Conférence
africaine sur le marketing social : Comment augmenter la contribution
du secteur privé à la santé publique - Le
Soleil - Sénégal - 22/04/2003 |
Le " marketing social, qui
est un puissant outil pour le changement de comportement, est de plus
en plus adopté par les gouvernements et les bailleurs de fonds ".
Il est aussi " un bon moyen d'augmenter la contribution du secteur
privé à la santé publique ". Quelque 150 spécialistes, praticiens
et utilisateurs du marketing social d'Haïti et de pays Afrique échangeront
des expériences et partageront des pratiques prometteuses, du mardi
au vendredi prochain, pendant les travaux de la quatrième conférence
africaine pour le marketing social (CAMS 03). Lire
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Linguère
- Santé de la reproduction - Le
Sud - Sénégal - 22/04/2003 |
À Linguère, les indicateurs
de performance en santé maternelle et infantile sont préoccupants.
Sur 4090 grossesses attendues, seules 2800 se sont effectivement présentées
aux structures de santé du département et moins de 536 effectuent
toutes les visites prénatales. Aussi, n'est-il pas surprenant d'enregistrer
un taux élevé de mortalité largement supérieure aux 510 décès pour
100.000 naissances au niveau national. Des femmes y accouchent à domicile
et les infections sexuellement transmissibles et le Vih-sida s'y répandent
à un rythme qui trouble le sommeil des techniciens de la santé. Mme
Sylla, le Médecin-chef du district de Linguère, dont le bureau ne
désemplit pas s'interroge sur une situation gravement inquiétante
malgré "les efforts déployés par l'équipe médicale, appuyée par un
groupe dynamique de relais communautaires, pour que ces faibles taux
de consultations prénatales (Cpn), de prévalence contraceptive… progressent"
Des quelque 4.099 grossesses attendues, seules 2380 suivent les premières
consultations prénatales et 536 d'entre elles achèvent leurs visites
prénatales, soit 13 %. Plus grave, les taux d'accouchement à domicile
(10 %)), soit 130 de l'effectif total et d'avortement (33 %) constituent
d'autres sources d'inquiétudes. Il s'y ajoute qu'à Linguère, les femmes
meurent en donnant la vie. Pour cette année, dix femmes ont laissé
leur vie en couche sur leurs lits d'hôpital ou sur les routes vers
les centres de référence de Louga ou entre les villages et le centre
de santé de Linguère. Ainsi, il est enregistré 944 décès pour 100.000
naissances contre 510 au niveau national. Les tendances sont corroborées
par les résultats des consultations gratuites en santé de la reproduction
des 15 et 16 avril courant. En effet, en deux jours, une équipe gynécologique
de sages-femmes en appui au personnel médical, a permis de consulter
105 sujets atteints de stérilité, 88 pour la gynécologie générale
et plus d'une cinquantaine atteinte de maladies sexuellement transmissibles.
Pour le Médecin-chef Dr Sylla, " face à la forte demande, cette opération
va être renouvelée de façon plus régulière, des journées de santé
de la reproduction seront organisées non seulement pour consulter
mais également pour sensibiliser afin de relever le taux de prévalence
contraceptive, augmenter celui des consultations prénatales et réduire
les risques liés aux grossesses." Ce ne sera pas une tâche aisée au
regard de la vétusté du centre de santé dont le personnel se réduit
à un seul médecin, deux sages-femmes et un infirmier d'Etat. "Or,
souligne Mme Oumy Mbaye de la région médicale de Louga, il faut deux
médecins et trois infirmiers d'Etat, deux sages-femmes par centre
de santé." Aussi, l'inexistence d'équipement adéquat ne fait qu'aggraver
la situation sanitaire des populations durement éprouvées par la pauvreté
et un taux d'analphabétisme très important. Selon Mme Ndiaye de l'équipe
de relais communautaire, "la plupart des femmes qui accouchent à domicile
sont dans un dénuement total ou ne savent pas les risques encourus
dans de tels cas ". En attendant l'achèvement des travaux du nouveau
centre de santé, le personnel médical doit être renforcé afin qu'un
second médecin puisse s'occuper des soins obstétricaux d'urgence...
