← retour Santé tropicale
Accès aux sites pays BENIN BURKINA FASO CAMEROUN CENTRAFRIQUE CONGO COTE D'IVOIRE GABON
GUINEE MADAGASCAR MALI R.D. CONGO SENEGAL TOGO
Républicoftogo | Togo | 17/05/2010 | Lire l'article original
Les contrefaçons, que l’on trouve sur les marchés et dans certaines pharmacies,
sont parfaites; même emballage, même logo. Seul le contenu diffère de l'original.
Les comprimés sont la plupart du temps inopérants en raison de leur composition
et donc dangereux pour la santé.
"Qu'on ne me dise pas qu'il ne s'agit pas d'un crime!", avait lancé
l'ancien président français Jacques Chirac lors de son appel de Cotonou en octobre
2009 en s'appuyant sur des données alarmantes de l'Organisation mondiale de
la santé (OMS): un médicament sur 4 est faux dans les pays en développement
et 200.000 décès pourraient être évités chaque année si les médicaments prescrits
contre le paludisme étaient conformes à la réglementation et capables de traiter
réellement la maladie.
Republicoftogo.com : Que faire face à ce fléau ?
Innocent Kpeto : C’est pour nous une véritable préoccupation.
Heureusement, nous sommes soutenus au plus haut niveau de l’Etat.
Pour preuve, le chef de l’Etat, Faure Gnassingbé, a signé l’appel de Cotonou.
La contrefaçon est un danger pour tout le monde ; elle peut mettre en péril
la vie des patients.
Les malades doivent comprendre cela. Il faut absolument faire confiance aux
professionnels de santé, c’est à dire les médecins et les pharmaciens.
Restez informés : recevez, chaque mercredi, la lettre d'informations de Santé tropicale. Inscriptions
Ce contenu gratuit vous est destiné :
Adresse
Téléphone
Contactez-nous
Actualités
Articles médicaux