retour Santé tropicale Accès aux sites pays fleche Santé tropicale au Bénin BENINSanté tropicale au Burkina Faso BURKINA FASOSanté tropicale au Cameroun CAMEROUNSanté tropicale en Centrafrique CENTRAFRIQUESanté tropicale au Congo CONGOSanté tropicale en Côte d'Ivoire COTE D'IVOIRESanté tropicale au Gabon GABON
Santé tropicale en Guinée GUINEESanté tropicale à Madagascar MADAGASCARSanté tropicale au Mali MALISanté tropicale en R.D. Congo R.D. CONGOSanté tropicale au Sénégal SENEGALSanté tropicale au Togo TOGO



ban_jmp_malacur - 25 avril 2024 - Journée mondiale de lutte contre le paludisme

Ce site utilise des cookies afin d'améliorer la navigation et mesurer la fréquentation. Pour en savoir plus, cliquez ici


Revue de presse de santé tropicale

Trier les actualités par :

Ulcère de Buruli : La lutte avance

Cameroon tribune | Cameroun | 30/07/2007 | Lire l'article original

Les capacités de l’hôpital de district d’Akonolinga renforcées grâce à un bâtiment inauguré vendredi par le Minsanté. Ambiance toute spéciale vendredi dernier à l’hôpital de district d’Akonolinga. Ce jour était celui de l’inauguration d’un nouveau bâtiment pour le " Pavillon Buruli ", fruit de la coopération médicale et sanitaire entre le Cameroun et Médecins sans frontières Suisse (Msf Suisse). L’ouvrage, dont la réalisation a coûté 48 millions de francs Cfa et qui couvre quelque 400 mètres carrés — selon l’entrepreneur approché par CT —, vient accroître les capacités de l’hôpital, où, depuis 2002, Msf Suisse a développé le pavillon susmentionné. Il est censé améliorer la qualité des soins et augmenter la capacité d’hospitalisation, et offre notamment des salles pour les pansements, la physiothérapie, la consultation et une pharmacie.

Peu avant de couper le ruban symbolique, le ministre de la Santé publique, Urbain Olanguena Awono, parlera de joie et d’espoir devant la " précieuse réalisation " de Msf Suisse, organisation qu’il a remerciée " pour sa générosité ". Le geste est d’une grande importance, d’après le Minsanté, l’ulcère de Buruli étant " une maladie très grave ". Qui, de plus, a longtemps sévi sans que ses victimes sachent exactement à quoi elles avaient affaire. Mais progressivement, la tendance s’inverse. Grâce aux efforts des différents partenaires impliqués dans la lutte (Minsanté, Oms, Emmaüs Suisse, Centre Pasteur du Cameroun, Msf Suisse…), la maladie est mieux connue des populations — qui ne la lient plus systématiquement à la sorcellerie — et une prise en charge existe au Cameroun.

Chiffre donné par le Minsanté, à ce jour, près de 1000 patients ont reçu des soins dans la zone Akonolinga-Ayos. Promesse du même, " les interventions vont s’étendre à Bankim et Mbonguè ", dans l’Adamaoua et le Sud-Ouest. Les défis restent nombreux, assurément. Urbain Olanguena en a listé quelques-uns : renforcer la surveillance de la maladie à travers le territoire, structurer davantage la réponse là où elle existe déjà, amener la population au dépistage précoce, poursuivre le plaidoyer pour la mobilisation des ressources afin d’œuvrer à la réinsertion des anciens malades, ainsi que la formation du personnel… Christian Captier, directeur général de Msf Suisse, exprimera des préoccupations semblables. Face à cette maladie " extrêmement handicapante, dégradante et négligée depuis trop longtemps ", il importe de se serrer les coudes. " Msf continuera d’assumer sa part de responsabilité dans cette lutte ", a-t-il indiqué. Ce ne sont pas les malades qui s’en plaindront.

L’inauguration du nouveau bâtiment mise à part, le Minsanté avait dans ses bagages des médicaments d’une valeur d’un million de francs et a signé une convention avec Msf pour le projet Buruli.

Alliance NYOBIA

Lire l'article original

Tous les articles

ban_jmp_malacur - 25 avril 2024 - Journée mondiale de lutte contre le paludisme

NEWSLETTER

Restez informés : recevez, chaque mercredi, la lettre d'informations de Santé tropicale. Inscriptions


Vous êtes professionnel(le) de santé ?

Ce contenu gratuit vous est destiné :

img_produit

img_produit

img_produit

img_produit
Téléchargez hearWHO - Pour vérifier l'audition !

img_produit

img_produit

vig_epu2
Place de la bithérapie dans la prise en charge de l'hypertension artérielle - Professeur Dadhi Balde, cardiologue - Guinée

encart_diam_bouchara
Consultez les mentions légales (RCP) des médicaments disponibles dans votre pays

encart_diam_ferrer
Consultez les mentions légales (RCP) des médicaments disponibles dans votre pays


CONTACTEZ-NOUS

adresse Adresse

  • APIDPM
    135, chemin de Canto Maï
    83190 Ollioules - France

tel Téléphone

  • +33 4 94 63 24 99

email Contactez-nous


APIDPM

Qui sommes-nous ?

Droits d'utilisation


Site éditeur :
logo

Valid XHTML 1.0 Strict CSS Valide !