L'hôpital de Louga donne les chiffres suivants en 2002 : 2026 accouchements,
230 morts-nés, 249 césariennes, 17 décès et 159 avortements. Pape
Seck
Lire l'article original : http://www.sudonline.sn/Rubriques%20Infos/Cadreunejournal22042003.htm |
Le
chef du service de radiologie du CHU de Brazzaville explique les fonctions
du Scanner à ses collaborateurs - Les
dépêches de Brazzaville - Congo - 19/04/2003 |
Dans le cadre de la formation
médicale continue, l'auditorium du CHU de Brazzaville a servi de cadre
jeudi à la 23° séance des " jeudi-thématiques " qui portait sur le
scanner. Au cours de cette conférence organisée après la réhabilitation
du service de radiologie et le renforcement du plateau technique,
le Dr. Edouard Mackosso, chef du service, a présenté l'appareil à
ses confrères. " Cette conférence, a-t-il expliqué, est une sorte
de mise au point sur ce que nous devons faire de cet appareil dans
le contexte congolais. Comme ces examens coûtent cher il faut savoir
à quel moment on doit demander le scanner. Si par exemple une personne
hypertendue tombe dans le coma il faut tout de suite demander un scanner
; la radio conventionnelle, en effet, ne donnera pas autant d'informations
que le scanner qui, en moins de cinq minutes, peut apporter des informations
vitales et dire quel est le pronostic. C'est le médecin-spécialiste
qui, après avoir épuisé toutes les autres procédures, est habilité
à demander un scanner. "
Lire l'article original : http://www.brazzaville-adiac.com/html/ba_article.php?DEP_CODE=3168
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Crise
grave à l'hôpital de Ziguinchor : Le président du CA n'est pas contre
le départ du directeur - Le
Soleil - Sénégal - 19/04/2003 |
L'hôpital régional de Ziguinchor
est depuis quelque temps dans l'œil du cyclone. En effet, voilà six
mois que le torchon brûle entre le personnel et le directeur de l'établissement.
La vie au sein de l'hôpital est rythmée actuellement par des grèves
de zèle et autres mouvements d'humeur au détriment des malades, "
parmi lesquels 39 seraient décédés du fait des longs moments de débrayage
", aurait affirmé le président du Conseil régional se confiant à un
quotidien de la place ". Le point focal de cette situation délétère
tourne autour du départ du directeur de cet établissement sanitaire,
M. Serigne Sylla Mbow. Une revendication plusieurs fois brandie par
le personnel et qui pourrait être cautionnée par le Conseil d'Administration,
si l'on s'en tient aux arguments de son président El Hadj Oumar Lamine
Badji. Le PCA de l'hôpital, M. Badji, a laissé entendre, en substance,
à l'occasion du point de presse qu'il a tenu mercredi à l'hôpital
régional de Ziguinchor : " qu'il ne serait pas contre le départ du
directeur, si cela pourrait aider à décanter la situation ". " Je
ne suis pas favorable au départ du directeur, mais si cette revendication
du personnel pourrait aider à sortir l'hôpital du tunnel, je n'y vois
aucun inconvénient ". C'est par ces mots que le Président du Conseil
d'Administration, par ailleurs responsable du Conseil régional de
Ziguinchor, a jugé la voie de sortie de crise de l'hôpital régional
de la région Sud. En effet, les mouvements d'humeur, que connaît cet
établissement stratégique de la région de Ziguinchor, ont fini de
prendre une telle ampleur que les malades ne savent plus à quelle
blouse blanche se fier. Un véritable calvaire que les malades sont
en train de payer au prix de leur vie.
39 MORTS SUITE A LA LONGUE GREVE
Il suffit de souligner simplement que du fait de la grève des travailleurs,
l'hôpital a enregistré, pour le mois de mars dernier, 39 morts. Aujourd'hui,
l'atmosphère s'est tellement alourdie, qu'on n'arrive plus à comprendre
le mutisme de la tutelle sur la proposition de départ qu'aurait fait
le directeur, lui-même. En effet, le personnel reproche à ce dernier
le non-respect du contenu de la réforme hospitalière de 2002, notamment
en ce qui concerne les aspects financiers touchant les personnels.
