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15/02/2006 | Cameroon tribune | Cameroun
Le Pr. Robert John Ivo Leke a été installé lundi dernier dans ses nouvelles fonctions.
Après 35 ans de service en tant que médecin, le Pr. Robert John Ivo Leke gynécologue à l’hôpital central de Yaoundé est désormais le nouveau conseiller médical dans l’établissement hospitalier par une décision ministérielle du 8 février 2006.
Mots clés : John Ivo Leke, Hôpital Central, Yaoundé
09/02/2006 | Mutations | Cameroun
L’éclaircissement est à l'origine de sérieux problèmes de santé.
Les proches d'Hélène, cadre d'une société parapublique à Yaoundé, ont du mal à la reconnaître. Leur difficulté vient de ce que, en quelques mois, son teint noir ébène a viré au clair. Pis encore, la peau de la dame est couverte de vergetures et de vilaines cicatrices, surtout au niveau du visage. Elle porte les séquelles de brûlures de crèmes éclaircissantes appliquées sur sa peau.
Mots clés : Dépigmentation, éclaircissement, Kenakort
09/02/2006 | Mutations | Cameroun
La promotrice du centre Kindjo condamne énergiquement le décapage
Vous êtes à la fois pharmacienne et esthéticienne, quel regard portez-vous sur le phénomène d'éclaircissement de la peau ?
La femme cherche toujours ce qu'elle n'a pas. C'est pourquoi la dépigmentation est devenue un phénomène de société qui ne concerne pas que les Camerounaises. Communément appelée “tchatcho" au Mali, bojou au Bénin, xeesal au Sénégal et "kobwakana" ou kopakola dans les deux Congo, l'éclaircissement de la peau est fortement répandu en Afrique, même en Afrique du Nord.
Mots clés : Bayiha Meka, éclaircissement, tchatcho, bojou, xeesal, kobwakana, kopakola
31/01/2006 | Mutations | Cameroun
Le directeur régional de l'Organisation mondiale de la santé (Oms) pour l'Afrique, le Dr Luis Samba, a invité, récemment , les experts réunis à Brazzaville pour une concertation régionale sur le sujet, à mettre au point un plan d'action contre la grippe aviaire pour la période 2006-2007, annonce la pana.
Mots clés : Grippe, Luis Samba, pandémie
27/01/2006 | Cameroon tribune | Cameroun
Le taux de prévalence est de 0,34 pour 10 000 habitants. Le combat se déporte sur le terrain de la stigmatisation.
A deux jours de la célébration de la Journée mondiale de la lèpre, la 53e du genre, le Cameroun n’a vraiment plus du souci à se faire par rapport à cette maladie. Avec 622 malades enregistrés à la fin de l’année 2004, le pays a rejoint le groupe des Etats africains ayant atteint le seuil d’élimination de la lèpre.
Mots clés : Lèpre, Cameroun, Charles Nsom Mba
24/01/2006 | Cameroon tribune | Cameroun
Pour prévenir les résistances, il est préconisé d’utiliser l’artémisinine en bithérapie.
Le paludisme sévit en ce moment dans diverses régions du pays. Les cas d’hospitalisation se multiplient et les résultats des examens indiquent dans la plupart des cas, un paludisme sévère, avec anémie. Les moustiques sont pointés du doigt. Pour le traitement, on prend ce qu’on peut pour se tirer d’affaire. Alors que chacun tente sa prise en charge, voilà qu’une bonne nouvelle vient de Genève, le siège de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). Dans ce qu’on peut interprêter comme les nouvelles indications pour le traitement du paludisme, l’OMS demande aux laboratoires pharmaceutiques de cesser de commercialiser et de vendre des comprimés antipaludiques comportant uniquement de l’artémisinine. Le souci d’éviter le développement d’une résistance du parasite du paludisme à ce médicament est à la base de cette recommandation.
Mots clés : artémisinine, bithérapie, paludisme, anophèle, Artésunate
24/01/2006 | Cameroon tribune | Cameroun
Dr Dorothy Achu, chef de section prise en charge des cas au Programme national de lutte contre le paludisme.
Pouvez-vous nous parler des vertus du traitement du paludisme par les dérivés d’artémisinine ?
Les dérivés d’artémisinine sont issus d’une plante qui vient d’Asie. Il est reconnu qu’ils sont très efficaces contre le paludisme. Lorsque nous utilisons cette plante, elle est déjà sous forme de médicament testé et éprouvé. Ses dérivés sont disponibles chez nous. Ce qu’il faut retenir, c’est qu’ils ont une bonne efficacité chez le malade et leur action est très rapide chez ce dernier.
Mots clés : paludisme, artémisinine, combinaison thérapeutique, médicament
17/01/2006 | Cameroon tribune | Cameroun
Pour le ministère de la Santé publique c’est du pain béni. Avec le programme de Global Deworming Initiative dans la lutte contre la schistosomiase et les helminthiases, près de 4,5 millions d’enfants pourront être déparasités en 2006. Il y a neuf mois, lors de la première réunion en avril 2005, le Comité national de lutte contre la schistosomiase et les helminthiases intestinales rappelait que deux millions de Camerounais souffrent de schistosomiase, et 10 millions d’helminthiase. Et vendredi dernier, il a été question pour le ministre de la Santé publique, Urbain Olanguena Awono, de présenter le rapport d’activités 2005, et ce projet de déparasitage.
Mots clés : schistosomiase, helminthiases intestinales, péril fécal,
13/01/2006 | Cameroon tribune | Cameroun
Contrairement aux instituts publics, les structures privées tardent à appliquer les nouveaux tarifs des examens biologiques. Afin de permettre un meilleur accès des personnes malades du sida aux traitements, le gouvernement réduisait le 27 décembre dernier le coût des examens biologiques, qui passait de 16 000 à 3000 Fcfa par personne et par semestre. Selon un communiqué du ministre de la Santé publique, ce nouveau tarif entrait en vigueur dès le 1er janvier.
Mots clés : VIH, sida, coût des examens biologiques, laboratoires privés,
12/01/2006 | Cameroon tribune | Cameroun
Un événement récent dans le domaine de la santé de reproduction au Cameroun est venu rappeler que certaines femmes prennent encore des risques lorsqu’elles sont enceintes. Les spécialistes connaissaient la fistule obstétricale, mais personne n’avait jusque-là imaginé qu’on pouvait retrouver ce véritable fléau au Cameroun. Des femmes qui n’arrivent pas à retenir leurs urines et leurs selles parce qu’elles ont été victimes d’un accident lors de l’accouchement… c’est un mal qu’on savait très répandu en Afrique de l’Ouest. Mais qu’une étude menée dans le cadre du quatrième programme d’assistance entre le Cameroun et le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) vient de révéler dans les provinces septentrionales.
Mots clés : femmes enceintes, fistule obstétricale, mortalité maternelle,
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