Hôpital
pédiatrique Charles-de-Gaulle : bilan de santé deux ans après -
L'observateur
Paalga - Burkina Faso - 29/04/2003 |
Le centre hospitalier national
pédiatrique Charles-de-Gaulle à Ouagadougou a célébré du 24 au 26
avril 2003 son deuxième anniversaire qui a été l'occasion d'une part
de faire son bilan et d'autre part , d'informer le public sur ses
prestations. La cérémonie s'est déroulée dans l'enceinte de l'établissement.
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Du
danger des plantes : La toxicité du fisanier - Sidwaya
- Burkina Faso - 29/04/2003 |
Les plantes possèdent un pouvoir
immense dans la vie de l'homme. Elles ont le pouvoir de maintenir
la vie ; elles ont le pouvoir de guérir. Mais, elles possèdent également
le pouvoir de tuer. C'est ce dernier pouvoir que nous allons évoquer
dans la présente note, en évoquant le tragique empoisonnement mortel
dont ont été victimes des enfants, le 10 avril dernier, à Niangoloko.
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Le
ministre de la Santé visite les centres d'imprégnation de moustiquaires
de Brazzaville - Les
dépêches de Brazzaville - Congo - 29/04/2003 |
Le Dr. Alain Moka, accompagné
du Dr. Lamine Cissé Sarr, représentant de l'OMS au Congo, a visité
vendredi les centres d'imprégnation de moustiquaires installés à Brazzaville.
Il s'est rendu tour à tour au bloc opératoire de la maternité de Makélékélé,
au site de Diata et au centre de santé intégré du Plateau de 15 ans.
En remettant sur ces différents sites des échantillons de moustiquaires
aux femmes enceintes, le ministre entendait montrer aux mères l'intérêt
de la protection contre les moustiques. Il a terminé sa visite au
siège de l'association Femme et Action à Poto-poto, où, parlant au
nom des trois Ongs impliquées dans l'initiative " Faire reculer le
paludisme ", Charlotte Opimbat a mis en relief la mobilisation de
la Fondation Congo-Assistance, de l'association Femme et Action et
de l'association AIC qui appuient depuis 2001 l'action du gouvernement
en imprégnant près de 10.000 moustiquaires. Commentant cette visite,
le Dr. Lamine Cissé Sarr a expliqué que l'utilisation à grande échelle
de moustiquaires imprégnées réduirait fortement le taux de la morbidité
et de la mortalité infanto-juvénile. " Le thème et le slogan de cette
année attirent notre attention sur les principaux axes et sur les
deux groupes particulièrement vulnérables que sont les femmes et les
enfants, a-t-il déclaré. La moustiquaire constitue une barrière physique
qui protège contre les nuisances et la transmission du paludisme.
Utilisée à large échelle la moustiquaire imprégnée permet de réduire
de 60 % la morbidité et de 20 % la mortalité infanto-juvénile. C'est
pourquoi le directeur régional de l'OMS-Zone Afrique, Ibrahim Malick
Samba, très sensible aux souffrances des femmes enceintes et des jeunes
enfants, a décidé de lancer une opération spéciale pour l'apport au
pays d'importantes quantités de moustiquaires imprégnées. "
Lire l'article original : http://www.brazzaville-adiac.com/html/ba_article.php?DEP_CODE=3216
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Centre
médical à Anosizato : Environ 6.000 à 8.000 riveraines bénéficieront
à titre gracieux des soins au centre médical d'Anosizato -
L'express
- Madagascar - 29/04/2003 |
Environ 6.000 à 8.000 riveraines
bénéficieront à titre gracieux des soins au centre médical d'Anosizato,
créé par la communauté Bohra et inauguré officiellement hier, vers
la fin de la matinée. La clé du dispensaire a été remise par Sa Sainteté
Dr Syedna Mohammed Burhanuddin au chef de la communauté Bohra à Madagascar,
Hatim Bhai Saheb. Cette cérémonie a été relevée par la présence des
ministres Monique Esoavelomandroso de la Décentralisation et du développement
des provinces autonomes, Hajanirina Razafinjatovo des Postes, télécommunications
et communication, et Augustin Amady de la Sécurité publique, ainsi
que des chefs de partis politiques, dont Manandafy Rakotonirina (Mfm),
Moks Ramandimbilahatra (Teza), le pasteur Richard Andriamanjato (Fanavaozana),
Désiré Ramakavelo (Ame)... N'ayant pas encore reçu l'autorisation
du ministère de la Santé, ce nouveau dispensaire devrait néanmoins
s'ouvrir prochainement, étant prêt accueillir les patients en matière
d'équipements et d'infrastructures médicaux. Les soins seront assurés
par un personnel médical malgache spécialisé en urgence; quant aux
médicaments, ils seront pris en charge par la communauté Bohra et
autres généreux donateurs. Le chef spirituel de la communauté Dawoodi
Bohra a profité de l'occasion pour exprimer sa vive émotion d'avoir
été reçu par le Président de la République et le Premier ministre.
Et de souligner que "nous devons vivre dans la fraternité et la paix",
en souhaitant que le pays se développe de plus en plus avec le progrès.
Ce centre médical est destiné à la population riveraine d'Anosizato,
toujours selon Sa Sainteté, en exhortant la communauté de continuer
ses œuvres sociales et de s'insérer dans le tissu malgache. : Ramalala
Lire l'article original : http://www.lexpressmada.com/article.php?id=11879&r=13&d=2003-04-29 |
Lutte
contre la cécité - L'express
- Madagascar - 29/04/2003 |
Les personnes qui ont des
problèmes de vue n'auront plus à s'inquiéter pour ce qui est des consultations.
