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07/11/2007 | Cameroon tribune | Cameroun
Cette situation désastreuse a été observée,
la semaine dernière. Emmanuel Lissouck, retraité de 78 ans, victime
d’une hémiplégie dans son village de Mom est évacué
à Douala où travaille son fils. Admis à la polyclinique
d’Akwa, il reçoit les premiers soins d’urgence, en attendant
les résultats du scanner que lui prescrit son médecin traitant.
Face à la gravité du mal, l’urgence commande que le scanner
cérébral ordonné par la polyclinique se fasse dans les
meilleurs délais. Le médecin craint un dysfonctionnement des nerfs
cérébraux ayant occasionné la paralysie partielle verticale
du côté droit que présente le septuagénaire. Deux
jours après l’admission dans le centre hospitalier d’Akwa,
les nouvelles ne sont pas bonnes.
Mots clés : scanner
06/11/2007 | Cameroon tribune | Cameroun
24heures ont été nécessaires pour trouver une
issue au conflit qui menaçait les rapports entre la Faculté de
Médecine et des Sciences biomédicales de Yaoundé (FMSB)
et les futurs techniciens supérieurs en santé. Ceux-ci, on s’en
souvient, ont manifesté jeudi dernier suite à la décision
du doyen de prolonger leur année académique de deux semestres.
De quoi s’agit-il en réalité ? Selon un responsable de la
FMSB, l’année dernière, l’ensemble du corps enseignant
de la FMSB s’est rendu compte qu’il y a au sein de la faculté,
un cycle de formation en biomédicales et en médico-sanitaire.
Mots clés : faculté de médecine
30/10/2007 | Cameroon tribune | Cameroun
Depuis hier, les personnels de santé de la sous-région
se recyclent pour améliorer le diagnostic et la prise en charge. La maladie
du sommeil reste encore un problème de santé publique. En Afrique
subsaharienne, 50 millions de cas sont notifiés et la sous-région
Afrique centrale n’est pas épargnée. 45 000 cas sont déclarés
chaque année dans cette zone. C’est donc pour améliorer
les compétences des personnels de santé que l’Organisation
de coordination pour la lutte contre les endémies en Afrique centrale
(Oceac) organise depuis hier et ce jusqu’au 10 novembre une formation
à l’hôtel Djeuga de Yaoundé. Un séminaire d’initiation,
le premier du genre, des spécialistes du terrain des foyers d’endémie
d’Afrique centrale aux techniques de diagnostic de lutte contre la trypanosomiase
humaine africaine et la cérémonie d’ouverture a été
présidée hier par le ministre de la Santé publique, André
Mama Fouda. Une trentaine de personnels de santé issus des six pays de
la zone Cemac vont développer leurs techniques en surveillance épidémiologique,
traitement et suivi post thérapeutique, diagnostic clinique microscopique
…
Mots clés : maladie du sommeil, trypanosomiase humaine
27/10/2007 | Cameroon tribune | Cameroun
Une campagne de déparasitage des enfants en âge scolaire dans six
provinces du Cameroun a été lancée vendredi dernier à
Garoua. Déparasiter systématiquement et régulièrement
tous les enfants en âge scolaire, rendre les médicaments disponibles
dans toutes les formations sanitaires, éduquer et sensibiliser les populations,
promouvoir l’hygiène et l’assainissement de l’environnement.
Telles sont les actions prioritaires que compte mener le programme national
de lutte contre la schistosomiase et les helminthiases intestinales au Cameroun.
Lancé officiellement vendredi dernier à Garoua par le Secrétaire
permanent du programme, le Pr. Louis-Albert Tchuem Tchuente, ce projet sanitaire
va couvrir toutes les trois provinces septentrionales, ainsi que la province
du Sud, du Sud-ouest et du Nord-Oeust. Pour le gouverneur de la province du
Nord, Roger Moïse Eyene Nlom, qui présidait la cérémonie,
c’est une satisfaction de voir la capitale provinciale du Nord abriter
le lancement de ce programme pour toutes les six provinces concernées.
Mots clés : vers intestinaux
24/10/2007 | La nouvelle expression | Cameroun
Les infections, à l’instar du VIH/Sida, sont les premières
causes de destruction des reins. C’est ce que révèle le
8è atelier de néphrologie en Afrique subsaharienne, qui s’est
ouvert mercredi, à Douala. Lors de sa visite de prise de contact dans
la capitale économique depuis mardi, le ministre de la Santé publique,
André Mama Fouda, a ouvert les travaux de la société africaine
de néphrologie qui prennent fin ce matin à l’hôtel
Akwa palace. Les néphrologues venus des pays de l’Afrique sub-saharienne
de France et du Canada, sont venus se joindre à leurs confrères
camerounais, afin d’étaler au grand jour les causes de la recrudescence
des maladies du rein. “De plus en plus, on voit des maladies rénales
même sur les enfants de un à seize ans. Il y en a beaucoup qui
font l’insuffisance rénale, je peux dire peux dire par ignorance…
”, indique le Dr Charlotte Tchemy, vice-présidente de la Société
camerounaise de néphrologie (Socaneph).
