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Le potentiel | Congo-Kinshasa | 12/03/2008 | Lire l'article original
Elle a fait savoir que des constats de l’Organisation mondiale de la santé indiquaient que le risque de mourir avant l’âge de deux ans est plus élevé pour un enfant qui a perdu sa mère que celui dont la mère a survécu. La mortalité maternelle a des causes qui varient fortement selon les régions et les pays, mais elle est bien plus élevée dans le monde en développement que dans les pays développés. Alors qu’un certain nombre de pays à revenu moyen sont parvenus à réduire la mortalité maternelle, les progrès ont été plus modestes dans les pays à faible revenu, en particulier, en Afrique subsaharienne. En Afrique de l’Ouest et du centre, le risque moyen de mourir à l’accouchement est de 1/17 contre 1/800 dans les pays développés. « Il faut améliorer les soins prénatals et de suivi de grossesse, dans le cadre des efforts intégrés pour mettre en place de meilleurs systèmes de santé nationaux », a dit Vereman. Et d’ajouter : « il est crucial d’investir dans le soins de santé maternelle pour réaliser les objectifs du millénaire pour le développement ». D’autres problèmes auxquels les femmes et les filles sont confrontées viennent aggraver l’absence de soins prénatals et néonatals suffisants.
Par Véron-Clément Kongo
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