Un centre de dépistage permanent de la cataracte vient en effet d'être
mis en place au centre hospitalier universitaire Joseph Ravoahangy
Andrianavalona à Ampefiloha. Initiée par le Lions Sight First Madagascar
(Lsfm) en collaboration avec le ministère de la Santé, la création
de ce centre permettra d'éduquer la population à fréquenter le centre
de dépistage en cas de maladies des yeux et de faciliter l'accès au
dépistage de la cataracte sans attendre les opérations ponctuelles
menées dans de nombreux fokontany. Le centre possède en effet les
équipements nécessaires au dépistage, avec ses 18 ophtalmologues et
médecins formés dans la chirurgie oculaire essentielle. Le Lsfm prend
entièrement en charge le dépistage et les soins. Selon les explications
du président du Lsfm Fidy Rakotozafy, ce projet de dépistage permanent
de la cataracte a pour objectif d'augmenter de 30% les opérations
menées à Antananarivo. Ce qui porterait le nombre d'opérations à 3.000
yeux par an, dont 2000 à l'Hjra, opérations du reste totalement prises
en charge financièrement par les Lions d'Antananarivo. Parallèlement,
un système d'approche de la population a été mis en place dans le
but d'améliorer l'organisation des campagnes de dépistage. Dans ce
cadre, cinq autres spécialistes ont été recrutés pour effectuer des
descentes dans les différents fokontany, selon la formule du porte-à-porte.
Si des cas suspects sont dépistés, ils les dirigent aussitôt vers
le centre ophtamologiste de l'Hjra, du Cenhosoa ou du Salfa d'Ambohibao
si l'opération s'avère nécessaire. : Ramalala
Lire l'article original : http://www.lexpressmada.com/article.php?id=11884&r=13&d=2003-04-29 |
Ulcère
gastroduodénal : Une maladie grave banalisée par les populations
- Walfadjri - Sénégal
- 29/04/2003 |
De nombreux Sénégalais ignorent
les risques d'affection de la maladie ulcéreuse gastro-duodénale qui
présente une mortalité assez fréquente due à une insuffisance de traitement.
C'est partant de ce constat que le personnel médical de l'hôpital
Principal de Dakar a choisi de réfléchir sur ce thème pendant ses
journées médicales. Lire la suite |
Lutte
contre le paludisme : Un vaccin d'ici à cinq ans ? - Sidwaya
- Burkina Faso - 28/04/2003 |
La communauté africaine a
célébré le 25 avril 2003, la Journée africaine du paludisme. Dans
le cadre de cette journée, le ministre de la Santé, Alain Bédouma
Yoda a convié les hommes de médias à un point de presse à son cabinet.
Une occasion pour lui de faire le bilan de la lutte sur cette maladie
au Burkina. Lire la suite |
Journée
africaine antipalu : La moustiquaire imprégnée, l'arme fatale -
L'observateur
Paalga - Burkina Faso - 28/04/2003 |
Plan Burkina Faso en partenariat
avec le projet santé maternelle et néonatale (MNH) a célébré le 25
avril 2003 à Koupèla la Journée africaine de lutte contre le paludisme.
Le thème de cette journée était : "Les moustiquaires imprégnées et
le traitement efficace du paludisme pour les femmes enceintes et les
jeunes enfants en 2005". Lire la suite |
Sud
: La recrudescence de la tuberculose inquiète - Cameroon-tribune
- Cameroun - 28/04/2003 |
Ebolowa (Mvila) - La dixième
édition de la journée mondiale de la tuberculose était une occasion
pour les autorités publiques du Sud de se joindre au reste de la communauté
nationale et internationale pour jeter un regard rétrospectif sur
une maladie qui continue de faire des ravages dans cette partie du
pays. Selon le chef de service du district de santé d'Ebolowa, le
docteur Ernest Essomba Essomba, 140 malades tuberculeux ont été traités
dans différents centres de santé de la place dont 40 cas associés
au VIH/Sida. L'événement, qu'était la célébration à Ebolowa de cette
10ème journée mondiale de la tuberculose, a débouché sur des séances
de sensibilisation, de conscientisation des populations du Sud en
général et du département de la Mvila en particulier, sur les dangers
liés à cette infection en nette recrudescence dans la province du
Sud. Ainsi, l'accent a été mis sur l'information, l'éducation, les
méthodes de diagnostic et le traitement dont les frais ne dépassent
guère 5.000 F FCA aujourd'hui. Parce que cette maladie menace l'humanité
depuis 121 ans, l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé) avec l'appui
du principal bailleur de fonds pour la lutte contre cette infection
dans le Sud " l'aide aux lépreux Emmaus-Suisse-Ales ", quatre centres
de traitement ont pu être mis en place dans le district de santé d'Ebolowa
: Enongal, Mvangan, Ngoulémakong et Mengong. Ici, le traitement est
accessible à toutes les couches sociales de la population au coût
de 5.000 F CFA contre 100.000 F CFA il y a quelques années. Mathieu
Sa'a
Lire l'article original :
http://www.cameroon-tribune.cm/article.php?lang=Fr&oled=j28042003&idart=7645&olarch=j28042003 |
Journée
africaine du paludisme : Les femmes enceintes reçoivent 300 moustiquaires
imprégnées - Fraternité
Matin - Côte d'Ivoire- 28/04/2003 |
Avant les manifestations
officielles prévues pour le 9 mai, à Toumodi, la 3è journée africaine
célébrée récemment a été marquée par deux événements dignes d'intérêt
à l'INSP (Institut national de la santé publique). Faisant sienne
l'initiative lancée en 1998 par l'OMS, à savoir : "Faire reculer le
paludisme", le Rotary international a, par le truchement de sa commission
du district 9.100 du programme de lutte contre ce fléau, offert 300
moustiquaires imprégnées d'insecticides aux femmes enceintes et aux
mères des enfants de moins de 5 ans. "Le Rotary international qui
se préoccupe du bien-être de l'humanité ne pouvait pas rester indifférent
à la détresse de nos populations face aux méfaits du paludisme", a
indiqué la Présidente de ladite commission, Mme Aïssata Coulibaly.
