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Cameroon tribune | Cameroun | 09/04/2008 | Lire l'article original
C’était au cours des assises du groupe consultatif régional de suivi du projet de prévention du VIH/Sida en Afrique centrale (PPSAC), tenues au siège de l’Organisation de Coordination de la lutte contre les Endémies en Afrique Centrale (OCEAC). « Les présentes assises portent sur le changement de comportement et la réduction des méfaits de la stigmatisation et de la discrimination envers les PVVIH. Après 2 ans d’existence du PPSAC, l’OCEAC avec la contribution des partenaires a pu développer plusieurs approches régionales », a précisé le secrétaire général de l’OCEAC Jean Jacques Moka.
Pour le secrétaire général du Minsanté, Fru Angwafor III, « la stigmatisation semble encore constituer un obstacle à la prévention du VIH et à la prise en charge des cas. Il génère un terrain adéquat à la généralisation de la maladie. » Il poursuit : « La bataille ne peut avoir de résultats tangibles que s’il y a effectivement une action concertée. Il faudra s’attaquer aux causes profondes ». En rappel, le PPSAC est financé par la RFA, la KFW et mis en œuvre par l’OCEAC. Pour sa première phase, il couvrait trois pays, le Cameroun, le Tchad et la RCA. La deuxième phase, dont le protocole d’accord a été signé en décembre dernier, pour un montant de 2,3 milliards de Fcfa environ élargissait le projet au Gabon, Congo et Guinée équatoriale. L’ambassadeur d’Allemagne Volker Seitz qui participait à ces assises s’est d’ailleurs dit satisfait des actions menées dans la sous-région.
Alain TCHAKOUNTE
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