Concernant toujours la plate-forme revendicative, on peut noter, entre
autres : " la mauvaise gestion des ressources humaines et financières
de l'hôpital ". Si l'on en croit les arguments des travailleurs :
" leur directeur aurait fait un mauvais usage des 150 millions alloués
par l'Etat sous forme de subvention ". Face à cette situation, une
vingtaine d'agents ont préféré quitter l'établissement, ce qui a accentué,
du coup, le déficit de personnel. Autant de griefs qui ont fini d'attirer
l'attention du Conseil d'Administration. En effet, son patron a révélé
qu'il a déjà arrêté le paiement de 12 mois de primes de motivation,
à tous les agents. Le Conseil d'Administration devait se réunir vendredi,
afin d'arrêter une décision sur cette question. Un appel solennel
a été adressé aux agents, afin qu'ils reprennent le travail, compte
tenu de la délicatesse de la position qu'ils occupent. SEYDOU PROSPER
SADIO
Lire l'article original : http://www.lesoleil.sn/archives/article.CFM?articles__id=26242&index__edition=9865
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URGENCE
: Malade cardiaque, Mamadou Paye lance un SOS - Le
Soleil - Sénégal - 19/04/2003 |
Atteint d'une affection cardiaque
grave, le jeune Mamadou Paye (31 ans) a besoin d'un soutien pour subir
une opération chirurgicale. Cette intervention doit se faire dans
les délais les plus rapides possible. Chaque heure compte pour la
vie de ce jeune homme. Trois spécialistes des maladies cardio-vasculaires,
notamment les Docteurs Massamba S. Thiam, chef du service de cardiologie
et Papa Diadié Fall cardiologue à l'hôpital Principal de Dakar, ainsi
que leur homologue, le Dr Ndiaga Dramé, ont effectué le même diagnostic
conduisant aux mêmes conclusions c'est-à-dire la nécessité vitale
de subir en urgence une intervention chirurgicale dans une structure
spécialisée. Cette opération demande une somme de sept (7) millions
de FCFA (sans le transport), qui devrait permettre le remplacement
de sa valve mitrale au niveau du cœur.
Pour apporter votre aide, vous pouvez contacter la famille du malade
à l'adresse suivante : Villa N°879 HLM 3 - DAKAR
Lire l'article original : http://www.lesoleil.sn/archives/article.CFM?articles__id=26225&index__edition=9865
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350
000 enfants seront vaccinés contre la rougeole - Fraternité
Matin - Côte d'Ivoire- 19/04/2003 |
Une épidémie de rougeole
est à craindre en Côte d'Ivoire. C'est le ministre d'Etat, ministre
de la Santé publique et de la Population qui l'a fait savoir mercredi
à Tiébissou où il procédait au lancement d'une campagne de vaccination
contre cette maladie. Cette opération, qui se déroule jusqu'au 26
avril prochain, s'est ouverte à la place du centre culturel de la
ville en présence de tous les partenaires du système des Nations unies,
des autorités administratives et politiques ainsi qu'une foule d'enfants
et de parents. 350 000 enfants de 6 mois à 14 ans seront vaccinés
à l'issue de cette campagne et 125 000 enfants de 6 mois à 5 ans recevront
une dose de vitamine A, dans les villes de Bouaké, Yamoussoukro et
Tiébissou. Selon le Dr Mabri Toikeusse, la guerre a fragilisé le tissu
sanitaire ivoirien, avec une recrudescence de cas signalés de rougeole.
Pour le premier trimestre de l'année en cours, 7633 cas sont signalés
contre 5971 pour toute l'année 2001. Le ministre Mabri Toikeusse fait
savoir que de toutes les pathologies infantiles, la rougeole apparaît
comme l'une des menaces les plus pernicieuses du fait de ses complications
parfois mortelles. C'est pourquoi, la Côte d'Ivoire en matière de
santé publique en a fait une préoccupation en souscrivant aux recommandations
de l'OMS visant à réduire au maximum les taux de morbidité et de mortalité
dues à la rougeole. Pour ce faire, notre pays a mis en place un programme
élargi de vaccination en vue de l'éradication à terme de cette maladie.
La guerre ne permettant pas la poursuite de ce programme, a indiqué
le ministre d'Etat Mabri Toikeusse, " le gouvernement en liaison avec
l'UNICEF, l'OMS, l'ONG HKI (Hélène Keller International) et d'autres
partenaires, a décidé d'organiser cette campagne de vaccination spéciale
en guise de test." Au nom du Chef de l'Etat et du gouvernement, il
a remercié les partenaires traditionnels, parties prenantes dans cette
opération. Le Dr. Bah Kéita, représentant du représentant résident
de l'OMS, a salué l'engagement du gouvernement ivoirien à réduire
l'impact de la rougeole sur la population, cette maladie qui, dit-il,
se situe toujours parmi les dix premières causes de la mortalité infantile.
En 1997, a-t-il indiqué, 45 millions de cas de rougeole étaient signalés
à travers le monde, avec 850.000 décès chez les enfants dont 50% en
Afrique subsaharienne. A son tour, Mme Georgette Aithnard de l'UNICEF
a exprimé toute la satisfaction et la détermination de son organisation
à oeuvrer aux côtés des autorités ivoiriennes pour la santé des enfants.
