L'actualité

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C'est la raison de cette rubrique que nous mettrons à jour le plus régulièrement possible.

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L'actualité de la santé en Afrique

Mai 2003

Hépatite B - Le Sud - Sénégal - 06/05/2003

L'hépatite B est un problème de santé publique en Afrique et par conséquent au Sénégal qui, du fait du coût élevé de cette maladie, est à l'instar des autres pays du continent une zone à haute endémie, a déclaré Mme Aminata Sall Diallo. Lire la suite


3312 sages-femmes dans tout Madagascar - Midi Madagasikara - Madagascar - 06/05/2003
Le 5 mai est consacré Journée mondiale des sages-femmes. Selon les dernières statistiques disponibles, elles sont actuellement quelque 3312 sages-femmes réparties dans tout Madagascar, dont 3088 à travailler dans la fonction publique et 224, indépendantes. Ce qui donne une moyenne de une sage-femme pour 11 000 Malgaches. Cette situation est plus qu'alarmante. D'autant que moins de 44 % des accouchements sont assistés par un personnel qualifié, les autres sont encore assurés par les accoucheuses traditionnelles, communément appelées "renin-jaza". Ce qui est loin de garantir une maternité sans risques. En effet, cette insuffisance en nombre se répercute fortement sur le taux de mortalité maternelle, qui était, par exemple, de l'ordre de 48,8 % en 1997. Pour Madagascar, les manifestations officielles se sont déroulées dans le Centre de Santé de Base II d'Anjeva. " La conception d'un enfant dans un environnement sain ", tel a été le thème choisi pour cette occasion. L'Ordre des sages-femmes, initiateur de cette manifestation, coopère étroitement avec l'OMS, le FNUAP et l'UNICEF pour des actions de sensibilisation en la matière dans toute l'île. Garantissant une protection éthique et morale de la profession, et ayant contribué à la mise en forme du Code de santé, il rassemble à ce jour 825 inscriptions, pour lesquelles il dispense le plus souvent possible des formations pratiques. L'information et l'éducation sur les consultations prénatale et postnatale, le planning familial ont été mis à l'avant. Ils ont été, par la suite, suivis d'une démonstration culinaire pour les mamans et les bébés. A l'issue de cette journée, nous avons appris que 500 formations sanitaires vont bénéficier de matériel dans le cadre de l'amélioration de la santé, facteur de développement économique. Bref, une journée conviviale et de retrouvailles, en quelque sorte, pour nos sages-femmes, qui exercent un beau métier, celui de donner la vie. V. Andriamanana et Nirina R
Lire l'article original : http://www.midi-madagasikara.mg/textes/cu030506.htm#cul1

Toikeusse aux sages-femmes: "Soyez plus accueillantes" - Fraternité Matin - Côte d'Ivoire- 06/05/2003
Décrétée en 1993 par la confédération internationale des sages-femmes, la journée mondiale de cette corporation a été célébrée pour la première fois, hier en Côte d'Ivoire. Pour marquer cet événement, l'Association des sages-femmes ivoirienne (ASFI) a prévu au programme des manifestations, une conférence qu'a animée Pr Bohoussou Kouadio, Chef de service gynécologie obstétrique au CHU de Cocody. C'était à l'Institut national de santé publique à Adjamé. Traitant le thème de cette conférence, à savoir : " contribution de la sage-femme dans l'application effective et efficiente des soins obstétricaux et néo-natals d'urgence ", il a notifié que la sage-femme étant la cheville ouvrière de la maternité, elle doit s'intéresser, outre la formation initiale, à celle dite post-universitaire. Pour qu'elle assure bien ses responsabilités. Car, dit-il, le métier de sages-femmes est un métier à risques. Le ministre d'Etat, ministre de la Santé et de la Population Albert Toikeusse s'est félicité de cette initiative qui, pense-t-il, améliorer a la qualité des sages-femmes. Profitant de cette occasion, il les a invitées à être plus sages en réservant aux malades ou parturientes un accueil qui peut soulager. Auparavant, la présidente de l'ASFI, Mme Kena Yoro Reine a indiqué que cette journée permet aux sages-femmes de se retrouver pour partager leurs expériences. EMMANUEL KOUASSI
Lire l'article original : http://www.fratmat.co.ci/story.asp?ID=19566

Conférence des ministres africains de la Santé : L'Afrique veut se doter d'une agence de contrôle de la qualité des médicaments - Le Soleil - Sénégal - 05/05/2003
Les ministres africains, réunis à Tripoli, en Libye, ont insisté sur la nécessité de créer une agence panafricaine de contrôle de la qualité des médicaments en vue de coordonner les efforts de coopération dans ce domaine. Ils ont recommandé l'accroissement des ressources internes au secteur de la santé, à hauteur de 15 % du budget de chaque Etat, et suggéré la mise en oeuvre de politiques susceptibles de créer un environnement favorable à la participation du secteur privé dans le développement du secteur. Lire la suite