Qui a fait remarquer que dans son district, le paludisme est la première
cause de consultation dans les centres de santé. Et d'ajouter: "Il
constitue 30 à 40% des états morbides et représente plus de 10% de
toutes les causes de mortalité". Autre temps fort de cette journée,
la conférence prononcée par Dr Joseph Niangué sur le thème: "Le paludisme
en Côte d'Ivoire: quelles approches pour le 21è siècle ?". Le conférencier
a souligné qu'un accent particulier doit être mis sur les traitements
curatifs : prise en charge précoce des formes graves, notamment en
milieu périphérique. Selon lui, pour lutter contre le paludisme, les
valeurs culturelles doivent être prises en compte. EMMANUEL KOUASSI
ELVIS KODJO Lire l'article original : http://www.fratmat.co.ci/story.asp?ID=19364 |
3ème
Journée africaine du paludisme : des moustiquaires imprégnées pour
les Centrafricains - CentrAfrique-Presse
- République Centrafricaine - 27/04/2003 |
Le ministre centrafricain
de la Santé publique et de la Population, M. Mamadou Nestor Nali,
a présidé vendredi la cérémonie de célébration de la 3ème journée
africaine du paludisme. Dans le discours qu'il a prononcé à cette
occasion, M. Nali a indiqué que de 1995 à 1999, il a été enregistré
533 116 cas de paludisme pour 2100 décès. Selon lui, " le paludisme
représente à lui seul 40% des motifs de consultation, toutes pathologies
confondues, et constitue la première cause de mortalité. " M. Nali
a saisi l'occasion pour demander aux partenaires au développement
" à venir en aide à la population en cette période charnière par le
renouvellement d'un autre stock de moustiquaires " car, a-t-il indiqué,
un premier stock de moustiquaires imprégnées " a été emporté par les
malfaiteurs lors du pillage opéré au sein du département ". Sur 4
000 moustiquaires offertes par l'OMS, 3000 ont effectivement été emportées
dans la foulée du coup d'Etat du 15 mars dernier.
ELVIS KODJO Lire l'article original : http://www.fratmat.co.ci/story.asp?ID=19364 |
ZIGUINCHOR
: Double protection face au sida - Walfadjri
- Sénégal - 27/04/2003 |
Dans cette région où l'on
note une des plus fortes prévalences au Sénégal, les réponses au sida
se multiplient. Un centre de dépistage anonyme va être ouvert et l'on
annonce l'arrivée des anti-rétroviraux. Lire
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Paludisme
: Un enfant succombe toutes les 30 secondes - Midi
Madagasikara - Madagascar - 26/04/2003 |
L'ampleur du paludisme pèse
lourd sur les pays africains ainsi qu'à Madagascar. Plus d'un million
de décès, par an, et 500 millions de cas de paludisme sont recensés
dans le monde, dont 90 % des cas surviennent en Afrique subsaharienne.Ce
sont les enfants de moins de 5 ans qui sont les premières victimes.
En effet, un enfant meurt toutes les trente secondes, en Afrique.
Pour le cas de Madagascar, comme nous l'avons déjà mentionné dans
notre parution d'hier, un malade sur quatre succombe dans les hôpitaux
et 95 % du territoire national, avec 90 % de la population, sont exposés
à la transmission permanente ou saisonnière du paludisme.
Moustiquaire
Devant la gravité de la situation, la date du 25 avril a été sacrée
journée africaine de la lutte contre le paludisme, comme il a été
décidé en 2000, lors d'un sommet à Abuja, au Nigeria. Le thème choisi
pour cette année est " Les moustiquaires imprégnées et le traitement
efficace pour les femmes enceintes et les enfants en 2005 ". A cette
occasion, une sensibilisation sur l'utilisation des moustiquaires
s'est tenue, hier matin, à l'esplanade d'Analakely. Une conférence
scientifique s'est par ailleurs tenue, dans l'après-midi, à la Résidence
d'Ankerana. Plusieurs sujets ont été exposés : paludisme et grossesse,
la prise en charge du paludisme chez les enfants, l'initiative Roll
Back Malaria, importance et efficacité de la prise en charge précoce
des accès palustres chez les enfants,…
Prévention
D'ici 2005, trois objectifs ont été fixés pour l'ensemble des pays
africains. Assurer un traitement précoce, adéquat et abordable, dans
les 24 heures qui suivent l'apparition des symptômes de la maladie,
pour 60 % des enfants. Faire bénéficier de la combinaison la plus
appropriée des mesures de protection individuelle et communautaire
aux 60% des femmes enceintes et des enfants de moins de 5 ans. Et
donner un traitement préventif intermittent à au moins 60 % des femmes
enceintes à risque. Les mesures de prévention sont ainsi vulgarisées
pour éviter les charges énormes que représente l'achat de médicaments.
