Accès aux sites pays BENIN BURKINA FASO CAMEROUN CENTRAFRIQUE CONGO COTE D'IVOIRE GABON
GUINEE MADAGASCAR MALI R.D. CONGO SENEGAL TOGO
Le potentiel | Congo-Kinshasa | 15/01/2008 | Lire l'article original
La décision du Synamed a jeté l’émoi parmi la population. Qui rappelle aux médecins leur serment d’Hippocrate dont l’essentiel est de sauver d’abord la vie des malades avant toute considération.
Dans un communiqué parvenu le samedi 12 janvier dernier à la rédaction du Potentiel, Journaliste pour la promotion et la défense des droits de l’homme (JPDH) - ONG de lutte contre l’impunité et le développement démocratique - invite les médecins à maintenir - pour des raisons purement humanitaires - un service minimum.
Cette ONG condamne, par ailleurs, l’indifférence de l’Etat face aux revendications des médecins qui sont, selon elle, fondamentalement fondées. A noter que les raisons que les médecins avancent pour justifier l’opération « hôpitaux sans médecins » sont d’ordre socioprofessionnel. Il s’agit, entre autres, de l’octroi, par le gouvernement, d’une décente rémunération au médecin, de l’apurement des arriérés de salaire et de la prime de risque professionnel, de l’alignement de la prime de risque leur alloué à la hauteur de celle accordée aux professeurs d’université, de l’application - en leur faveur - d’un statut spécifique ayant déjà fait l’objet de promulgation par le chef de l’Etat, et enfin, la mécanisation de nouvelles unités.
Enfin, JPDH exige au gouvernement, conformément aux dispositions constitutionnelles, de reconnaître que le travail est un droit sacré; et de répondre favorablement, toutes affaires cessantes, aux revendications des médecins.
Par Fl. NL-NS
Restez informés : recevez, chaque mercredi, la lettre d'informations de Santé tropicale. Inscriptions
Ce contenu gratuit vous est destiné :
Adresse
Téléphone
Contactez-nous
Actualités
Articles médicaux