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Revue de presse de santé tropicale

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Réparation des séquelles des MGF : renforcer les compétences des prestataires

Le pays | Burkina Faso | 12/04/2011 | Lire l'article original

La directrice de la Santé de la famille a ouvert le 11 avril 2011 à Ouagadougou, un atelier de formation des professionnels de la Santé sur la réparation des séquelles des mutilations génitales féminines. A la clinique SUKA, les participants suivront la formation en deux sessions : la première du 11 au 14 avril et la deuxième du 18 au 21 avril 2011.

Des médecins, des gynécologues, des attachés de santé, des sages-femmes et des étudiants en spécialisation de gynécologie obstétricale sont concernés par cet atelier de formation ouvert à la clinique SUKA, à Ouagadougou le 11 avril 2011. Cette formation est confiée à la Société des gynécologues et obstétriciens du Burkina (SOGOB). La première session de la présente formation s’étend du 11 au 14 avril 2011 et la deuxième session du 18 au 21 avril 2011 à la clinique SUKA. Pour la directrice de la Santé de la famille, Dr Djénéba Sanou, cette formation va permettre de renforcer les capacités des prestataires des CMA, des CHR et des CHU pour une disponibilité permanente de l’offre de soins en réparation de séquelles des Mutilations génitales féminines (MGF).

Dans son discours d’ouverture, elle a souligné que la santé de la reproduction reste, dans notre pays, toujours confrontée aux séquelles de l’excision. Les conséquences de cette pratique (décès des concernées suite à des hémorragies, difficultés au moment de l’accouchement) sur la santé de la reproduction sont bien perceptibles dans notre société. Et selon le recensement général de la population et de l’habitat de 2006, le taux de prévalence de la pratique de l’excision par tranche d’âge est estimé à 24,7% chez les 15-49 ans. C’est au regard de ce constat que le ministère de la Santé, dans sa quête quotidienne d’amélioration de la santé sexuelle, a mobilisé les partenaires dont l’OMS, pour un renforcement des compétences des prestataires. La directrice a, par ailleurs, réitéré ses remerciements à l’Organisation mondiale de la santé pour son accompagnement technique et financier, tout en reconnaissant l’engagement de la Société des gynécologues et obstétriciens du Burkina en faveur de la santé de la mère et de l’enfant.

Rasmané KONSEIMBO (Stagiaire)

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