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04/09/2007 | La nouvelle expression | Cameroun
Cette option a conduit à l'augmentation des effectifs dans les premières années dont les effectifs passent, dans l'ensemble des trois facultés de Buéa, Yaoundé I et Douala, de 165 à 465 places. Ce n'était plus qu'un secret de polichinelle. Le doyen de la faculté de médecine et des sciences biomédicales l'avait déjà annoncé le 2 août dernier. Le gouvernement a pris la décision d'augmenter l'offre en formation des personnels sanitaires avec notamment, la création, à la faculté des sciences biomédicales de l'université de Yaoundé I, de deux filières de formation dont une de pharmaciens et l'autre de chirurgiens dentistes. Le communiqué de presse du ministre de l'Enseignement supérieur qui confirme cette information indique une augmentation du nombre de places dont de la capacité d'accueil en première année, dès la rentrée prochaine dans les facultés de médecines des universités d'Etat. L'offre passe de 165 à 465 places.
Mots clés : nouvelle filière, pharmacien, chirurgien dentiste
04/09/2007 | Cameroon tribune | Cameroun
Des fauteuils roulants, des tables de soins, des lits… offerts
samedi dernier par le directeur général de la CNPS. Les installations
brillent de mille feux et on pourrait croire que les bâtiments viennent
d’être construits. Pourtant, l’hôpital central d’Enongal
(Ebolowa) a été créé il y a plus de trente ans.
Son nouveau visage est le résultat de l’implication de la Caisse
nationale de prévoyance sociale (CNPS), dans le cadre de son volet "
Action sanitaire et sociale ". La cérémonie officielle de
remise de dons en équipements médicaux et en mobiliers, à
l’occasion d’un culte d’action de grâce, a eu lieu samedi
dernier à Enongal. Aux côtés du directeur général
de la CNPS, Louis Paul Motaze, le gouverneur de la province du Sud, Bernard
Wongolo, a remercié la structure sociale pour son implication dans le
renouveau de l’hôpital. " Nous étions au bord du gouffre.
Quand on sait dans quel état de décrépitude se trouvait
l’hôpital, on ne peut que remercier la CNPS ", a-t-il déclaré.
Mots clés : don, hôpital
04/09/2007 | Cameroon tribune | Cameroun
Andréa Gwé Fontem, président exécutif mondial
de l’Alliance internationale des tradipratriciens. Quelle différence
faites-vous entre les vrais et les faux tradipraticiens ? L’Alliance a
pour rôle d’aider à distinguer les vrais tradipraticiens
des faux. Dans toutes les professions, il y a des brebis galeuses que nous combattons.
Les vrais tradipraticiens sont ceux qui ont été initiés
ou qui ont reçu ce don de leurs parents. Au niveau de l’Alliance,
nous avons mis sur pied une carte de membre. Et nous faisons des enquêtes
avec l’aide de la police pour savoir si vous avez été initié
ou si vous l’avez hérité de votre père. Si oui, on
cherche à connaître votre spécialité et nous faisons
des enquêtes pour savoir si vous traitez réellement cette maladie.
Et nous le mentionnons sur votre carte. Les vrais tradi-patriciens sont ceux
qui ont été initiés. C’est sur cette base que nous
savons que vous êtes réellement un vrai tradipatricien.
Mots clés : tradipraticien
04/09/2007 | Cameroon tribune | Cameroun
Le secrétaire d’Etat au Minsanté a annoncé
vendredi dernier qu’un avant-projet de loi organisant la médecine
traditionnelle serait proposé à l’Assemblée nationale.
Une salve d’applaudissements retentit dans l’Amphi I de la Faculté
de Médecine et des sciences biomédicales de Yaoundé quand
le secrétaire d’Etat à la Santé publique, Alim Hayatou
annonce aux nombreux tradi-praticiens présents dans la salle qu’un
avant-projet de loi portant sur l’organisation et l’exercice de
la médecine traditionnelle au Cameroun sera très prochainement
soumis à l’Assemblée nationale. Un avenir radieux se dessine
alors pour les tradi-thérapeutes si longtemps en quête de reconnaissance
officielle. L’annonce a été faite à l’occasion
de la célébration de la cinquième journée africaine
de la médecine traditionnelle. Pour Alim Hayatou, cette étape
est un pas important dans l’assainissement de la profession qui a longtemps
sombré dans les méandres du charlatanisme. Ceci, afin d’améliorer
la santé de tous les Camerounais et de valoriser la riche pharmacopée
dont regorge le sol camerounais.
Mots clés : tradipraticien
30/07/2007 | Cameroon tribune | Cameroun
Les capacités de l’hôpital de district d’Akonolinga
renforcées grâce à un bâtiment inauguré vendredi
par le Minsanté. Ambiance toute spéciale vendredi dernier à
l’hôpital de district d’Akonolinga. Ce jour était celui
de l’inauguration d’un nouveau bâtiment pour le " Pavillon
Buruli ", fruit de la coopération médicale et sanitaire entre
le Cameroun et Médecins sans frontières Suisse (Msf Suisse). L’ouvrage,
dont la réalisation a coûté 48 millions de francs Cfa et
qui couvre quelque 400 mètres carrés — selon l’entrepreneur
approché par CT —, vient accroître les capacités de
l’hôpital, où, depuis 2002, Msf Suisse a développé
le pavillon susmentionné. Il est censé améliorer la qualité
des soins et augmenter la capacité d’hospitalisation, et offre
notamment des salles pour les pansements, la physiothérapie, la consultation
et une pharmacie.
