains domaines, ont exploré d’autres pistes et sont arrivés à prendre en charge certaines pathologies avec des approches relevant de la Naturothérapie comme l’extrait de la feuille d’olivier ou l’enzyme protéolytique pour neutraliser par exemple des germes pathogènes et autres virus.

La dengue, qu’est-ce que c’est ?

La dengue est une maladie infectieuse virale potentiellement grave, en particulier dans sa forme hémorragique. Elle fait partie des maladies à transmission vectorielle, c’est-à-dire transmises à l’homme par un insecte hématophage (qui se nourrit de sang). Ce sont généralement les moustiques Aedes (particulièrement les Aedes aegypti) qui piquent généralement dans la journée.
Il n’y a pas dans la médecine conventionnelle de traitement antiviral spécifique de la dengue. Les malades bénéficient donc uniquement d’un traitement symptomatique destiné à lutter contre la fièvre, les douleurs musculaires et les céphalées, les vomissements, et à prévenir la déshydratation. Un repos au lit est généralement conseillé. Il faut éviter l’aspirine et autre ibuprofène qui risquent d’aggraver les manifestations hémorragiques ainsi que les médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens. La dengue est une maladie infectieuse virale qui peut avoir des complications graves.

Quelle prévention ?

Cette maladie ne bénéficie pas d’un traitement, la protection consiste à échapper aux piqures de moustiques. Par conséquent, l’élimination des moustiques et la protection individuelle contre leurs piqûres constituent le principal moyen de lutte contre la dengue dans les zones d’endémie. Cette lutte dite anti-vectorielle permet de réduire la transmission de la maladie. Elle nécessite une éducation des populations.
Les moustiques peuvent être éliminés par la suppression des sites de reproduction par diverses méthodes : conservation de l’eau domestique dans des récipients fermés ; épandage régulier d’insecticides sur les gîtes larvaires ; éventuellement, lutte biologique.

La dengue : une maladie virale

Dans le cas précis de la dengue, il faut savoir qu’elle est d’origine virale, or les infections virales ont de tout temps été et continuent d’être un ‘’ casse-tête’’ pour la médecine moderne.

Un virus est un parasite intracellulaire ne pouvant se multiplier qu’à l’intérieur d’une cellule hôte et en utilisant sa machinerie cellulaire. Il contient : une information génétique (sous forme d’ADN ou d’ARN), et une structure de protection souvent protéique, compacte, pour protéger son Acide Nucléique (La capside).
Ainsi, l’origine virale de la dengue offre de très bonnes perspectives pour la prise en charge de cette pathologie. Des substances comme l’oléuropéine extraite de la feuille d’olivier (Olea europea), l’enzyme protéolytique serrapeptase ont de fantastiques propriétés antivirales contre les virus en général et particulièrement le virus de la dengue.

Agir efficacement sur le virus de la dengue entraine rapidement l’atténuation, voire la disparition des symptômes.

L’extrait de la feuille d’olivier : une thérapie alternative spécifique contre la dengue.

L’origine virale de la dengue implique un traitement spécifique pour lutter contre le virus qui transmet la maladie. C’est parce que la médecine conventionnelle ne dispose pas d’une molécule capable d’agir directement sur le virus de la dengue, qu’on dit qu’il n’y a pas de traitement spécifique. La médecine alternative par contre dispose de puissants virucides aux propriétés scientifiquement validées.

Il y a par exemple l’oléuropéine ou l’élénolate de calcium, extrait de la feuille d’olivier. Le traitement des maladies causées par les virus pose des problèmes complexes. A cause de la nature du microbe, il y a peu de médicaments virucides. Les virus sont des parasites qui vivent dans les cellules vivantes, aussi est-il difficile de fabriquer un agent pharmaceutique capable de les tuer sans tuer aussi les cellules de l’organisme hôte. C’est pourquoi l’industrie pharmaceutique n’a pratiquement pas une bonne gamme de médicaments virucides à large spectre. Et ceux qui existent ne sont utilisés que pour les malades gravement atteints, ou pour ceux souffrant d’une déficience du système immunitaire. Jusqu’à ce que l’extrait de feuilles d’olivier soit connu en tant qu’anti-virus, nous devrions pratiquement compter sur notre système immunitaire pour combattre les infections virales.

Les propriétés antivirales de l’extrait de la feuille d’olivier

L’extrait de la feuille d’olivier : un agent antimicrobien, antiviral, antifongique, anti parasitaire : extrait de la feuille de « l’arbre de vie »- l’olivier- dont la classification botanique est l’Olea europae L.) récemment découvert, bien qu’il soit à la disposition de l’humanité depuis le temps de la Genèse dans l’ancien Testament.
Il faut savoir que, ce sont les chercheurs de la multinationale pharmaceutique Upjohn qui ont découvert que les virus étaient détruits par une substance contenue dans la feuille d’olivier.