Vola R.
Lire l'article original : http://www.midi-madagasikara.mg/textes/cu030426.htm#debut
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PALUDISME
: La chloroquine efficace à 83% chez l'enfant, selon le Dr Koko
- Fraternité
Matin - Côte d'Ivoire- 26/04/2003 |
Première cause des consultations
hospitalières en Afrique, le paludisme ne demeure pas moins une maladie
curable. C'est notamment le cas chez les enfants de moins de cinq
ans, s'ils sont traités à la chloroquine selon les recommandations
de l'OMS C'est la conclusion des travaux entrepris par Mlle Georgette
Koko Djabia dans le cadre de sa thèse de doctorat d'Etat en médecine
soutenue récemment. Le thème "Evaluation de l'efficacité de la chloroquine
dans le traitement du paludisme simple a plasmodium falciparum chez
les enfants de 6 à 59 mois" a porté sur une étude réalisée à l'hôpital
général de Bongouanou. Avec seulement 16% d'échec thérapeutique pour
non-respect des posologies prescrites contre 33% pour un générique
anti-palustre (selon une étude antérieure à Kossou et San Pedro),
la chloroquine apparaît comme un médicament "plus que satisfaisant
dans le traitement du paludisme non pernicieux si son accessibilité
est renforcée", a recommandé l'impétrante. Le jury composé des professeurs
Ehouman (président), Assoumou (directeur de thèse), Edoh et Ohouon
(assesseurs) a délivré le titre de docteur d'Etat en médecine à Mlle
Georgette K. Djabia. Avec la mention très honorable. RÉMI COULIBALY
ELVIS KODJO Lire l'article original : http://www.fratmat.co.ci/story.asp?ID=19334 |
PNEUMONIE
ATYPIQUE : 200 millions de francs pour les mesures préventives
- Fraternité
Matin - Côte d'Ivoire- 26/04/2003 |
Le personnel de l'aéroport
international d'Abidjan est, depuis jeudi après-midi, équipé en matériel
de protection contre la pneumonie atypique. C'est le directeur de
cabinet, M. Kouadio Komoé Augustin, représentant le ministre Albert
Mabri Toikeusse, qui a procédé à la remise de ce matériel composé
de 2000 paires de gants et de 1000 masques. Ce matériel est destiné
aux agents qui sont en contact direct avec les voyageurs, aux agents
de santé, de police, des douanes et de la gendarmerie notamment. Cette
dotation s'inscrit dans la panoplie de mesures que le gouvernement
entend mettre en œuvre face à cette maladie. Un budget de plus de
200 millions de francs, révèle le représentant du ministre, est mis
en place en vue de l'élaboration du plan d'action contre la pneumonie
atypique. Le CHU de Treichville, en tout état de cause, sera équipé
d'une table de radiologie et d'un respirateur pour faire face à tout
symptôme de la maladie. LANDRY KOHON
Lire l'article original : http://www.fratmat.co.ci/story.asp?ID=19334 |
Lutte
contre le paludisme : le ministre Mashako Mamba disqualifie la chloroquine
en faveur du fansidar - Digitalcongo
- RD Congo - 25/04/2003 |
Ce vendredi 25 avril 2003,
la R.D.C. célèbre la 3ème journée africaine du paludisme. La moustiquaire
imprégnée d'insecticide constitue le meilleur moyen de protection
proposé par l'O.M.S. contre le paludisme La chloroquine est écartée
officiellement de la liste des médicaments à prescrire contre le paludisme
(malaria) en RD Congo et remplacé par le Fansidar. Lire
la suite |
PALUDISME
: Première cause de mortalité et de morbidité au Sénégal -
Le Sud - Sénégal
- 25/04/2003 |
Dossier réalisé par Véronique JAMPY et Mariama BADJI
Chaque année, au moins 300 millions de cas aigus de paludisme sont
enregistrés dans le monde dont plus d’un million de décès. Lorsque
le paludisme fut éliminé des zones tempérées, il y avait tout lieu
d’espérer que par la pulvérisation de produits chimiques, on parviendrait
à endiguer la maladie dans les pays tropicaux et en Afrique. Mais
la résistance croissante aux insecticides et les conséquences de
cette méthode sur l’environnement ont progressivement ruiné les
espoirs de vaincre rapidement le paludisme. La maladie est donc
toujours présente et fait des ravages particulièrement en Afrique.