HOPITAL DE NINEFESCHA : Une aberration au milieu des montagnes - Walfadjri - Sénégal - 05/05/2003
"C'est de la pure folie. C'est scandaleux !", n'arrêtent pas de fulminer certains à propos de l'hôpital de Ninéfescha. Une infrastructure nec plus ultra jetée en plein milieu des montagnes, gérée par un médecin-colonel, qui accueillera les "haut des en haut", mais dont les populations locales ne pourront pas bénéficier. Lire la suite

L'épidémie de pneumonie virale : "Une contamination de l'Afrique serait catastrophique", selon l'OMS - Le Soleil - Sénégal - 05/05/2003
L'Afrique "ne peut pas se permettre" d'être infectée par l'épidémie de pneumonie atypique car "les conséquences seraient dévastatrices" pour le continent et pour le reste du monde, a souligné vendredi l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Une des hantises de l'OMS est que la maladie s'implante durablement dans des pays en développement dont le système de santé est précaire ou déficient, a expliqué Christine McNab, une porte-parole de l'OMS. Ce serait d'autant plus dramatique qu'il existe actuellement une opportunité, d'une durée limitée, d'éradiquer la maladie si on fait les efforts nécessaires, a-t-elle réaffirmé, citant l'exemple du Vietnam. "On a l'occasion de contenir (le virus), il faut la saisir". "Nous n'avons pas d'autre choix que de travailler aussi dur que possible pour stopper cette maladie à temps et la renvoyer dans la nature", a déclaré David Heymann, chef du département des maladies transmissibles à l'OMS, au cours d'une conférence par téléphone avec des journalistes. "Si (le SRAS) devient une maladie des pays en développement que nous ne pouvons pas contenir efficacement, certains de ces pays vont la propager partout dans le monde de manière régulière", a-t-il ajouté. Un vaccin anti-SRAS "ne serait pas nécessairement la réponse, car il serait difficile de l'introduire dans les pays africains", faute d'un réseau médical suffisant, a expliqué Mme McNab. Dans ce contexte, elle s'est félicitée de la volonté des pays de l'Union africaine, exprimée jeudi par leurs ministres de la Santé réunis à Tripoli, de redoubler de vigilance face au Syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Un seul cas de SRAS a été recensé pour le moment sur le continent africain, en Afrique du Sud. Le patient, un homme d'affaires sud-africain de 62 ans, diagnostiqué début avril, est décédé mardi soir à Pretoria. "L'Union africaine ne peut pas se permettre d'avoir le SRAS car les conséquences seraient dévastatrices (...), on ne peut pas prendre le risque de le voir devenir endémique dans ces pays-là", a déclaré Mme McNab. Elle a rejeté l'idée que le virus ne résiste pas à la chaleur, ce qui le rendrait inopérant en Afrique: "on ne peut pas le confirmer, ce serait idéal, mais on ne peut pas prendre ce risque", a-t-elle dit. Elle a également rejeté le parallèle avec d'autres épidémies qui font beaucoup plus de victimes en Afrique comme la fièvre hémorragique Ebola. Le virus Ebola "touche une petite région au Congo (..), un endroit où l'on ne trouve pas de voyageurs internationaux" susceptibles d'exporter la maladie, a-t-elle expliqué. "Ce n'est pas la même menace".
Lire l'article original : http://www.lesoleil.sn/santeenv/article.cfm?articles__id=26693

DOCTEUR IBRA NDOYE : "Une conscience positive se développe contre le sida à Matam" - Walfadjri - Sénégal - 04/05/2003
Matam dispose de son comité régional de lutte contre le sida. Installé le 30 avril dernier, il va aider à la meilleure prise en charge d'une épidémie dont la forte prévalence dans la région est beaucoup liée à la forte émigration. Dans une zone où on trouve une forte prévalence du Vih/sida, le docteur Ibra Ndoye coordonnateur du Conseil national de lutte contre le sida fait le point. Lire la suite

Direction de la santé Antananarivo - L'express - Madagascar - 03/05/2003
Deux journées Portes ouvertes seront organisées par la direction provinciale de la Santé d'Antananarivo (Dps) les 6 et 7 mai, prochains dans l'enceinte du centre hospitalo-universitaire Joseph Ravoahangy Andrianavalona, sis à Ampefiloha. Ces manifestations seront destinées à faire connaitre au public et aux organismes partenaires les activités et les différentes structures de la Dps ainsi que les services rattachés à cette direction, dirigée par Dr Norolalao Ralitera Rakotondrafara. Il s'agit aussi d'une campagne d'information ayant pour stratégie d'effectuer une meilleure approche des usagers, d'améliorer la qualité de service et d'obtenir la collaboration de la population tananarivienne. A ces journées, le public aura l'opportunité de connaître les activités de la Dps d'Antananarivo qui dispose 11 centres hospitalo-universitaires (Chu), 15 centres hospitaliers de district niveau I (ChdI), 5 centres hospitaliers de district niveau II (Chd II), 146 centres de santé de base niveau I (CsbI), 297 centres de santé de base niveau II (CsbII). Ces manifestations seront suivies de l'inauguration d'un Csb II et de la présentation des nouveaux médecins inspecteurs dans la région d'Imerintsiatosika. : Ramalala
Lire l'article original : http://www.lexpressmada.com/article.php?id=11987&r=4&d=2003-05-03

