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Lutte contre le paludisme par les biolarvicides : les initiateurs du projet font le point

Le pays | Burkina Faso | 09/10/2011 | Lire l'article original

Dans le cadre de la lutte contre le paludisme par l’utilisation de biolarvicides, il a été mis en place un projet pilote, fruit d’un partenariat entre la mairie de Ouagadougou, le ministère de la Santé et l’UEMOA. C’est pour faire le point sur l’évolution du projet que les partenaires ont organisé une conférence de presse le jeudi 6 octobre 2011 à la mairie de Ouagadougou.

Au Burkina, selon les statistiques, le paludisme reste la première cause de décès et d’hospitalisation. Les femmes et les enfants sont d’ailleurs les plus touchés. C’est pour lutter contre ce mal qu’il a été élaboré et mis en œuvre un projet pilote de lutte contre le paludisme par l’utilisation de biolarvicides dans la ville de Ouagadougou. Ainsi, une convention de partenariat a été signée entre l’UEMOA, le ministère de la Santé, la mairie de Ouagadougou et l’entreprise cubaine Labiofam. Afin de donner des informations sur l’évolution du projet, une conférence de presse a été organisée le 6 octobre dernier à Ouagadougou.

Le coordonnateur du projet, Pierre Kayendé, a fait savoir que c’est un projet intégral et il s’agira d’une pulvérisation extra domiciliaire qui combat les anophèles et d’autres moustiques. Les résultats attendus du projet, selon le maire de Ouagadougou, Simon Compaoré, sont notamment la réduction de la densité larvaire de 80% et la réduction de 50% du nombre des cas de paludisme simple confirmés à l’horizon 2013 dans la ville de Ouagadougou. En tenant compte du mode d’action des biolarvicides, le coordonnateur Pierre Kayendé indique que les produits ne sont pas dangereux. Sur la question de savoir pourquoi le projet n’est pas étendu à d’autres localités du Burkina, Pierre Kayendé a relevé que c’est Ouagadougou qui a été retenue comme ville pilote pour deux ans que va durer le projet. Mais, il est envisagé que ce projet atteigne d’autres contrées du pays. En parlant de la réduction de la densité larvaire de 80%, les conseillers cubains ont souligné qu’on ne peut pas éliminer les vecteurs à 100% et cela est reconnu par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et les 20% qui restent ne constituent pas un danger pour la population. Ces conseillers cubains promettent de procéder par la suite au transfert de technologies. Ce projet, d’un coût de 1 225 806 044 F CFA, financé par l’UEMOA avec une contrepartie burkinabè, a déjà recensé les gîtes larvaires dans les cinq arrondissements de Ouagadougou mais enregistre un retard. Selon le maire Simon Compaoré, il est consécutif aux procédures d’importation des biolarvicides et du matériel de pulvérisation mais, dit-il, tout est mis en œuvre pour résoudre les problèmes afin que ce projet puisse prendre son envol.

Antoine BATTIONO

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