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Gabonews | Gabon | 12/07/2007 | Lire l'article original
Pour M. Toung Mve, les données de la surveillance épidémiologique et du laboratoire montrent que l'épidémie régresse à Libreville et à Owendo, mais que le virus y circule encore.
Par ailleurs, M. Toung Mve a salué les actions réalisées dans le domaine de la lutte contre l'insalubrité, tant par le ministère gabonais de l'environnement que par la mairie de Libreville.
« La lutte anti-vectorielle qui constitue la mesure prioritaire de lutte contre la présente épidémie doit être poursuivie et renforcée sur toute l'étendue du territoire, en mettant à profit la saison sèche, période particulièrement favorable à une efficacité optimale des insecticides et propice à l'accélération des opérations d'assainissement et de suppression des gîtes larvaires. », a-t-il souhaité.
« Les activités de lutte contre la maladie doivent se poursuivre tant que la déclaration de la fin de l'épidémie n'est pas faite », a ajouté M. Toung Mve.
Depuis la déclaration de l'épidémie en avril dernier, plus de 16.000 cas ont été recensés à Libreville et ses environs, et dans le nord du Gabon, selon les derniers chiffres donnés par le gouvernement gabonais.
Le Chikungunya (maladie de l'homme courbé, à cause de très fortes douleurs articulaires que la maladie occasionne), est une maladie infectieuse tropicale, due à un arbovirus, transmis par un moustique.
Le virus responsable du Chikungunya a été découvert en Tanzanie en 1953.
GN/CI/JJS/YKM/07
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