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Un nouveau cas de maladie à virus Ebola a été confirmé aujourd'hui à Beni, en République démocratique du Congo (RDC).
Recommandations de l'OMS lorsque vous voyagez à destination ou en provenance des pays touchés par Ebola
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Avant votre départ, il convient de :
Sources : France diplomatie
Brut, consacre une série documentaire aux ravages du virus Ebola en RDC
Episode 1
Episode 2
Episode 3
*selon l'Institut de veille sanitaire
1. | Le virus Ebola n’est pas naturellement présent en Europe. A ce jour, aucune personne ne s’est jamais infectée en dehors du continent africain. |
2. | Les personnes infectées ne peuvent pas transmettre le virus avant le début des symptômes. |
3. | La transmission du virus nécessite un contact physique rapproché avec une personne infectée présentant des symptômes ou un contact avec des surfaces souillées par les liquides biologiques de la personne (vomissements, linge par exemple). |
4. | Le virus Ebola n’est pas transmis par voie aérienne comme la grippe (dans les transports en commun, par exemple), ni par des vecteurs tels que les insectes. |
5. | La durée d’incubation de la maladie (période entre la contamination et le début des symptômes) est habituellement de quelques jours mais peut durer jusqu’à 3 semaines. |
6. | Les hémorragies ne sont pas présentes au début de la maladie, mais peuvent apparaître au bout de quelques jours, quand la maladie évolue. |
7. | Le virus est détruit par les solutions hydro-alcooliques (pour la peau) et par l’eau de javel diluée à 0,5% (pour les surfaces). |
8. | Il n’existe à ce jour pas de vaccin ni de médicaments spécifiques d’efficacité prouvée contre l’infection. |
9. | Il n’existe pas de moyen permettant de dépister ou de diagnostiquer l’infection avant le début des symptômes. |
10. | La prise en charge des personnes malades le plus tôt possible après le début des symptômes augmente les chances d’évolution favorable de la maladie. |
La transmission de la maladie à virus Ebola (MVE) en République démocratique du Congo a continué à diminuer au cours de la semaine écoulée, avec 40 nouveaux cas confirmés signalés dans les provinces du Nord-Kivu et de l’Ituri ; il s’agit de l’incidence hebdomadaire la plus faible depuis mars 2019. Bien que ces signes soient prometteurs, il est encore trop tôt pour savoir si cette tendance va se confirmer. Les nouveaux « points chauds » continuent à poser des problèmes en termes d’accessibilité, d’insécurité et de violence. Selon les indicateurs de surveillance, les risques pour la santé publique liés à la poursuite de la propagation restent très élevés.
L’intensité de transmission de la maladie à virus Ebola (MVE) dans les provinces du Nord-Kivu, du Sud-Kivu et de l’Ituri reste importante. En effet, 57 nouveaux cas ont été notifiés depuis la publication du bulletin d’information du 29 août. Bien que l’on constate des signes d’amélioration dans certains points chauds, comme la zone de santé de Beni, de nouveaux points chauds apparaissent ailleurs. Dans l’intervalle de 21 jours entre le 14 août et le 4 septembre 2019, 186 cas confirmés au total ont été signalés, dont la majorité provenaient des zones de santé de Beni (17%, n=31), Kalunguta (15%, n=28), Mandima (13%, n=24), et Mambasa (12%, n=22). Les activités de riposte ont été quelque peu difficiles en raison des problèmes d’accès et de l’insécurité là où sont apparus les nouveaux cas dans les zones de santé de Kalunguta, Mandima et Mambasa.
La flambée de maladie à virus Ebola (MVE) qui sévit dans les provinces du Nord-Kivu et de l’Ituri en République démocratique du Congo s’est poursuivie cette semaine avec la même intensité de transmission qu’au cours des six semaines précédentes, où l’on a enregistré 77 cas par semaine en moyenne (Figure 1). Dans l’intervalle de 21 jours entre le 7 août et le 27 août 2019, 66 aires de santé relevant de 18 zones de santé ont signalé de nouveaux cas (Tableau 1, Figure 2). Au cours de cette période, 203 cas confirmés au total ont été signalés, dont la majorité provenaient des zones de santé de Beni (28%, n=57), Mandima (11%, n=22), et Kalunguta (11%, n=22). En outre, on constate encore que Mambasa devient un point chaud, avec 16 cas notifiés au cours des 21 derniers jours. La riposte se poursuit dans ces points chauds, avec une détection précoce, une étude approfondie et un suivi des cas, et la collaboration des communautés locales.
