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Revue de presse de santé tropicale

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Tradipraticiens : Bientôt un cadre légal approprié

Cameroon tribune | Cameroun | 04/09/2007 | Lire l'article original

Le secrétaire d’Etat au Minsanté a annoncé vendredi dernier qu’un avant-projet de loi organisant la médecine traditionnelle serait proposé à l’Assemblée nationale. Une salve d’applaudissements retentit dans l’Amphi I de la Faculté de Médecine et des sciences biomédicales de Yaoundé quand le secrétaire d’Etat à la Santé publique, Alim Hayatou annonce aux nombreux tradi-praticiens présents dans la salle qu’un avant-projet de loi portant sur l’organisation et l’exercice de la médecine traditionnelle au Cameroun sera très prochainement soumis à l’Assemblée nationale. Un avenir radieux se dessine alors pour les tradi-thérapeutes si longtemps en quête de reconnaissance officielle. L’annonce a été faite à l’occasion de la célébration de la cinquième journée africaine de la médecine traditionnelle. Pour Alim Hayatou, cette étape est un pas important dans l’assainissement de la profession qui a longtemps sombré dans les méandres du charlatanisme. Ceci, afin d’améliorer la santé de tous les Camerounais et de valoriser la riche pharmacopée dont regorge le sol camerounais.

Pour les médecins traditionnels, c’est l’euphorie. Chimène Obam Eyenga par exemple, pense que c’est la reconnaissance officielle des vertus des plantes (utilisées par 80% des Camerounais selon les spécialistes) et un acte qui prouve le respect qu’on a pour les tradipraticiens. " C’est tout à fait normal que le gouvernement reconnaisse nos qualités. Personnellement, avant de soigner un malade je lui demande son carnet médical afin de voir effectivement de quelle maladie souffre mon patient. Et ainsi, donner des médicaments appropriés. Et les résultats sont globalement satisfaisants ", indique-t-elle. Celle-ci affirme être spécialisée dans des maladies précises. Ce qui n’est pas le cas pour certains qui affirment soigner plusieurs maladies. C’est contre ceux-là que le ministère de la Santé publique s’insurge.

Placée cette année sous le thème " Recherche et développement de la médecine traditionnelle en Afrique ", cette cinquième journée africaine de la médecine traditionnelle a surtout été marquée par l’exposé présenté par le Pr. Essame Oyono, par ailleurs directeur général de l’Institut de recherche médicale et d’études des plantes médicinales. Pour lui, les plantes médicinales peuvent fournir des remèdes de qualité, d’un coût raisonnable, abordable et accessible aux communautés les plus démunies. Pour cela, il suggère " l’élaboration d’une stratégie avec des objectifs bien définis, et l’octroi des moyens aux chercheurs et phytothérapeutes afin de permettre la proposition des remèdes appropriés ".

Beaugas-OrainDJOYUM

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