Le Dr James Privera (Covina Californie spécialiste en thérapies alternatives) décrit comment ce virucide extrait de l’extrait de la feuille d’olivier agit (contre les virus dont celui de la dengue). Il provoque :

• Une interférence critique avec certains processus de production d’acides aminés indispensables à la vitalité d’un virus, d’une bactérie, ou autre microbe spécifique ;
• Une perturbation de l’infection virale et/ou de sa propagation en rendant les virus inactifs ou en les empêchant de se répandre, de bourgeonner ou de s’agglutiner sur la membrane cellulaire.

Une pénétration directe dans les cellules hôtes infectées et une inhibition irréversible de la reproduction microbienne.

La neutralisation de la production par le rétrovirus de transcriptase inverse aussi bien que de protéase (ces deux enzymes sont essentielles pour qu’un rétrovirus tel que le virus de l’immunodéficience(ARN) d’une cellule saine.

Une stimulation directe de la phagocytose comme réponse du système immunitaire aux germes pathogènes de toutes catégories.

Rappelons qu’en 1994, des chercheurs indépendants réalisèrent suffisamment d’expériences pour accomplir une percée thérapeutique, qui ouvrit la voie à une application clinique de l’extrait standardisé(à 18 ou 20% d’oleleuropine) en qualité de complément nutritionnel viable pour tous types d’usage antimicrobiens ou antivirales…etc.

Il faut savoir que de nos jours, nous avons besoin d’un agent virucide naturel (dans un contexte comme celui de la dengue) aisément disponible, qui n’endommage pas les cellules humaines et qui soit efficace contre les germes pathogènes causant des maladies virales comme la dengue, l’hépatite, l’herpès simple et même le simple rhume.

Cet agent thérapeutique, qui se trouve sur les oliviers depuis cinq ou six mille ans, a été considérablement négligé par la médecine conventionnelle.
Comme virucide, l’extrait standardisé de la feuille d’olivier, est une excellente approche thérapeutique spécifique contre la dengue à cause de son origine virale, Cet extrait doit répondre à certaines caractéristiques(en termes de pourcentage de principe actif) pour agir efficacement contre les virus en général, et comme celui de la dengue.

Dengue et thérapie enzymatique

La thérapie enzymatique consiste en l’utilisation d’enzymes à des fins thérapeutiques. La dengue est une maladie virale due à un virus. Quelle que soit leur forme, les virus ont un génome constitué d’ADN ou d’ARN protégé par une enveloppe de protéine.

Les enzymes, particulièrement les enzymes protéolytiques s’avèrent être une excellente approche thérapeutique utilisable contre les virus, parce qu’agissant à plusieurs niveaux. L’’enzyme protéolytique serrapeptase est capable de digérer cette enveloppe de protéine. Eliminer cette enveloppe expose le virus sans protection à la merci des antiviraux, voire à la destruction par le système immunitaire .Ainsi la digestion de cette enveloppe va inactiver le virus qui va perdre sa capacité à se multiplier. On pourrait dire que l’enveloppe de protéine est le tendon d’Achille du virus dans la mesure où elle peut être détruite par un enzyme protéolytique comme la serrapeptase. Outre son action sur le virus, la serrapeptase agit également sur les symptômes de la dengue que sont les céphalées, les courbatures et autres douleurs.

Serrapeptase est un anti inflammatoire naturel qui est une alternative à l’aspirine, l’ibuprofène

L’action de l’enzyme protéolytique serrapeptase sur le virus de la dengue fait d’elle une approche de traitement spécifique.
Il faut savoir que tout ce qui nous rend généralement malade est soit une protéine, soit protégé par une protéine et de ce fait susceptible d’être contrôlé par des enzymes protéolytiques. Par exemple : les bactéries, les virus, les levures, les champignons, sont tous protégés par des protéines. Attaquer ces protéines est une clé pour détruire ces envahisseurs. Les enzymes protéolytiques ont la capacité de digérer et détruire l’enveloppe de protéine qui protège tout pathogène, allergène, entrainant de ce fait leur élimination.

Conclusion

Ainsi, l’origine virale de la dengue offre une possibilité de traitement spécifique dans la médecine alternative avec l’extrait de la feuille d’olivier et l’enzyme protéolytique serrapeptase. Au-delà de la dengue, l’extrait de la feuille d’olivier permet de traiter une multitude de pathologies (hypertension artérielle, diabète, sinusites, bronchites et les pathologies dues à 125 germes pathogènes…etc). Elle est une excellente solution à la problématique de plus en plus préoccupante de la résistance aux antimicrobiens.

Au regard des limites objectives de la médecine conventionnelle sur certaines pathologies émergentes, et les résistances qui se développent, il est certainement temps de prendre en compte les possibilités curatives de la médecine alternative contre bien de maladies virales, bactériennes, fongiques, parasitaires.

Dans le contexte actuel ou le traitement de la dengue est seulement symptomatique, pourquoi ne pas agir sur le virus cause de la maladie avec le potentiel antiviral de l’extrait standardisé de la feuille d’olivier ou les enzymes protéolytiques ?

Du fait de leur innocuité, pourquoi ne pas envisager leur utilisation pour agir sur le virus cause de la maladie ?

SY SIAKA

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