Mots clés : ulcère de Buruli
30/07/2007 | Cameroon tribune | Cameroun
Le personnel médical travaillant dans les maternités de
Maroua a suivi une formation sur la question à l’hôpital
provincial jeudi dernier. Le témoignage du Dr Tebeu Pierre Marie, gynécologue
et obstétricien, qui travaille au quotidien avec les femmes à
l’hôpital provincial de Maroua est poignant. Le médecin responsable
du service de gynécologie explique que beaucoup de femmes meurent en
obstétrique à Maroua, au moment de la délivrance, ou mieux
de l’accouchement, par saignement abondant. Selon les statistiques, une
femme sur cinq à Maroua meurt des suites de " l’hémorragie
pendant et ou après l’accouchement ". Dans les détails,
le Dr Tebeu révèle avec chiffre à l’appui que "
l’infection se produit souvent comme complication d’une hémorragie
postpartum compliquée par une révision utérine.
Mots clés : accouchement
26/07/2007 | Cameroon tribune | Cameroun
Le Mincom et le Minsanté veulent donner aux informations sur
la santé dans les médias, une dimension de premier plan. En donnant
le quitus en mi-juin dernier à la création d’un Réseau
des journalistes du secteur de la santé (Rejoss), à l’issue
d’un atelier de formation, le ministre de la Santé publique Urbain
Olanguena et le ministre de la Communication représenté par le
ministre délégué Gervais Mendo Ze donnaient le coup d’envoi
d’un plaidoyer auprès des médias. Il s’agit-là,
selon un communiqué conjoint Mincom-Minsanté signé le 16
juillet dernier, des dispositions entrant " dans le cadre de la politique
du chef de l’Etat en matière de santé, en application des
prescriptions du PM sur la mise en œuvre de la stratégie sectorielle
de santé ".c
Mots clés : communication, santé
19/07/2007 | Cameroon tribune | Cameroun
En quatre jours, le bilan des opérations des médecins
saoudiens en séjour dans le chef — lieu de la province de l’Extrême
— Nord la semaine dernière est de 233 patients consultés
et 114 malades opérés. Il s’agissait d’une équipe
de 10 personnes dont neuf médecins et un administrateur, Abdoul Djabar,
par ailleurs chef de cette mission. Cette visite de travail rentre en droite
ligne de la coopération bilatérale Cameroun- Arabie Saoudite.
Les populations de l’Extrême — Nord ont encore eu ce privilège
de recevoir gracieusement des soins de ces médecins membres de la WAMY,
cette association internationale basée en Arabie Saoudite. La WAMY, faut
— il le noter, n’intervient pas exclusivement dans le domaine de
la santé. Cela n’enlève rien au fait que le Cameroun figure
sur la liste des pays qui entretiennent une collaboration soudée avec
cette association sur le plan de la santé.
Mots clés : spécialiste
16/07/2007 | Cameroon tribune | Cameroun
La vue c’est la vie. Le célèbre slogan a encore
pu se vérifier chez Henri B. Son histoire relève tout simplement
du miracle. Depuis 29 ans, ce jeune homme de 35 ans avait perdu tout espoir
de recouvrer la vue. Il vivait dans le noir le plus total. Pire, marié
depuis cinq ans, avec Micheline, il n’avait jamais pu apprécier
le visage de sa tendre épouse. Il a fallu que la science lui sourie à
travers cette équipe médicale d’ophtalmologues tunisiens,
arrivés au Cameroun la semaine dernière pour la campagne de lutte
contre les cécités curables, organisée par l’Hôpital
central de Yaoundé (HCY), avec l’appui financier de la Banque islamique
de développement (BID) et l’ambassade de Tunisie au Cameroun. Vendredi
dernier, comme Henri B, de nombreux patients ont tenu à exprimer leur
joie à cette équipe médicale, au cours de la cérémonie
de clôture de la campagne. Un bilan a été dressé.
Au total, 269 patients ont été opérés et ont recouvré
la vue. " Un record en une semaine. Cette campagne a participé à
rehausser l’image de notre institution. Nous tenons à remercier
nos confrères tunisiens qui ont tenu à faire profiter leurs talents
à nos patients ", a lancé le directeur de l’HCY, le
Pr. Magloire Biwolé SIDA, au cours de son allocution.
Mots clés : ophtalmologue
16/07/2007 | Cameroon tribune | Cameroun
L’éclairage du Dr Mohamed Hechmi Hendili, chef de l’équipe
des ophtalmologues tunisiens. Pouvez-vous faire un bilan de votre campagne ?
Jusqu’à vendredi dernier, nous avons opéré 269 malades.
En arrivant ici, on pensait opérer environ 350 et 400 malades. Jeudi
par exemple, nous avons opéré 81 malades. Si on avait pu le faire
chaque jour, pendant les cinq jours, on aurait atteint facilement le nombre
400. On en a opéré moins parce qu’il n’y avait pas
assez de malades à opérer. Je ne peux pas vous dire pour quelles
raisons il n’y en avait pas assez. A priori, cette campagne a satisfait
beaucoup de monde, que ce soit les autorités sanitaires, que ce soit
nos collègues et le personnel médical du service d’ophtalmologie
de l’hôpital central de Yaoundé. Nous repartons sachant que
les malades aussi sont satisfaits et très contents. Ce qui veut dire
qu’il y aura probablement d’autres campagnes ici au Cameroun, et
si elles sont préparées longtemps à l’avance, c’est
sûr que nous allons opérer beaucoup plus de malades que cette fois.
Mots clés : ophtalmologue, chirurgie
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