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Le
personnel médical soigne sa formation - Cameroon-tribune
- Cameroun - 25/04/2003 |
La 8e édition de " Vision
internationale médicale ", un espace international de formation médicale
continue, se tient à Yaoundé. "Les sciences de la santé sont un domaine
dans lequel les connaissances évoluent tous les jours ". Déclaration
du Secrétaire général du ministère de la Santé publique, le Pr. Ndam
Njitoyap, à l'ouverture du 8ème salon de Vision internationale médicale
(VIM), cérémonie qu'il présidait en lieu et place du ministre de la
Santé), programmé du 24 au 26 avril au Hilton de Yaoundé. Et c'est
en raison de ce constat qu'il est impératif pour les acteurs de la
santé de constamment se recycler, de régulièrement mettre à jour leur
savoir. L'émergence de nouvelles pathologies comme la pneumopathie
atypique ou la résurgence de fléaux comme la tuberculose viennent
conforter cette position. D'où l'importance de l'initiative, devenue
" une institution pour certains pays d'Afrique ", selon le SG. Le
Pr. Ndam Njitoyap, tout en indiquant que le gouvernement et les responsables
de la Santé appréciaient le choix du Cameroun pour ces assises, a
souligné qu'en plus de la remise à niveau des connaissances, le cadre
était propice à l'échange d'expériences. Raison pour laquelle le MINSANTE
" appuie et appuiera toujours cette dynamique de formation, qui entre
dans son programme sectoriel ", a-t-il conclu. Avant le SG, le doyen
de la Faculté de médecine et de sciences biomédicales de l'université
de Yaoundé I, le Pr. Peter Ndumbe, s'est adressé à l'assistance. Après
avoir dit l'honneur qu'il avait à prendre part à l'événement, il a
présenté comme un devoir le fait pour tous les praticiens de se recycler
régulièrement. Au menu de la réunion, dont la préparation a impliqué
le ministère de la Santé, des médecins, des pharmaciens et les agences
de coopération bilatérales et multilatérales, figurent une cinquantaine
de thèmes et communications. Entre autres choses, des films seront
projetés (" L'Encyclopédie du corps humain ", " Le plus grand mur
d'images sur l'Histoire de la Médecine "), et de nombreuses questions
abordées : la prise en charge des cancers du sein, les bouffées de
chaleur de la ménopause, le traitement actuel du parasitisme intestinal,
les carences magnésiennes, etc. Des activités rotatives sont prévues
dans 13 salles de réunion. Les travaux du VIM édition de Yaoundé 2003
sont ouverts aux paramédicaux, aux médecins, pharmaciens, et aux chirurgiens
dentistes. Il devrait également intéresser les étudiants, que le Pr.
Ndam Njitoyap a mentionné dans son allocution d'ouverture. Selon un
des membres de l'organisation, les participants, plutôt nombreux hier
matin sur le lieu des travaux, viennent de toute la sous-région Afrique
centrale. Alliance Nyobia
Lire l'article original :
http://www.cameroon-tribune.cm/article.php?lang=Fr&oled=j28042003&idart=7593&olarch=j25042003&ph=y |
SANTE
A LOUGA : L'hôpital se modernise, les cabinets fleurissent
- Walfadjri - Sénégal
- 25/04/2003 |
S'il y a une ville du Sénégal
où les cabinets fleurissent, c'est bien celle de Louga dont l'hôpital
est en train de se moderniser. Mais ce n'est pas suffisant pour que
la capitale du Ndiambour n'éprouve plus le besoin de regarder du côté
de Saint-Louis ou de Dakar pour soigner ses malades. Il reste juste
à voir sortir de terre les projets de cliniques privées qui sont en
cours, avec la complicité des émigrés. Lire
la suite |
Ensemble
contre le Sida au Burkina : Des ARV en générique arrivent -
Sidwaya - Burkina
Faso - 25/04/2003 |
Le ministère de la Santé a
signé une convention avec le Chemical industrial pharmaceutical laboratories
(CIPLA) le 22 avril dernier à l'hôtel Silmandé. Cette signature permet
au Burkina d'acheter des anti-rétroviraux (ARV) à moindre coût avec
ce laboratoire indien. Une conférence de presse a suivi la signature
de convention pour faire l'état des lieux de la prise en charge des
personnes infectées par le VIH-Sida. Les prix des ARV ont connu, ces
dernières années, des baisses successives et importantes, ils constituent
encore un grand obstacle pour le traitement de nombreuses personnes
qui en ont pourtant besoin, a expliqué le ministre Alain Yoda. A ce
titre, les autorités de notre pays recherchent perpétuellement des
mécanismes pour réduire la souffrance des personnes infectées par
le VIH-Sida. C'est la raison pour laquelle à l'instar d'autres pays
africains, le Burkina Faso a décidé d'introduire les ARV en générique
dans la prise en charge des personnes malades du Sida, puis aussi
diversifier les sources d'approvisionnement. La Centrale d'achat des
médicaments génériques (CAMEG) spécialisée dans ce genre d'opération
se jette encore à l'eau. Les laboratoires CIPLA ayant mis sur le marché
les traitements anti-Sida sous forme de générique épauleront nos autorités
dans l'approvisionnement en ARV à moindre coût.
Les ARV en générique dix fois moins chers ...
Selon le ministre de la Santé, l'ambition est de faire en sorte que
la convention signée permette d'aboutir à des prix relativement plus
abordables que ceux qui sont présentement offerts. Par exemple, les
molécules coûtant 82 000 FCFA en spécialité par mois coûteront 22
000 FCFA en générique a indiqué Joseph André Tiendrébéogo du Conseil
national de lutte contre le Sida. Le directeur général de la CAMEG,
Lazare Bansé pour sa part a relevé que le Burkina est en conformité
avec les accords de Doha sur l'exportation des produits pharmaceutiques.
Ainsi, le projet des ARV en générique permettra de prendre en charge
environ 50 000 malades soit 15 % des personnes infectées. Actuellement
675 malades bénéficient de la prise en charge en ARV dits de spécialité.
