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Revue de presse de Santé tropicale

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Santé mentale : 47.450 consultations par an à « Dalal Khel » de Thiès

Le soleil | Sénégal | 06/01/2010 | Lire l'article original

Le Centre de psychiatrie « Dalal Khel » de Thiès reçoit en moyenne 130 consultations par jour. Soit 47.450 consultations par an. Certains patients viennent même de la sous-région, a révélé à Kaolack, Frère André Sène, aumônier de l’hôpital Saint Jean de Dieu de Thiès. Plus de 45.000 malades sont reçus, chaque année, au Centre de psychiatrie, « Dalal Khel » de Thiès. La révélation est de Frère André Sène, aumônier de l’hôpital Saint Jean de Dieu de Thiès, par ailleurs délégué provençal de la congrégation au Sénégal. C’était en marge d’une communication sur la pastorale de la santé, à la direction des œuvres de Kaolack.

« Malheureusement, tous les patients n’ont pas la chance d’être internés. Il n’y a pas suffisamment de place », indique le religieux. Une situation qui ne lui plaît pas du tout. « On aimerait prendre tout le monde. Mais, ce n’est pas possible, parce qu’il n y a pas suffisamment de place », se désole-t-il.

En effet, à l’exception des pavillons des femmes, ceux des hommes sont toujours pleins. Il se trouve aussi que la structure sanitaire n’a pas suffisamment de moyens pour répondre à la demande, explique Frère André Sène.

Cependant, ce problème peut être résolu, si « les autorités nous accordent une subvention conséquente, nous permettant de construire de nouveaux pavillons et d’acheter des médicaments », indique-t-il.

Une réclamation d’autant plus légitime aux yeux du Frère que « les autres structures qui bénéficient de subventions nous amènent des malades qu’on soigne ici. Mieux, la Police et les sapeurs pompiers conduisent souvent des malades qu’on prend totalement en charge ».

Pourtant, « il est du devoir de l’Etat de s’occuper de ses enfants », estime Frère André. « Ou alors, à défaut de subvention, qu’il exonère la taxe sur les médicaments et le matériel médical que nous utilisions », avance-t-il.

Ce chiffre faramineux et le non internement des patients, faute de place disponible, remettent sur le tapis la vieille doléance des praticiens qui ont déploré l’insuffisance de moyens accordés à ce pan de la santé lors de la Journée internationale de la santé.

François MENDY

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