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Qu'est-ce que le virus Ebola ?
Le virus Ebola appartient à la famille des filovirus, à laquelle appartient également le virus Marburg. Il a été identifié pour la première fois en 1976 dans la province ouest-équatoriale du Soudan et dans une région voisine du nord du Zaïre (aujourd'hui République Démocratique du Congo). Il existe cinq espèces de virus Ebola : Bundibugyo, Côte d'Ivoire, Reston, Soudan et Zaïre. Les flambées de fièvre hémorragique provoquées par le virus Ebola surviennent principalement en Afrique avec un taux de létalité de 25% à 90%.
Le virus Ebola se transmet à l'homme à partir des animaux sauvages et se propage ensuite dans les populations par transmission interhumaine.
Au sommaire de ce dossier :
Ce dossier aborde également la sécurité sanitaire pour les voyageurs. Vous trouverez une liste de recommandations de l'OMS lorsque vous voyagez à destination ou en provenance des pays touchés par Ebola.
Consulter le dossier sur le virus Ebola
Selon les dernières estimations de décembre 2013, on a enregistré, en 2012, 207 millions de cas de paludisme (avec une marge d'incertitude comprise entre 135 millions et 287 millions) qui ont causé 627 000 décès (avec une marge d'incertitude comprise entre 473 000 et 789 000), soit une diminution de la mortalité de 42% au niveau mondial par rapport à 2000 et de 49% dans la Région africaine de l'OMS. La plupart des décès survient chez des enfants vivant en Afrique, où chaque minute un enfant meurt du paludisme. En Afrique le taux de mortalité des enfants a diminué de 54% par rapport à 2000.
Ces moustiquaires assurent une protection individuelle contre les piqûres de moustiques. Elles peuvent protéger les populations les plus exposées en particulier le jeune enfant et la femme enceinte dans les zones de transmission intense. Ces moustiquaires sont efficaces de 3 à 5 ans selon le modèle et les conditions d'utilisation. Selon le Rapport mondial sur le paludisme 2013, 86% des personnes ayant accès à une moustiquaire, l'utilisent.
Ces informations sont extraites du dossier « 10 faits sur le paludisme » réalisé par l'OMS, actualisé en mars 2014 et disponible sur le site de l'OMS : https://www.who.int/features/factfiles/malaria/fr/
Consulter le dossier sur le paludisme
De manière générale, en Afrique, les problèmes de lutte contre le diabète sont les mêmes que ceux que peuvent rencontrer les médecins et les autorités de santé face aux maladies infectieuses, parasitaires ou chroniques, (VIH/sida, paludisme, tuberculose …). Ce sont les difficultés d'un diagnostic précoce et de l'accès aux soins, le problème de l'abandon de traitement en raison du coût des transports et des médicaments, le manque de personnels et de structures qualifiés et la concurrence souvent préjudiciable des tradithérapeutes.
Quelques chiffres... Environ 15 millions de personnes atteintes du diabète en Afrique :
Consulter le dossier sur le dépistage du diabète
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