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Revue de presse de santé tropicale

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Dr Prisca Paré, entomologiste médicale : la liane vermifuge est une plante ornementale tueuse de moustiques

Sidwaya | Burkina Faso | 26/02/2024 | Lire l'article original

Dr Prisca Paré a obtenu avec brio son doctorat unique en sciences biologiques, option : « entomologie », cette science qui s’intéresse aux insectes. Spécialiste en entomologie médicale qui étudie les insectes vecteurs de maladies tels que les moustiques, à travers ses recherches, la chercheure a réussi à démontrer que certaines plantes appâtent et tuent les moustiques vecteurs du paludisme. Sidwaya a tendu son micro à cette scientifique engagée dans le combat contre l’Anopheles gambiae s.l., le vecteur majeur du paludisme au Burkina et le Plasmodium falciparum, le parasite responsable de la forme la plus sévère du paludisme et de la plupart des cas de décès.

Sidwaya (S) : Comment est née votre passion pour l’entomologie ?

Dr Prisca Paré (P.P.) : La construction de ma passion pour l’entomologie s’est développée progressivement au fil des ans. Tout a commencé quand j’étais en Licence 2 à l’université Saint Thomas d’Aquin. Lors d’un cours, je découvrais pour la première fois un module focalisé uniquement sur les insectes. Le module était d’ordre général. Il n’était pas axé sur un insecte précis, mais il était quand même intéressant.

Par exemple quand on parle des abeilles, de leur organisation, c’est fascinant. La vraie question, c’est comment je suis en arrivée aux moustiques et par la suite, au paludisme qu’on cherche à éliminer. Après ma Licence, j’avais des possibilités de continuer en Master à l’université Joseph-Ki-Zerbo. Dans le département Biologie animale/Physiologie animale de l’UFR/SVT se trouvaient différents masters parmi lesquels, le « master en entomologie » et le « master en gestion post-récolte ». Mon premier choix s’était porté sur le « master en gestion post-récolte ». Mais à la suite des résultats, j’ai été orientée en entomologie. Et, ce n’est que pendant les cours que mes souvenirs de mon module de deuxième année sur les insectes me sont revenus. J’étais stupéfaite parce que non seulement c’était approfondi, mais aussi, je découvrais que l’entomologie était vaste et englobait les insectes d’intérêt médical, médico-légal, agricole et nutritionnel. Dès lors, mon choix s’est porté sur l’entomologie médicale, parce qu’il fut un temps, au secondaire, où j’ambitionnais de faire la médecine. Donc, je voyais par là une occasion de faire des recherches dans le domaine médical. Mais j’étais loin d’imaginer que je travaillerais sur les vecteurs du paludisme dans l’objectif de combattre cette pandémie.
Tout a pris sens pour moi quand j’ai eu l’occasion d’effectuer un stage d’immersion de deux mois à l’Institut de recherche en sciences de la santé (IRSS-Bobo), sous l’encadrement de Dr Hien François de Salles. Dans ce centre de recherche qui travaille sur plusieurs volets, j’étais émerveillée de voir tout ce qu’on nous disait en cours théorique. L’intérêt pour la recherche avait déjà conquis mon cœur en espace de deux mois. J’ai eu le temps de comprendre pourquoi il fallait étudier le moustique vecteur du paludisme et le parasite dans l’objectif de combattre la maladie. Pendant ces deux mois, j’ai eu l’occasion d’observer le moustique au microscope et de voir comment le parasite responsable du paludisme évolue à l’intérieur du moustique jusqu’au stade mature (stade de sa transmission du moustique vers l’Homme).

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