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Le Faso | Burkina Faso | 27/03/2024 | Lire l'article original
Pour Dr Paul Stanislas Rimpingdewindé Zoungrana, la baisse significative des tarifs des examens de scanner, d’IRM et d’actes d’hémodialyse dans le secteur hospitalier public pourrait drainer les patients du secteur confessionnel et une partie du secteur privé vers les structures publiques de santé. Pour lui, les personnes les plus vulnérables pourraient se retrouver avec des délais trop longs pour réaliser leurs examens, si des mesures strictes de gestion des files d’attente pour accéder à ces examens ne sont pas mises en place.
Je dois d’emblée dire que j’applaudis des deux mains les mesures annoncées par le conseil des Ministres du 13 mars 2024, concernant la baisse significative des tarifs des examens de scanner, d’IRM et d’actes d’hémodialyse. J’ai été très vite submergé par beaucoup de questions quant à la pérennité de la mesure. Par pérennité, j’entends l’accessibilité permanente attendue des usagers vulnérables. Mes questions ont vite cédé la place à des inquiétudes. En effet, les patients des établissements confessionnels, associatifs, ONG et privés où les examens d’imagerie et de dialyse ne sont pas subventionnés par l’État iront grossir les rangs dans les établissements publics.
Il y a trois (3) catégories d’établissements au Burkina Faso :
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