LANDRY KOHON
ELVIS KODJO Lire l'article original : http://www.fratmat.co.ci/story.asp?ID=19183 |
Pharmacie
nationale d'approvisionnement (PNA) : Des exigences de qualité pour
les médicaments essentiels - Le
Sud - Sénégal - 19/04/2003 |
La Pharmacie nationale d'approvisionnement
(Pna) a organisé du 14 au 18 avril dernier un séminaire de formation
en gestion de médicaments essentiels au profit des pharmaciens hospitaliers,
à l'hôtel-restaurant l'Océan. Il s'agit entre autres objectifs, d'harmoniser
les techniques de gestion pour éviter des ruptures dans la chaîne
d'approvisionnement. "Nous avons organisé ce séminaire pour assurer
une meilleure maîtrise de toutes les étapes de la chaîne, c'est-à-dire
la sélection, l'acquisition, la distribution, l'utilisation et l'évaluation",
a expliqué le Colonel Issa Diop, directeur de la Pharmacie nationale
d'approvisionnent (Pna¨). Lire la suite |
Amélioration
des qualités de soins des populations : La Coopération Suisse au chevet
des zones sanitaires - Le
républicain - Bénin - 18/04/2003 |
La salle de conférence du
ministère de la santé publique a abrité hier la cérémonie de remise
de matériels roulant et informatique par la Coopération Suisse aux
responsables des structures sanitaires au Bénin. Ces équipements permettront
d'améliorer la qualité des soins au profit des populations. D'une
valeur de 125000000 de francs CFA, le don de la coopération suisse
est composé de 53 motocyclettes munies de casques, trois véhicules
pick-up et de neuf micro ordinateurs. Ces matériels destinés à certaines
zones sanitaires serviront à résoudre quelque peu le problème de manque
de matériel sur le terrain" En matière de santé, la coopération Suisse
et le Bénin date de plus de deux décennies et se consolide de plus
en plus. Cet appui s'est concrétisé dans le passé par plusieurs programmes
et se poursuit actuellement au sein du projet de construction et de
réhabilitation de 24 centres de santé plus connu sous le nom de Projet
CS 24, du projet de Mutuelles de santé et du nouveau programme sociosanitaire
" a rappelé Hanspeter Wyss, chef adjoint du bureau de la Coopération
Suisse. Selon lui, les matériels permettront tout de même aux centres
de santé et à l'administration des zones sanitaires ( Nikki, Tchaourou,
Ouèssè, Savè et Dassa-Zoumè) d'atteindre leurs objectifs avec plus
d'efficience. "Les partenaires au développement du secteur santé en
général et en particulier le Bureau de la Coopération Suisse n'ont
jamais marchandé leur disponibilité à l'application des recommandations
issues de la table ronde du secteur santé de Janvier 1995 qui a permis
d'insuffler une nouvelle dynamique au Secteur, avec la réorganisation
de la base de la pyramide sanitaire", remarque Yvette Céline Seignon
Kandisounon, ministre de la santé publique. Elle considère que l'offre
de le coopération suisse vient à point nommé dans la mesure où l'inventaire
du matériel roulant, réalisé courant décembre 2002, fait apparaître
des besoins encore importants pour assurer la supervision et les activités
avancées. " Cet important acte de la Coopération Suisse vient pour
combler progressivement les gaps en matière d'équipements de nos centres
de santé et des coordinations de nos zones sanitaires " s'est réjouie
le ministre. Elle invite par ailleurs les directeurs départementaux
de la santé publique et les coordinateurs de zones sanitaires récipiendaires
à veiller à la bonne utilisation de ces équipements pour le bonheur
des populations , à s'assurer à tout instant que le matériel reçu
sera utilisé à des fins convenues et à particulièrement veiller à
l'entretien et à la maintenance de ces équipements. Bruno HOUESSOU
Lire l'article original : http://www.lerepublicain.org/societe/socio11804031 |
Les
lauréats du prix Ambroise Etté honorés - Fraternité
Matin - Côte d'Ivoire- 17/04/2003 |
La société ivoirienne d'oto-rhino-laryngologie
et de chirurgie cervico-faciale (SIORL) a, jeudi dernier, au Sofitel,
magnifié le savoir-faire de ses membres. Ainsi, la toute nouvelle
agrégée de la spécialité, Pr Etté-Akré Evelyne, les docteurs Demedeiros
Eric et Anoman Marie-Chantal (lauréats du 10è prix Ambroise Etté),
ont été honorés par leur société savante "pour leur contribution à
la promotion de la corporation " dont l'élévation du niveau de conscience
professionnelle, est le critère distinctif , a rappelé Dr. Boguifo
Joseph, secrétaire général de la SIORL. Cette cérémonie qui coïncide
avec la rentrée solennelle 2003 de l'organisation, fut donc l'occasion
de jeter un pont entre les jeunes médecins ORL et le pionnier, Pr.
