Le directeur régional, dont la déclaration a été lue par le directeur de la gestion des programmes, P. S. Lusamba-Dikassa, a exhorté les Etats membres à renforcer leurs capacités à collecter des données en vue d’élaborer des législations et politiques, et de prévenir les conséquences sur la santé de l’abus de substances psycho-actives.

Le représentant de l’OMS a par ailleurs souligné la nécessité d’une plus grande collaboration entre organisations sous régionales, continentales et onusiennes, afin de développer des politiques et législations appropriées pour lutter contre les problèmes de l’abus des substances psycho-actives.

Il a promis la poursuite de l’aide de l’OMS pour le renforcement des capacités des Etats membres à faire face à ce défi.
L’atelier de quatre jours réunit des spécialistes de la santé mentale du Bénin, Burkina Faso, Burundi, République d’Afrique Centrale, République du Congo, Côte d’Ivoire, Gabon, Guinée-Équatoriale, Madagascar, Île Maurice, Sénégal et Togo.

PANA

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