retour Santé tropicale Accès aux sites pays fleche Santé tropicale au Bénin BENINSanté tropicale au Burkina Faso BURKINA FASOSanté tropicale au Cameroun CAMEROUNSanté tropicale en Centrafrique CENTRAFRIQUESanté tropicale au Congo CONGOSanté tropicale en Côte d'Ivoire COTE D'IVOIRESanté tropicale au Gabon GABON
Santé tropicale en Guinée GUINEESanté tropicale à Madagascar MADAGASCARSanté tropicale au Mali MALISanté tropicale en R.D. Congo R.D. CONGOSanté tropicale au Sénégal SENEGALSanté tropicale au Togo TOGO



ban_jmp_malacur - 25 avril 2024 - Journée mondiale de lutte contre le paludisme

Ce site utilise des cookies afin d'améliorer la navigation et mesurer la fréquentation. Pour en savoir plus, cliquez ici


Publications scientifiques

Publié dans Médecine d'Afrique Noire 5104 - Avril 2004 - pages 217-222

photo_auteur Les aspects épidémiologiques, cliniques et thérapeutiques des bronchiolites aiguës du nourrisson au complexe pédiatrique de Bangui (Centrafrique)note

Auteurs : G. BOBOSSI-SERENGBE, C. BANGUE, T. MOBIMA - Centrafrique


Résumé

La bronchiolite est décrite comme la plus fréquente des infections respiratoires aiguës basses du nourrisson. La gravité de cette affection repose dans notre contexte sur les complications qu'elle occasionne et qui font l'objet d'hospitalisation fréquente dans les services du Complexe Pédiatrique de Bangui. De mars 1998 à février 1999, une enquête transversale sur les infections respiratoires aiguës basses s'est déroulée au Complexe Pédiatrique de Bangui. Les enfants présentant une bronchiolite ont été retenus pour cette étude.
Les bronchiolites représentaient 20,9 % des IRAB et 1,7 % des hospitalisations. Les patients étaient plus recrutés durant la saison sèche où les mois sont frais. Une prédominance masculine a été rapportée : sex-ratio 1,2. L'âge moyen était de 5,8 mois, 87,7 % avaient moins de 12 mois. Le délai moyen d'hospitalisation était de 8,3 jours. Tous les patients avaient bénéficié d'une antibiothérapie, les autres médicaments étaient utilisés à degrés différents, le taux de létalité était de 20 %. La létalité était aggravée par le recours tardif des patients, le manque de moyens efficaces de réanimation et l'association d'autres affections.

Cet article est actuellement coté note (1,5 étoiles) par les abonnés de Médecine d'Afrique Noire.
Il a été consulté 4501 fois, téléchargé 45 fois et évalué 2 fois.  Aucun commentaire n'a encore été ajouté à propos de cet article

icone adobe Obtenir l'article intégral en PDF

Plus d'articles Centrafricains - Plus d'articles panafricains

NEWSLETTER

Restez informés : recevez, chaque mercredi, la lettre d'informations de Santé tropicale. Inscriptions


Vous êtes professionnel(le) de santé ?

Ce contenu gratuit vous est destiné :

img_produit

img_produit

img_produit

img_produit
Téléchargez hearWHO - Pour vérifier l'audition !

img_produit

img_produit

encart_diam_bailly
Consultez les mentions légales (RCP) des médicaments disponibles dans votre pays

encart_diam_salvat
Consultez les mentions légales (RCP) des médicaments disponibles dans votre pays



CONTACTEZ-NOUS

adresse Adresse

  • APIDPM
    135, chemin de Canto Maï
    83190 Ollioules - France

tel Téléphone

  • +33 4 94 63 24 99

email Contactez-nous


APIDPM

Qui sommes-nous ?

Droits d'utilisation


Site éditeur :
logo

Valid XHTML 1.0 Strict CSS Valide !