La flambée de maladie à virus Ebola (MVE) qui sévit dans les provinces du Nord-Kivu et de l’Ituri en République démocratique du Congo s’est poursuivie cette semaine avec la même intensité de transmission (Figure 1). Nous avons assisté, au cours des dernières semaines, à l’apparition de cas dans de nouvelles zones de santé mais nous constatons encore qu’il y a un grand nombre de cas, une transmission locale soutenue et des déplacements de cas entre les zones de santé, à destination et en provenance des points chauds de Beni, Mandima et Butembo.
La flambée de maladie à virus Ebola (MVE) qui sévit dans les provinces du Nord-Kivu et de l’Ituri en République démocratique du Congo s’est poursuivie cette semaine avec une transmission d’une intensité semblable à celle des semaines passées, c’est-à-dire 81 cas par semaine en moyenne (entre 68 et 91 cas par semaine) au cours des six dernières semaines (Figure 1). Il n’y a actuellement aucun cas confirmé de MVE en dehors de la République démocratique du Congo.
La flambée de malade à virus Ebola qui sévit dans les provinces du Nord-Kivu et de l'Ituri en République démocratique du Congo s'est poursuivie cette semaine, l’intensité de transmission étant similaire à celle observée ces dernières semaines avec une moyenne de 86 cas par semaine (de 80 à 91 cas par semaine) au cours des six dernières semaines (Figure 1). Il n'y a actuellement aucun cas confirmé de maladie à virus Ebola (MVE) en dehors de la République démocratique du Congo.
La flambée de maladie à virus Ebola (MVE) qui sévit dans les provinces du Nord-Kivu et de l'Ituri en République démocratique du Congo s’est poursuivie cette semaine avec une transmission d’une intensité semblable à celle des semaines passées, c’est-à-dire 85 cas par semaine en moyenne (entre 79 et 91 cas par semaine) au cours des six dernières semaines (Figure 1). Il n’y a actuellement aucun cas confirmé de MVE en dehors de la République démocratique du Congo.
La flambée de maladie à virus Ebola (MVE) qui sévit dans les provinces du Nord-Kivu et de l'Ituri en République démocratique du Congo se poursuit dans un contexte de crise complexe, et nous observons toujours une transmission locale soutenue et un nombre élevé de cas. En particulier, la zone de santé de Beni a enregistré plus de la moitié de l'ensemble des nouveaux cas notifiés au cours des trois dernières semaines, ainsi qu'un certain nombre de cas et de contacts qui s'étaient rendus dans d'autres zones de santé. Il s'agit de la deuxième vague de la flambée épidémique dans la zone de santé de Beni, et celle-ci est plus importante en nombre de cas et plus longue en termes de durée que la vague initiale. On continue de signaler de nouveaux cas d'infections nosocomiales et d'infections chez des agents de santé à Beni ainsi que dans d'autres zones de santé touchées, en dépit des efforts considérables déployés par de multiples organismes en matière de lutte antiinfectieuse durant la dernière vague de la flambée. Un total de 141 cas (soit 5 % du nombre total) ont déjà été signalés à ce jour.
Le 17 juillet 2019, le Directeur général a convoqué la réunion du Comité d’urgence au titre du Règlement sanitaire international (RSI) (2005) concernant la maladie à virus Ebola (MVE) en République démocratique du Congo (RDC). Cette réunion du Comité d'urgence était convoquée pour la quatrième fois par le Directeur général depuis la déclaration de la flambée en août 2018 (les réunions précédentes avaient eu lieu en octobre 2018, avril 2019 et juin 2019). Le Directeur général a accepté la recommandation du Comité et a déclaré que la flambée de maladie à virus Ebola en République démocratique du Congo constitue une urgence de santé publique de portée internationale (USPPI). La décision était fondée sur l’évolution récente de la flambée, notamment l’expansion géographique du virus.
Cette semaine, la flambée de maladie à virus Ebola (MVE), qui frappe les provinces du Nord-Kivu et de l’Ituri en République démocratique du Congo s’est poursuivie à une intensité de transmission similaire à celle de la semaine précédente. Le nombre de nouveaux cas continue à baisser dans les anciens points chauds, comme les zones de santé de Butembo, Katwa et Mandima, tandis que le nombre de cas augmente à Beni et que l’incidence reste élevée dans certaines parties de la zone de santé de Mabalako. Outre la réapparition de ces points chauds, un grand nombre de personnes atteintes d’une infection confirmée ou probable, dont la plupart viennent de la zone de santé de Beni, se déplacent vers d’autres zones de santé.
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