Etté Ambroise. Qui a tenu à rappeler aux lauréats de demeurer "dans
le chemin rectiligne" de cette profession prestigieuse traitant "des
fonctions vitales de l'alimentation et de la respiration (…) ainsi
que de la communication (ouïe et parole)… ", facteurs de socialisation
humaine. Le président de la SIORL et le parrain de la cérémonie le
maire Akossi Bendjo du Plateau, ont salué "cette occasion de rupture
avec toutes les pesanteurs et aspérités liées à la crise en réaffirmant
la volonté de s'unir pour réussir et scruter des horizons porteurs".
Les lauréats du prix "Etté Ambroise" ont reçu 200.000FCFA et 100.000
FCFA chacun ainsi qu'une documentation fournie. Le site internet de
la SIORL a aussi été présenté. REMI COULIBALY
ELVIS KODJO Lire l'article original : http://www.fratmat.co.ci/story.asp?ID=19137 |
Aujourd'hui,
journée mondiale de l'hémophilie - Le
Soleil - Sénégal - 17/04/2003 |
La "journée mondiale de l'hémophilie",
organisée aujourd'hui, sera une occasion de sensibiliser l'opinion
sur une maladie rare et mal connue, dont l'image a été troublée ces
dernières années par le scandale du sang contaminé. La journée mondiale
de l'hémophilie coïncide avec le 40e anniversaire de la Fédération
mondiale de l'hémophilie. L'hémophilie est due à l'absence dans le
sang d'un facteur de la coagulation, ce qui provoque de fréquentes
hémorragies. Au Sénégal, on compte entre 800 à 1000 d'hémophiles dont
seul le quart est suivi au niveau du centre national de transfusion
sanguine de Dakar, seul centre de référence s'occupant de la prise
en charge des patients. Les hémorragies externes sont assez rares
et on les maîtrise par une compression locale. Les hémorragies internes
sont plus fréquentes. Spontanées ou dues à des traumatismes, elles
se situent dans les articulations (hémarthroses) ou dans les muscles
(hématomes). Ces saignements doivent être identifiés et traités très
rapidement en injectant le facteur de coagulation manquant. Si elles
sont mal soignées, ces hémorragies provoquent, outre la douleur, des
séquelles invalidantes, en particulier au niveau des articulations.
Les traitements actuels ne permettent pas la guérison. Les principaux
médicaments "anti-hémophiliques" s'injectent directement dans la veine.
Ces traitements qui arrêtent efficacement les saignements voire les
préviennent permettent à la plupart des adultes et enfants hémophiles
de mener une vie quotidienne pratiquement identique à celle des autres.
Le sport, adapté et exercé sous certaines conditions, est ainsi recommandé.
Mais la douleur, l'angoisse, la lourdeur du traitement par intraveineuse
restent une réalité quotidienne.
Lire l'article original : http://www.lesoleil.sn/archives/article.CFM?articles__id=26155&index__edition=9863 |
PHARMACIE
: Ces stocks de médicaments qui posent problème à la PNA -
Le Soleil - Sénégal
- 16/04/2003 |
Confrontée à des commandes
désordonnées, la Pharmacie Nationale d'Approvisionnement a décidé
de réunir tous les acteurs qui officient dans la filière du médicament
afin d'harmoniser les points de vue autour d'une gestion plus rationnelle
des prévisions de stocks. Lire la suite |
Les
inégalités devant la santé au Sénégal - Walfadjri
- Sénégal - 14/04/2003 |
Pourquoi la mortalité maternelle
enregistrée dans la région de Kolda est-elle la plus élevée du Sénégal
? Pourquoi le risque de létalité lié aux maladies infectieuses est-il
inversement corrélé à l'échelle des statuts économiques ? Pourquoi
la filariose lymphatique responsable de l'éléphantiasis des membres
inférieurs (jambes grosses) n'existe que dans le département de Mbour
? Lire la suite |
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