Accès aux sites pays fleche Santé tropicale au Bénin BENINSanté tropicale au Burkina Faso BURKINA FASOSanté tropicale au Cameroun CAMEROUNSanté tropicale en Centrafrique CENTRAFRIQUESanté tropicale au Congo CONGOSanté tropicale en Côte d'Ivoire COTE D'IVOIRESanté tropicale au Gabon GABON
Santé tropicale en Guinée GUINEESanté tropicale à Madagascar MADAGASCARSanté tropicale au Mali MALISanté tropicale en R.D. Congo R.D. CONGOSanté tropicale au Sénégal SENEGALSanté tropicale au Togo TOGO



Partenariat Strides - 4ème conférence de l'Académie Africaine de Neurologie - Plus d'informations

Ce site utilise des cookies afin d'améliorer la navigation et mesurer la fréquentation. Pour en savoir plus, cliquez ici

Revue de presse de Santé tropicale

Trier les actualités par :

Coopération sanitaire : l’Italie réhabilite le service d’urgence de l’hôpital général de Makala

Le potentiel | Congo-Kinshasa | 22/03/2008 | Lire l'article original

La République d’Italie vient d’intensifier sa coopération avec la République démocratique du Congo dans le domaine sanitaire avec la réhabilitation du service d’urgence de l’Hôpital général de Makala (ex-Sanatorium), totalement équipé et son personnel recyclé en conséquence pour une réadaptation aux techniques modernes et des soins de santé appropriés aux populations proches de sa zone de santé.

L’ambassadeur d’Italie à Kinshasa, Bernardo Baroncelli, a procédé dernièrement à la remise du nouveau service d’urgence de l’Hôpital général de Makala (ex-Sanatorium), réhabilité et équipé, au ministre de la Santé publique, Victor Makwenge Kaput, au cours d’une cérémonie qu’ils ont présidée conjointement.
Le diplomate italien a saisi cette occasion pour souligner l’engagement de la coopération italienne en RDC, notamment dans le cadre de la lutte contre la pauvreté dans le monde, considérée par son pays comme une «priorité absolue».

Dans ce contexte, l’ambassadeur Bernardo Baroncelli a d’abord rappelé d’importantes actions menées, ces dernières années, pour affronter cette urgence, notamment «les initiatives de remise de dette et la création du Fonds global pour la lutte contre le Sida, la tuberculose et la malaria».
Selon lui, l’engagement italien pour le renforcement des systèmes sanitaires nationaux est aussi réalisé par le canal bilatéral, grâce à l’appui direct aux institutions congolaises, aux projets des ONG, de la Coopération décentralisée et des congrégations religieuses.

L’objectif central, a-t-il dit, est celui d’appuyer les zones de santé primaire et les hôpitaux de référence.
Participation aux 5 chantiers
Dans ce cadre, devait-il ajouter, la Coopération italienne vient d’intensifier ses efforts dans le secteur sanitaire pour contribuer au démarrage des cinq chantiers annoncés par le président Joseph Kabila.

«Notre coopération et notre partenariat se consacrent aux actions à impact immédiat, concret et visible pour l’amélioration des conditions de vie de la population, en particulier des groupes vulnérables et nécessiteux», a précisé le diplomate italien.

Il a rappelé la réhabilitation de trois salles d’urgence des hôpitaux de Kinshasa, Goma et Matadi, l’appui aux zones de santé au Bas-Congo, le projet pour le dépistage du Sida à l’Equateur, le don alimentaire déjà fourni aux démunis de la capitale et bientôt le démarrage d’un projet sanitaire d’urgence au Sud-Kivu.
Revenant à l’événement du jour, l’ambassadeur Bernardo Baronncelli a fait savoir que le service d’urgence de cette formation médicale a été rendu opérationnel grâce à plusieurs actions.

Il y a eu d’abord un cours de formation pratique sur le système d’urgence sanitaire, qui a été organisé en septembre à l’Hôpital général provincial de Kinshasa et auquel cinq employés de l’Hôpital de Makala ont pris part.

Intervention à l’hôpital de Makala

Ensuite, la réhabilitation de l’espace destiné au service d’urgence de l’Hôpital général de Makala, notamment la salle des médecins, l’infirmerie, le hall et les sanitaires, dont les travaux ont été effectués par la Société Grapi.
En dernier lieu, est intervenu l’équipement de la salle d’urgence, particulièrement avec l’équipement sanitaire, les instruments chirurgicaux, en mobiliers sanitaires et en consommables, ainsi qu’en la fourniture d’un appareil d’échographie.

Le diplomate italien a, enfin, invité les responsables administratifs et sanitaires de l’Hôpital de Makala à «assurer la gestion efficace et durable de cette structure et de maximiser l’impact positif sur la population de la capitale». Avant d’ajouter : « Nous sommes prêts à développer notre partenariat et à soutenir davantage les efforts pour assurer la santé primaire à la population congolaise au moment où nous pourrons conjuguer notre appui financier et technique avec notre engagement pour assurer le bon fonctionnement et la bonne gestion des structures réalisées», a-t-il conclu.

Le commerce des biens de seconde main est en train de gagner du terrain à travers la ville de Kinshasa. Autrefois, il était réservé aux biens utilisés par les Kinois et qui se vendent au marché appelé «Koweit». Depuis quelques années, ce commerce s’étend aux biens importés d’Europe. Ces différents articles sont vendus le long des avenues, et des magasins spéciaux pour ces genres de produits sont en train de s’ouvrir peu à peu.

Les « occasions » d’Europe coûtent cher

Des appareils électro-ménagers, des ustensiles de cuisine, des tapis pour décoration, des jouets …attirent encore l’attention des Kinois. Aussi surprenant que cela puisse paraître, ces biens d’occasion d’Europe sont vendus plus cher que ceux flambant neufs exposés dans des magasins. Un fer à repasser ou une cafetière (occasion d’Europe) se vendent à 15, voire 20 dollars américains pièce …

Selon certains acheteurs, ces articles d’occasion d’Europe sont plus durables que ceux exposés dans les magasins. «Nos magasins sont pleins de biens en provenance de l’Asie. Ils sont neufs mais ne durent pas. Même s’il sont vendus moins cher, je préfère payer un bien d’occasion d’Europe qui peut me servir encore durant plusieurs années», confie une dame croisée à la sortie d’un magasin des biens d’occasion. Les vendeurs, quant à eux, évoquent les frais de transport et certains vont jusqu’à parler de la douane pour justifier la valeur jugée exorbitant de leur marchandise.

Par Matshi

Lire l'article original

Retour

NEWSLETTER

Restez informés : recevez, chaque mercredi, la lettre d'informations de Santé tropicale. Inscriptions


Vous êtes professionnel(le) de santé ?

Ce contenu gratuit vous est destiné :

img_produit

img_produit

img_produit

img_produit
Téléchargez hearWHO - Pour vérifier l'audition !

img_produit

img_produit

encart_diam_bailly
Consultez les mentions légales (RCP) des médicaments disponibles dans votre pays

encart_diam_salvat
Consultez les mentions légales (RCP) des médicaments disponibles dans votre pays


CONTACTEZ-NOUS

adresse Adresse

  • APIDPM
    135, chemin de Canto Maï
    83190 Ollioules - France

tel Téléphone

  • +33 4 94 63 24 99

email Contactez-nous


APIDPM

Qui sommes-nous ?

Droits d'utilisation


Site éditeur :
logo

Valid XHTML 1.0 Strict CSS Valide !