Mots clés : infection rénale, sida
23/10/2007 | Cameroon tribune | Cameroun
La situation est inquiétante. De sources médicales, si
de nombreuses femmes camerounaises meurent des suites d’un accouchement
difficile, le mauvais suivi ou l’absence de suivi est généralement
à l’origine de ces décès qu’on pouvait éviter.
Joséphine K., la trentaine, semble en avoir pris conscience. Poussée
à se faire consulter par l’aide-soignante du centre de santé
de son village, hier à 8h du matin, elle attendait d’être
reçue par un médecin dans un hôpital de la place. Son ventre
est proéminent. Elle porte une grossesse de six mois et souffre d’une
infection. C’est la première fois qu’elle vient faire des
examens prénataux. Une pilule difficile à avaler car avant d’arriver
en ville, elle a voyagé pendant deux heures. A titre de rappel, le village
de Joséphine K., est situé à 50 km de la ville et la route
est très cahoteuse.
Mots clés : suivi prénatal, grossesse
23/10/2007 | Cameroon tribune | Cameroun
La mortalité maternelle. Il en a été abondamment
question lors du tout premier congrès franco-camerounais de gynécologie
et obstétrique, il y a deux semaines à Yaoundé. Et comme
les spécialistes ont pu s’en rendre compte, beaucoup de femmes
meurent encore au Cameroun au cours des neuf mois devant normalement les conduire
vers le bonheur de donner la vie. Les chiffres parlent d’eux-mêmes
: un décès toutes les deux heures dans les salles d’accouchement.
Une femme sur deux, un nouveau-né sur deux meurent dans les 24 heures
qui suivent l’accouchement. Il existe comme ça des statistiques
et des statistiques, les unes aussi alarmantes que les autres. Mais toutes traduisant
avec force une réalité frappante.
Mots clés : Santé maternelle, grossesse
23/10/2007 | Cameroon tribune | Cameroun
L’éclairage du Pr. Doh Anderson Sama, gynécologue,
chirurgien. Qu’est-ce qui tue le plus les parturientes chez nous ? Permettez-moi
d’abord de dire que la mortalité maternelle est liée aussi
bien aux grossesses qui arrivent à terme, à celles interrompues
à mi-chemin et aux grossesses extra-utérines. Il y a aussi des
facteurs qui sont aggravés par la gestation. En cas de problème
cardiaque par exemple, les changements physiologiques dus à la grossesse
augmentent les risques – le volume de sang augmente pratiquement de 40%,
mettant le cœur à rude épreuve. Pendant cette période,
les facultés immunitaires peuvent s’amoindrir, exposant aussi la
femme enceinte. Pour en revenir à votre question, la cause la plus fréquente
de mortalité maternelle – jusqu’à 70% selon certaines
études – est le saignement. Pendant l’accouchement ou quelque
temps après. Ensuite viennent les infections puis ce qu’on appelle
éclampsie. Selon les statistiques, dans les pays en voie de développement,
environ 670 sur 100 000 meurent en accouchant. Il y a une décennie on
était à 430 femmes.
Mots clés : mortalité maternelle
18/10/2007 | Cameroon tribune | Cameroun
«L’hôpital ne suffit pas à réduire
la mortalité infantile. Il faut développer de réels partenariats
aux interventions communautaires ». C’est ce qu’on pense à
la Caisse Nationale de Prévoyance Sociale (CNPS). Pour réduire
la mortalité infantile, et éviter que les nouveau-nés ne
meurent avant leur arrivée à l’hôpital, le directeur
général adjoint de la Cnps, Lysette Ngatchou a lancé hier
à l’hôtel Hilton de Yaoundé, un programme de prévention
des risques chez la mère et l’enfant en milieu communautaire. C’est
en partenariat avec l’association Synergies Africaines contre le Sida
et les souffrances, et la Société camerounaise de pédiatrie
(Socaped), qu’elle a élaboré ce programme dont l’objectif
est la promotion des soins en santé maternelle et infantile.
Mots clés : nouveau-né, mortalité infantile
17/10/2007 | Mutations | Cameroun
"40% des patients qui se rendent aux urgences de l'hôpital central de Yaoundé sont hypertendus", révèle le docteur Elysée Yakana, médecin urgentiste. Il précise que ces patients ne savent pas au départ qu'ils le sont. Et c'est au niveau des urgences que le diagnostic est posé, avant le transfert chez le spécialiste.
Mots clés : hypertendus,
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