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Publié dans Médecine d'Afrique Noire 6302 - Février 2016 - pages 121-124
Auteurs : AI Rakotoniaina, N. Rakotozandrindrainy, C. Rafalimanana, A. Randriamarolahy, RS Razanakolona, A. Rasamindrakotroka - Madagascar
Objectif : Déterminer les souches fongiques responsables des infections au niveau de la peau, des phanères et des muqueuses buccale et vaginale au sein du laboratoire de parasitologie du Centre Hospitalier Joseph Ravoahangy Andrianavalona Tananarive Madagascar.
Matériel et méthodes : Nous avons effectué une étude rétrospective descriptive. Les dossiers de prélèvements inclus entre le mois d’octobre 2008 à l’octobre 2014 ont été consultés.
Résultats : Nous avons colligés 617 prélèvements pendant cette période dont 349 était positifs à l’examen direct et ou à la culture. Les principales souches isolées étaient par ordre de fréquence Candida albicans, Candida non albicans, Malassezia sp, Microsporum langeroni et Trichophyton mentagrophytes.
Conclusion : Cette étude a permis d’identifier les principaux agents pathogènes incriminés dans la mycose superficielle, et de déterminer l’aspect épidémiologique de ses agents au sein du laboratoire de parasitologie.
Objective: To determine the fungal infections of the skin, skin appendages and oral vaginal mucous in the parasitology laboratory of Joseph Hospital Ravoahangy Andrianavalona Antananarivo Madagascar.
Material and method: We conducted a retrospective descriptive study. Medicals records included from October 2008 to October 2014 were consulted.
Results: We collected 617 samples during this period, 349 were positives by direct examination and or culture. The main strains were in order of frequency Candida albicans, Candida non albicans, Malassezia sp, Microsporum langeroni and Trichophyton mentagrophytes.
Conclusion: This study identified the main pathogens implicated in the superficial fungal infection, and determined the epidemiological aspects of its agents in the parasitology laboratory.
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