Emmanuel BOUDA
Lire l'article original : http://www.sidwaya.bf/sitesidwaya/sidawaya_quotidiens/sid2003_25_04/sidwaya.htm
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CHU
: le PCA prescrit la poursuite du redressement - Cameroon-tribune
- Cameroun - 24/04/2003 |
Le Pr. Fame Ndongo a présidé
la session budgétaire du conseil d'administration de la structure
hier. Les résultats obtenus depuis quelques années par le centre hospitalier
et universitaire de Yaoundé donnent visiblement satisfaction au président
de son Conseil d'administration" Le CHUY est redevenu l'hôpital universitaire
de ses débuts. Ses prestations quantitatives et qualitatives l'attestent",
a déclaré le Pr. Fame Ndongo dans son discours d'ouverture, après
avoir souligné une "tendance constante à l'amélioration des résultats
(…) depuis trois ans". Mais il faut faire plus. En effet, et l'orateur
l'a reconnu, le Centre est encore loin des performances des équipes
hospitalo-universitaires d'Occident, dans leur organisation structurelle
et fonctionnelle, "conditions nécessaires à l'atteinte des prestations
de soins de haut niveau, des supports pédagogiques, de recherche et
de coopération" à la hauteur des attentes des usagers. Et cette quête,
parce qu'elle nécessitera la mobilisation d'importantes ressources,
doit être marquée par l'éthique. La sécurisation et la gestion rigoureuse
des moyens dégagés s'imposent donc. Tout comme un climat social sain
: "Ensemble, nous rechercherons une solution durable aux problèmes
sociaux du CHUY pour que règne enfin la sérénité au sein de notre
hôpital, afin de ne pas compromettre la relance si solidement engagée",
a promis le PCA. Sur un autre plan, il a rappelé aux administrateurs
l'essence du centre : hôpital universitaire au service de la communauté,
pôle d'excellence dans les spécialités médicales (médecine interne,
cardiologie, gastro-entérologie, réanimation, dermatologie), pédiatriques,
les investigations biologiques et paracliniques, etc. En outre, le
CHUY participe aux grands programmes de santé définis par la stratégie
sectorielle du Minsanté - sida, tuberculose, paludisme, etc. Si l'adoption
du budget 2003 était le principal point à l'ordre du jour, les administrateurs
devaient aussi plancher sur les modalités de la poursuite de la réhabilitation
du CHUY, les grandes articulations de cette réhabilitation ainsi que
l'examen des comptes administratif et de gestion d e s ressources
mises à la disposition de la structure. Alliance Nyobia
Lire l'article original :
http://www.cameroon-tribune.cm/article.php?lang=Fr&oled=j28042003&idart=7560&olarch=j24042003&ph=y |
Nahouri
: L'hôpital de Pô a fêté son 5e label d'or - L'observateur
Paalga - Burkina Faso - 24/04/2003 |
Le centre médical avec antenne
chirurgicale (CMA) de Pô a commémoré, le samedi 12 avril, son label
cercle d'or sous le patronage du haut-commissaire de la province en
présence de la représentante du projet Santé familiale et prévention
du Sida (SFPS), de plusieurs invités et du personnel de santé. "C'est
la cinquième fois consécutive que le service de santé maternelle et
planification familiale (SMI/PF) du CMA de Pô remporte le label cercle
d'or décerné aux formations sanitaires pour la qualité des prestations.
C'est ce qui justifie la grande joie du personnel de santé et des
autorités administratives lors de la commémoration de cet événement
qui est un moyen d'encouragement au travail bien fait. Pour la circonstance,
le CMA de Pô ne s'est pas limité à une simple cérémonie, car il a
meublé l'événement par des activités de sensibilisation, du sport
et des loisirs qui ont duré trois jours : on peut en retenir le nettoyage
de la cour et des locaux du centre médical, la réalisation d'une émission
radiophonique sur la contraception et le VIH/SIDA-IST, un match de
football qui a mis aux prises les enseignants contre les agents de
santé avec en lever de rideau, les femmes contre les anciens, et enfin,
une soirée dansante au Matignon bar où tous se sont bien déhanchés
au rythme du Mapouka et de la Salsa. La cérémonie commémorative qui
s'est déroulée dans l'enceinte du CMA a été marquée par trois interventions.
Le médecin-chef du district sanitaire de Pô, M. Ybar Kambiré, a pris
la parole pour d'abord donner le sens et les objectifs du label cercle
d'or. Il a ensuite félicité le personnel du CMA et plus particulièrement
celui du SMI pour les efforts qui ont mérité cette reconnaissance
à travers ce prix qu'ils remportent pour la cinquième fois consécutive.
