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02/03/2006 | L'express de Madagascar | Madagascar
Pouvez-vous expliquer la différence entre dengue, chikungunya et arborivose ?
L'arbovirose est une infection due à l'arbovirus, c'est-à-dire une famille de virus, transmis par des moustiques aèdes. La dengue, qu'elle soit classique ou hémorragique, ainsi que le chikungunya, sont des variantes de l'arbovirose. La première est transmise par le flavivirus et la seconde par l'alphavirus.
Mots clés : Rakotonjanabelo Lamina Arthur, maladies, OMS, dengue, chikungunya, arborivose, virus, flavivirus, alphavirus
02/03/2006 | L'express de Madagascar | Madagascar
Le rythme de vie que s’imposent les Tananariviens a forcément un impact sur leur santé.
Un véritable problème de santé publique. Les maladies chroniques liées au mode de vie, dont l'hypertension artérielle, les accidents cardio-vasculaires cérébraux, les cancers, les maladies respiratoires, le diabète etc... n'épargnent pas Madagascar.
Mots clés : maladies chroniques, hypertension artérielle, accidents cardio-vasculaires cérébraux, cancers, maladies respiratoires, diabète, Madagascar
01/03/2006 | Madagascar tribune | Madagascar
En 2005, sur 58 millions de décès, toutes causes confondues, 35 millions (soit 60 %) ont été dus aux maladies chroniques, c’est-à-dire, les maladies cardio-vasculaires, les accidents vasculaires cérébraux (AVC), les cancers, les maladies respiratoires chroniques et le diabète. Les pays pauvres, dont Madagascar, ont été les plus touchés car 80 % de ces décès surviennent dans les pays à revenu faible et intermédiaire. Si aucune action n’est entreprise pour les 10 ans à venir, ce taux risque d’augmenter de 17 %.
Madagascar n’échappe pas à cette hausse de l’incidence des maladies non transmissibles (MNT), dont font partie ces maladies chroniques, qui sont en passe de devenir un problème de santé publique.
Mots clés : maladies non transmissibles, maladies chroniques, maladies cardio-vasculaires, accidents vasculaires cérébraux, cancers, maladies respiratoires chronique, diabète, Madagascar
01/03/2006 | L'express de Madagascar | Madagascar
C'est dans cette optique qu'il a annoncé, avant-hier à Faravohitra, au cours d'une séance de dépistage à la résidence du chef de l'Etat, la prochaine installation des centres de dépistage et de conseils dans la ville des Mille.
Interrogé sur le pourquoi de cette décision, le premier magistrat de la ville répond “qu'elle vise à inciter le plus grand nombre à se faire dépister pour permettre à chacun de connaître son état sérologique”. Il est constaté que le nombre de personnes qui se sont faites dépister est relativement faible car elles avoisinent les 12 000 sur 17 millions d'habitants en 2005. Pourtant le dépistage est gratuit.
Mots clés : Santé publique, dépistage, sida, état sérologique, Madagascar, VIH
27/02/2006 | L'express de Madagascar | Madagascar
Pour faire face à la mondialisation, le corps médical à Madagascar aura bientôt un nouveau code de déontologie. “Il est temps que la profession médicale à Madagascar suive la tendance actuelle surtout en ce qui concerne la mondialisation”, explique le Dr Carmen Randriamanampisoa, président du Conseil régional de l’ordre des médecins d’Antananarivo (Crom).
Mots clés : code de déontologie, Madagascar, Carmen Randriamanampisoa, Antananarivo, médecins
25/02/2006 | Madagascar tribune | Madagascar
Selon le docteur Roland Robinson, chef du service d'Urgence en catastrophes, « le dengue 1 ne finit jamais sur un décès ». C'est une maladie curable à souhait. En fait, le dengue 1 favoriserait l'émergence du « tazomoka », maladie endémique à Madagascar, surtout à Toamasina, zone chaude et pluvieuse, lieu de prédilection de cette maladie devenue épidémique parfois à une période bien déterminée : la saison des pluies.
Mots clés : Toamasina, dengue, Roland Robinson, tazomoka, Madagascar, Flavivirius
22/02/2006 | L'express de Madagascar | Madagascar
Satish Faugoo, ministre de la santé a rencontré les conseillers de district Triolet.
L’hystérie grandit face à la menace du chikungunya. L’émoi soulevé par la mort d’un enfant de cinq ans à Trou-d’Eau-Douce en est l’illustration. En fait, son test de chikungunya s’est avéré négatif et l’autopsie a démontré qu’il était mort d’une pneumonie.
Devant cette peur collective, le ministre de la Santé, Satish Faugoo, a commencé à descendre sur le terrain pour une campagne d’explication. Cette tournée a démarré lundi à Triolet et se poursuit aujourd’hui à Mahébourg.
Mots clés : Maurice, chikungunya, moustiques
22/02/2006 | L'express de Madagascar | Madagascar
Si la fièvre qui les frappe a désormais un nom, les malades ne sont pas rassurés pour autant.
Les résultats des analyses des prélèvements sanguins des malades de l'hôpital de Toamasina démontrent que la fièvre est une dengue classique.
Fin du suspens. La forte fièvre qui sévit dans la ville de Toamasina depuis le mois de janvier n'est pas de la chikungunya mais de la dengue classique encore dénommée "dengue 1". C'est du moins ce qu'a annoncé le Dr Antoine Talarmin, directeur général de l'Institut Pasteur de Madagascar, hier, au cours d'un point de presse au ministère de la Santé et du planning familial à Ambohidahy.
Mots clés : Fièvre, Toamasina, dengue, chikungunya, Antoine Talarmin, Institut Pasteur, Madagascar, flavivirus
07/02/2006 | L'express de Madagascar | Madagascar
Diverses maladies apparaissent en ce moment. La situation sanitaire est-elle alarmante ?
Elle est normale, dans la mesure où nous sommes en pleine saison des pluies. Des maladies existent tout au long de l'année, seulement elles foisonnent entre octobre et avril. En effet, les microbes prolifèrent et se propagent facilement à cause des eaux stagnantes, de l'arrivée des pluies et de la hausse de la température et de l'humidité.
Mots clés : Yolande Nirina Raoelina, maladies émergentes, chikungunya, surveillance épidémiologique
06/02/2006 | L'express de Madagascar | Madagascar
Quinze jours après avoir notifié publiquement et à travers la presse son brevet sur le médicament anti-sida, le chercheur Zaranaina Fanomezantsoa Christian affirme qu’aucune opposition n’a été formulée à l’encontre de son brevet durant le délai imparti.
C’est du moins ce qu’il a annoncé vendredi. Contacté par téléphone, Zaranaina Fanomezantsoa Christian a expliqué : “Depuis le 20 janvier, date de la notification publique du brevet immuno-régulateur anti-vih”, personne n’a réagi ni porté l’affaire en justice pour faire une opposition juridique ou verbale au tribunal.
Mots clés : Brevet, Zaranaina Fanomezantsoa, immuno-régulateur anti-vih
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