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Le potentiel | Congo-Kinshasa | 26/02/2008 | Lire l'article original
Ray Chambers saura se prévaloir de son expérience et de son enthousiasme
et faire preuve de l’engagement dont le monde a immédiatement besoin
pour susciter la volonté politique et obtenir les fonds nécessaires
à une lutte en profondeur contre cette menace », a-t-elle dit.
En effet, l’OMS recommande de lutter contre le paludisme sur trois fronts,
à savoir la protection, la lutte anti vectorielle et le traitement.
La protection, c’est pour la distribution gratuite ou à des prix fortement subventionnés, de moustiquaires imprégnées d’insecticide à tous ceux qui en ont besoin. La lutte anti vectorielle par le recours à la pulvérisation contrôlée à l’intérieur des habitations et le traitement à l’utilisation d’associations médicamenteuses comportant de l’artémisinine réduisent le nombre des moustiques vecteurs.
Il s’agit de faire bénéficier ces mesures à toutes les communautés touchées. Les estimations les plus récentes montrent que le paludisme provoque la mort d’un enfant africain toutes les 30 secondes. Or, au cours de l’année écoulée, le renforcement des investissements et de l’action en faveur de la lutte a permis une diminution sensible du nombre des décès d’enfants dans plusieurs pays africains.
L’OMS salue l’engagement d’un nombre croissant de gouvernements, de communautés, de soignants, de donateurs, de fondations et d’organisations du secteur privé et du secteur public en faveur de la lutte contre le paludisme. L’Organisation est résolue d’agir dans le cadre de cette équipe toujours plus large, unie contre la maladie.
Par REGINE KIALA
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