Il a souligné la croissance des statistiques de fréquentation des
services du SMI et la constance de la qualité des prestations, qui
sont très encourageantes. La représentante du SFPS, Mme Habibou Ouédraogo,
a, au nom du projet, félicité le personnel et les membres du cercle
de qualité grâce auxquels les résultats du travail ont été salués
à sa juste valeur. Le haut-commissaire de la province, M. Adama Hébié,
s'est joint aux deux autres intervenants pour saluer et encourager
aux efforts tous les jours pour satisfaire les populations dans un
métier aussi exigeant que la santé. Il a aussi remercié le parrain
du CMA de Pô, le Dr Michel Akotionga, pour le soutien constant apporté
à cette structure, sans lequel de tels résultants n'auraient pas été
obtenus. Pour terminer, il a invité l'ensemble du personnel à continuer
dans ce sens avant de transmettre le certificat du label cercle d'or
2003 au médecin-chef qui, à son tour, l'a remis au méritant Hermann
Komboïgo, chef du service SMI. Une troupe féminine de Pô, la troupe
théâtrale Dikouebounga de Pô et le comédien Papa Boyaye ont agrémenté
la cérémonie par de l'animation et un sketch sur la santé de la reproduction
et le Sida. Les séances d'animation ont permis au public venu nombreux
à la fête du cercle d'or du CMA de Pô de vivre un temps de fête dans
une ambiance décontractée avec des pas de danse exécutés par des "mémés"
autour de la mascotte de Papa Boyaye. Léon Copia
Lire l'article original : http://www.lobservateur.bf/quotidiens/select.asp?Numero=3064
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Centre
: Intensification de la lutte contre l'onchocercose en 2003
- Cameroon-tribune
- Cameroun - 24/04/2003 |
Monatélé (Lékié) - Les responsables sanitaires
venus des 12 aires de santé relevant du district de santé de Monatélé,
ainsi que les présidents des différents comités villageois de santé
viennent de se retrouver en séminaire de recyclage autour du médecin-chef
du district de santé de Monatélé, le Dr Gaston Enno Mve, dans le cadre
de la préparation de la nouvelle campagne de distribution du Mectizan
pour l'année 2003. La cécité des rivières, plus connue sous le nom
d'onchocercose, constitue depuis quelques années, un véritable problème
de santé publique qui préoccupe les pouvoirs publics en partenariat
avec l'OMS et autres bailleurs de fonds amis du Cameroun. Afin de
garantir le bon déroulement de la campagne de distribution du Mectizan
aux populations fortement menacées par cette maladie dans la région
de Monatélé. Le Dr Enno Mve a initié une session de formation des
personnels directement impliqués dans cette opération. A la suite
de la première phase destinée aux personnels sanitaires et communautaires,
la seconde phase s'adressera à tous les responsables des formations
sanitaires du district de santé de Monatélé couvrant les arrondissements
d'Evoudoula et Monatélé, ainsi qu'une partie de l'arrondissement d'Ebebda.
L'objectif poursuivi par toutes ces formations est d'aboutir à une
plus grande sensibilisation des masses populaires, et une mobilisation
optimale des communautés à la prise du Mectizan, seule voie de salut
pour les mettre à l'abri des désastres causés par l'onchocercose.
Pour ce faire, le Dr Enno Mve a recommandé une disponibilité de toutes
les forces vives de son district de santé, en vue du succès total
de l'opération appelée à atteindre un taux de couverture minimale
de 70% en 2003. B.C. Menunga
Lire l'article original :
http://www.cameroon-tribune.cm/article.php?lang=Fr&oled=j28042003&idart=7582&olarch=j24042003 |
Après
le Mali, le Burkina Faso et la Guinée Conakry, le Sénégal va-t-il
en fin se décider à officialiser la pratique de la Médecine traditionnelle
? - Le Sud
- Sénégal - 24/04/2003 |
Le sort qui sera réservé, par les autorités, au projet de loi portant
cette reconnaissance, qui est déposé depuis la semaine dernière
sur la table du Secrétariat général du gouvernement, donnera sans
doute la réponse à cette question. En attendant des milliers de
tradipraticiens (600 recensés de façon officiellle), attendent le
premier coup de gong pour démontrer ce dont ils sont capables. Le
projet de loi portant reconnaissance officielle de la pratique de
la médecine traditionnelle est depuis la semaine dernière sur la
table du Sécrétariat du gouvernement. Il est déposé au niveau de
cette instance, une étape qui doit la mener à la table du gouvernement
pour adoption par le Conseil des ministres, avant celle du Conseil
Constitutionnel pour la vérification de sa constitutionnalité et
son adoption ou son rejet par l'Assemblée nationale. A en croire,
une source proche de la Direction de la santé, le projet de loi
a été réactualisé et de nombreuses observations émises par une soixantaine
de spécialistes -des questions pharmaceutiques, juridiques, sociales,
médicales, tradipratiques et de médecine d'entreprise- prises en
compte. Ceci à la suite des travaux de l'atelier tenu il y a 2 mois,
à Saly. La reconnaissance de la Médecine traditionnelle s'impose
ainsi comme une urgente nécessité en Afrique où 80% de la population,
selon l'Organisation mondiale de la santé (Oms), font recours à
cette pratique. Selon cette même organisation, 50 % de la population
africaine n'a pas accès aux soins classiques, soit à cause du manque
de moyens, soit du fait de l'inefficacité de la médecine moderne,
face à l'entêtement de certaines pathologies. L'Oms préconise ainsi
le recours à cette pratique pour régler le problème de l'accès aux
soins d'une large majorité de la population africaine. Des pays
comme le Mali, le Burkina Faso et la Guinée Conakry ont déjà réglé
la question. Le Sénégal dont la huitième recommandation sur les
onze inscrites dans son Programme de développement intégré de la
santé (Pdis), concerne la Médecine traditionnelle, s'inscrit dans
la même dynamique. La volonté politique est manifestée depuis 1985,
de reconnaître officiellement la pratique. Même si elle tarde à
se traduire dans les faits. Le chef de l'Etat d'alors (sous le régime
socialiste) avait adressé une correspondance à tous les départements
concernés, les invitant à s'impliquer dans la mise en oeuvre de
cette décision tant attendue par les populations. Un bureau chargé
de la pharmacopée fut créé en 1996, soit 2 ans plus tard, a la direction
de la Pharmacie et des médicaments. Mais c'est en 1998 qu'un projet
de loi d'officialisation, nouvelle version, a été mis dans le circuit.
