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Revue de presse de santé tropicale

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Les centres médicaux chinois pullulent

Cameroon tribune | Cameroun | 28/11/2007 | Lire l'article original

Les populations reçoivent de plus en plus de tracts proposant des traitements médicaux à vil prix. Comment font-ils pour ouvrir chaque jour des centres de santé dans la ville de Douala ? Connaît-on leur cursus académique ? C’est autant de questions que le citoyen ordinaire se pose désormais au quotidien. Ceci, du fait de la foultitude des prospectus qui vantent la médecine chinoise et les multiples maux qu’elle soigne. Hier matin encore, les habitants de la cité Akwa nord en ont eu pour leur compte. Ils ont reçu des prospectus sur lesquels on pouvait lire : « du nouveau dans la ville, un nouveau centre de santé chinois spécialisé dans le traitement du rhumatisme, de la stérilité, du diabète, etc. ». Environ une dizaine de maladies en somme.

Malgré cette publicité agressive et les prix défiant toute concurrence, il y a pourtant un hic, relatif à la réglementation. A en croire le Dr. André Arsène Bita Fouda, délégué provincial de la Santé pour le Littoral, la médecine chinoise est conventionnée au Cameroun. Le gouvernement, par l’intermédiaire du ministère de la Santé publique a signé une convention avec le ministère de la Santé chinoise. A cet effet, la réglementation ne reconnaît que les hôpitaux chinois de Mbalmayo et de Figuil, l’hôpital Gynéco obstétrique de Ngousso, et bientôt celui de Douala. Les autres structures, quant à elles, sont illégales. Dans la mesure où la plupart ne respectent pas la réglementation en vigueur et sont sans papiers. C’est pourquoi, dans les prochains jours, la délégation provinciale de la Santé, de concert avec les autorités administratives et l’Ordre des médecins, entend mettre sur pied un plan de sensibilisation afin de mettre un peu d’ordre. Et surtout, il faut améliorer la qualité de l’accueil et des soins dans nos formations sanitaires. Car, souligne André Bita Fouda, 30% de la population fait recours à ces petites unités de santé malgré le fait que 90% sont illégales.

Mireille ONANA MEBENGA

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