Lutte contre le sida : "Renaissance Santé Bouaké", lauréate du prix Waly Diop - Fraternité Matin - Côte d'Ivoire- 03/05/2003
Mme Christine Nébout Adjobi, ministre de la Lutte contre le sida, a présidé hier à l'hôtel Novotel la cérémonie de remise du prix Waly-Diop 2002, en compagnie de l'ambassadeur du Canada en Côte d'Ivoire, SEM Emile Gauvreau. L'ONG Renaissance Santé Bouaké (RSB), récipiendaire du prix, a été chaleureusement félicitée pour son succès obtenu grâce à un micro projet intitulé " La mutuelle santé des femmes libres de Bouaké". Le prix Waly-Diop mis sur pied par le Centre de coopération internationale en santé de développement (CCISD) situé au Canada, a pour but de " stimuler et de reconnaître publiquement l'excellence et l'originalité de micro projets de lutte contre les IST/SIDA, réalisés par des organismes communautaires soutenus par le projet Sida-3". Le projet présenté par RSB a été motivé par " les difficultés de prise en charge constatées au sein des travailleuses du sexe lors de leurs activités sur le terrain", dira le président exécutif, M. Diomandé Oouhi, Entre autres résultats, il a renforcé l'esprit de solidarité, d'entraide et une certaine chez elles et favoriser une meilleure accessibilité aux soins IST. Considéré, à juste titre par le coordonnateur du CCISD, M. Petit-Jean Zerbo, comme un " exemple de réussite ", ce projet permet à RSB de gagner avec ce prix la coquette somme de deux millions de francs. ELVIS KODJO
Lire l'article original : http://www.fratmat.co.ci/story.asp?ID=19461

Lutte contre le paludisme : Le "Dar Al Kuran" de Cheikh Mariama Niass s'implique - Le Soleil - Sénégal - 03/05/2003
Le Daral Al Kuran Al Karim de Cheikha Mariama Ibrahima Niass était vendredi au centre de la célébration de la Journée africaine contre le paludisme. La célèbre institution éducative, qui accueille actuellement 1.367 élèves, du préscolaire au cycle secondaire, a été ciblée du fait qu'elle accueille de nombreux enfants venus recevoir l'enseignement général, mais aussi religieux, en matière islamique. C'est sa fille, Mme Assi Kane, accompagnée du directeur de l'établissement, M. Mohamed Kane, qui a accueilli le ministre de la Santé, de l'hygiène et de la Prévention, le Pr. Awa Marie Coll Seck, et sa délégation composée de partenaires au développement appuyant le programme sénégalais de lutte contre le paludisme, dont notamment l'UNICEF, l'OMS, l'USAID, la JICA, etc. Le ministre de la Santé, comme lors des autres étapes de sa tournée de remise de dons de moustiquaires à des institutions sanitaires et éducatives, pour célébrer cette journée de sensibilisation contre les méfaits de l'endémie palustre, a expliqué l'importance de ce combat sanitaire et l'utilité pour les populations de comprendre qu'il existe des moyens de prévenir et de traiter le paludisme, pour peu que l'on s'y prenne tôt. Pour sa part, Mme Assi Kane, a magnifié ce geste en expliquant admirablement "qu'honorer l'enfant, le soigner, le doter des instruments moraux, religieux et pratiques qui, demain, vont lui ouvrir les portes de l'avenir, c'est investir dans le futur". Elle a précisé que "les enseignements du Dar Al Kuran ont pour finalité de former les enfants pour en faire des citoyens imprégnés des valeurs morales et spirituelles qui les rendent tolérants et solidaires, mais aussi de les armer du savoir et du savoir-faire qui leur permettront d'assumer un rôle actif dans le processus de développement économique, social et culturel de leur pays". Elle a indiqué, au nom de Cheikha Mariama Niass, que son institution est partie prenante dans tout programme de sensibilisation et d'information visant à rendre plus efficace la lutte contre les grandes endémies qui affectent la santé publique et, partant, diminuent la productivité du citoyen". F. DIAW
Lire l'article original : http://www.lesoleil.sn/recherche/article.CFM?article__id=26645&article__edition=9875

1.500.000 dollars américains de l'Unicef pour la lutte préventive contre la malaria en R.D.C. - Digitalcongo - RD Congo - 30/04/2003
Dans le cadre de cette lutte préventive contre le paludisme, l'Unicef a remis au gouvernement congolais un important lot de 500 moustiquaires pour les habitants de Ankoro et de Manono, au nord Katanga. Lire la suite

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