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Le potentiel | Congo-Kinshasa | 28/03/2007 | Lire l'article original
Le comité de gestion de l’ISTM, dirigé par le professeur Norbert Basosila Lofolo, a déjà versé le montant de 98.000 Usd à l’entreprise chargée de la construction dudit bâtiment comme acompte de la première tranche. Le reste de la facture sera apuré à la fin de la construction prévue au plus tard le 15 avril prochain.
Les travaux de construction du premier bâtiment d’une capacité
de 1.000 à 1.200 étudiants a déjà pris fin. Cela
grâce aux fonds générés par les contributions des
étudiants, soit 10 Us prélevés sur les frais payés
par chaque étudiant.
Les deux auditoires modernes, offrant toutes les commodités, sont équipés
de longs et larges bancs fixes. Ce qui évitera le déplacement
intempestif des équipements. A la fin de l’ouvrage, l’ISTM
sera doté de son propre campus et cessera d’être le locataire
dans les installations de l’Université de Kinshasa (Unikin).
En outre, le comité de gestion entreprend les travaux de construction
d’une vingtaine de latrines pour filles et garçons afin d’éviter
des désagréments que cause l’inexistence de toilettes dignes
des établissements académiques des temps modernes. Il est aussi
prévu la construction du bâtiment devant abriter le corps de garde
de l’ISTM.
Pour rappel, les relations entre étudiants de l’Unikin et ceux
de l’ISTM n’ont pas toujours été au beau fixe. Elles
dégénèrent parfois en conflits ouverts, voire en bagarres
rangées causant beaucoup de dégâts à la suite de
partager certains locaux du campus de l’Unikin.
A noter que ce projet de construction du campus/ISTM remonte à l’époque
du comité de gestion Kabasele dans lequel l’actuel directeur général
occupait les fonctions de secrétaire général académique.
En procédant à la construction de ce campus, le comité
de gestion de l’ISTM fait preuve d’une bonne gestion qui doit interpeller
les autres autorités académiques du pays.
Ce comité n’a pas attendu de fonds provenant du gouvernement ou des bailleurs bilatéraux ou encore multilatéraux pour se lancer dans ce projet combien utile pour l’avenir de cette institution qui forme les infirmiers, les laborantins, les kinésithérapeutes et autres diététiciens en République démocratique du Congo.
L.K. TSHIBAMBE
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