C'est le même qui, semble-t-il, est aujourd'hui réactualisé et remis
dans le circuit après avoir été validé l'année dernière. La Médecine
traditionnelle, en dépit de son caractère officiel, a été toujours
considéré comme un facteur de développement de la santé au Sénégal.
Les populations font recours à elle pour remédier à de nombreuses
pathologies, faute de moyens ou de confiance aux produits pharmaceutiques.
Un congrès qui s'est tenu récemment à Accra (Ghana) sur le thème
"Médecine traditionnelle ", considère que le Mali et le Sénégal
sont deux pays pouvant servir de référence, dans le domaine. Officiellement,
600 tradipraticiens ont été recencés dans les dix régions, selon
M. Aw, un des responsables du dossier, à la Direction de la santé
au ministère de la Santé, de l'Hygiène et de la Prévention. Les
tradipraticiens de la région de Dakar sont les seuls à n'avoir pas
été concernés par un tel recensement. M. Mika Lom
Lire l'article original : http://www.sudonline.sn/archives/24042003.htm
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Campagne
de vitamine "A" au bénéfice de plus de 2,5 millions d'enfants de moins
de 5 ans - L'express
- Madagascar - 23/04/2003 |
Pour cette année 2003, la campagne a
débuté officiellement hier sur l'esplanade d'Analakely, sous l'égide
du ministre de la Santé, le Pr Andry Rasamindrakotroka, et en présence
de tous les représentants des organismes partenaires. Pour une durée
de 5 jours, la campagne de supplémentation en vitamine "A" vise à
doter en vitamine plus de 2,5 millions d'enfants de 6 mois à 5 ans
dans toute l'île, soit 100% de cette tranche d'âge pour cette année,
étant donné que la carence en vitamine "A" provoque un effet néfaste
sur la santé des enfants dont la baisse de la vue dans la soirée,
sinon la cécité. La vitamine "A" constitue un des éléments indispensables
notamment sur la croissance des enfants à partir de son 6e mois et
un élément protecteur face à toutes sortes de maladies infantiles,
comme la diarrhée, la rougeole et l'insuffisance respiratoire. Ainsi,
plus de 3 millions de vitamine "A" seront distribués dans 2472 formations
sanitaires publiques et privées réparties dans 111 services de santé
de district. 4944 agents de santé seront mobilisés lors de cette campagne
et 2976 mobilisateurs communautaires contribueront aussi à la sensibilisation
des mères dans tous les Fivondronana. Rappelons que la campagne de
supplémentation est menée tous les 6 mois pour que l'objectif soit
atteint, c'est-à-dire l'éradication totale de la carence en vitamine
"A" chez les enfants.: Ramalala
Lire l'article original : http://www.lexpressmada.com/article.php?id=11724&r=13&d=2003-04-23 |
Un
laboratoire mobile pour lutter contre la méningite - Sidwaya
- Burkina Faso - 23/04/2003 |
Dans le cadre de la lutte, le ministère
de la Santé a élaboré et mis en œuvre un plan de riposte pour l'année
2003 qui a ainsi permis de contenir l'épidémie. Parmi les stratégies
de lutte, I'utilisation des résultats de laboratoire a permis d'adapter
les actions d'urgence. Ainsi, à Batié, les laboratoires ont mis en
évidence, une épidémie dont le responsable était le méningocoque du
type A. Le vaccin bilan qui contient l'antigène A et C a donc été
utilisé dans ces localités. A Manga, le taux du W135 était important,
et cela a nécessité l'utilisation du vaccin trivalent A, C et W135.
Ainsi, I'on comprend aisément la place du laboratoire dans la riposte
aux épidémies. Le Comité national de pilotage du plan de riposte qui
bénéficie de l'appui technique et financier important des partenaires,
recherche les possibilités les mieux adaptées pour sauvegarder la
vie des populations. C'est ainsi qu'il a apprécié positivement, la
proposition d'un laboratoire mobile, faite par l'Association de Médecine
Préventive. Ce laboratoire qui est au stade de validation actuellement
pourrait améliorer la riposte par une détection immédiate du germe
responsable d'une épidémie. Le véhicule qui transporte ce laboratoire
mobile séjourne présentement à Garango dans le Boulgou. Durant une
semaine, il va analyser les prélèvements du liquide céphalo-rachidien
(LCR) pour déterminer s'il s'agit de cas de méningite ou non. Cette
mission devra permettre de détecter les germes mis en cause, par un
test conventionnel d'agglutination sur billes de latex, dans les conditions
de terrain, lequel test d'agglutination sur billes de latex est basé
sur la détection des antigènes dans le LCR, le sérum, les urines.
La situation actuelle de l'évolution de la méningite se présente de
la façon suivante : semaines 1 à 14, le Burkina a enregistré 6234
cas dont 908 décès. Soit un taux de létalité de 14,57%. La seule semaine
14 a enregistré 438 cas avec 61 décès. Le taux de létalité est de
13,93%. Jean-Bernard ZONGO DCPM/Santé
Lire l'article original : http://www.sidwaya.bf/sitesidwaya/sidawaya_quotidiens/sid2003_25_04/sidwaya.htm
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