C’est ainsi que, du 27 janvier au 8 mars dernier, les patients des hôpitaux de différentes localités de cette circonscription administrative et politique ont vu passer leur élu, porteur d’un message d’espoir. C’est en tout cas sous ce jour que la plupart des bénéficiaires ont apprécié le geste de cœur de l’honorable Essame, en faveur de celles qui portent et donnent la vie, les femmes. Il n’est dès lors pas difficile d’imaginer l’engouement des populations de ces localités, où l’accès aux soins de santé n’est pas toujours évident.

Ici, les frais d’accouchement tournent autour de 6 000 F CFA, sans compter les visites qui s’imposent au cours de la grossesse et la prise en charge des complications possibles… A ces problèmes pécuniaires s’ajoute l’éloignement des centres de santé. Conséquence, la plupart des femmes en zones rurales ne savent pas ce que signifie suivi des grossesses. Echographie et autres tests de grossesse sont des pratique qui, quand elles ne sont pas jugées inutiles, sont tout simplement inaccessibles.

C’est pourquoi, dans l’esprit de Joseph Ernest Pierre Essame, la lutte contre la pauvreté et pour l’amélioration des conditions de vie de ses élus a un sens particulier. En restant dans la logique du développement participatif, il a antérieurement à la campagne qui s’est achevée le 8 mars dernier, initié d’autres actions allant dans le sens de l’aide à la création des richesses à travers des activités créatrices de revenus. La distribution d’une cinquantaine de motos à des jeunes et de moulins à maïs à des associations de femmes, l’aménagement de toilettes publiques à la mosquée de Nkongsamba font partie de ce déploiement que les populations apprécient à sa juste valeur.

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