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Cameroon tribune | Cameroun | 22/02/2007 | Lire l'article original

Les districts de santé mis en place par le gouvernement rapprochent les centres de santé des populations. Selon les chiffres fournis par le délégué provincial de la Santé du Littoral, 12.000 patients sont reçus et traités à Douala chaque mois, dans les différents centres de santé de la ville. Ces performances sont atteintes grâce à l’érection des districts de santé à travers la ville qui, couplés aux centres de santé médicalisés, apportent un appui considérable aux grands hôpitaux que sont Laquintinie et l’hôpital général. La répartition des districts de santé n’obéit pas pour autant au découpage administratif.

Ils sont disséminés suivant une configuration particulière : Deido couvre l’arrondissement de Douala 1er et une partie de Douala 2. Bonassama assure les populations de l’autre côté du pont sur le Wouri et Manoka, tandis que le district de santé de la Cité des Palmiers a compétence sur la zone de Beedi jusqu’au camp Yabassi.

Les trois autres districts que sont Logbaba, New Bell et Nylon ont compétence respectivement sur Ndokoti, Nyalla et ses environs, ainsi que l’arrondissement de Douala 2 et Bonapriso et l’entrée de la ville, le quartier Village compris. D’après le Dr Solle Jérémie, chaque district de santé est doté d’un plateau technique quasi complet : " Il s’agit d’un certain nombre de services tels que la gynécologie, la petite chirurgie, un laboratoire, la médecine générale et la pédiatrie, mais c’est le nombre de médecins qui varie. Toutefois, il y en a plus d’un. " Bien qu’étant limités dans le cadre de leurs prestations, les hôpitaux de district sont, pour la plupart, pourvus d’un bloc opératoire, des couveuses et d’un laboratoire. Ils peuvent recourir aux grosses machines que sont Laquintinie et l’hôpital général dotés d’une panoplie plus étendue.

Toutefois, rassure le Dr Solle Jérémie, " les équipements dans les hôpitaux de district sont au point pour la simple raison que lesdits districts sont en pleine mutation. Et une partie des recettes est réservée à l’achat des équipements. " Par contre au-dessus, notamment à l’hôpital Laquintinie qui est un véritable porte-avions, de gros investissements sont nécessaires pour le renouvellement des équipements tous les dix ans ", souligne Jérémie Solle. Mais bon an mal an, cet hôpital parvient à atteindre ses objectifs grâce aux sacrifices consentis par l’Etat. " Actuellement par exemple, déclare le délégué provincial de la Santé, les urgences sont en train d’être rééquipées, tandis que les tables télécommandées et numérisées sont en cours d’installation en Radiologie. Et à l’hôpital général, le scanner est opérationnel depuis mercredi 24 janvier dernier. " Somme toute, le plateau technique de l’hôpital Laquintinie est à renouveler et pour l’heure, un inventaire exhaustif est en cours.

En marge de cet important déploiement des services publics de santé, les centres confessionnels et des cliniques de renommée complètent la carte sanitaire à Douala avec une efficacité tout aussi remarquable. Raison pour laquelle les pouvoirs publics mettent un terme à l’activité des GIC santé non outillés qui ont, jusqu’ici, entretenu une confusion très souvent dramatique dans un univers incompatible avec l’amateurisme.

Benjamin LISSOM LISSOM

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