Le Dr Olivier Kingulu explique les difficultés auxquelles est confrontée son institution. «Vu la promiscuité au niveau de Matadi, vu la situation socio-économique basse, à laquelle il faut ajouter l’infection au VIH/Sida, tout cela fait que la tuberculose atteigne ce niveau dans notre province, plus particulièrement dans notre hôpital. Il faut dire que nous rencontrons certaines difficultés. Le tuberculeux doit prendre ses produits pendant un long moment. Mais s’il ne sait pas bien s’alimenter. C’est une grande difficulté. Vous savez, avec le maigre revenu mensuel de l’hôpital, nous sommes confrontés à plusieurs difficultés».

Par DIOSSO OLIVIER

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