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Lutte contre les maladies non transmissibles : une enquête pour jauger le phénomène à Ouagadougou

Sidwaya | Burkina Faso | 01/10/2013 | Lire l'article original

Le ministère de la Santé a lancé, le vendredi 27 septembre 2013 à Ouagadougou, la phase de collecte des données de l’enquête sur les facteurs de risque communs aux maladies non transmissibles. C’est la capitale burkinabè, Ouagadougou, qui a été choisie pour entamer l’enquête sur les facteurs de risque communs aux maladies non transmissibles, le vendredi 27 septembre 2013.

Pour l’occasion, une délégation composée des cadres du Ministère de la santé, avec à sa tête, le ministre Lené Sebgo, la représentante de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) au Burkina Faso, Dr Djamila Cabral, les premiers responsables de la région du Centre dont le gouverneur, Georges Compaoré, est allée constater le démarrage effectif de l’opération.
Pour cette première journée, deux ménages ont été visités dans le district de Boulmiougou. Sur les lieux, le ministre a rappelé que l’enquête vise à recueillir des données concernant les maladies non transmissibles comme le diabète, l’hypertension, le cancer ou encore les maladies respiratoires. Et l’objectif principal, selon lui, est d’avoir des données qui vont permettre de prendre en compte les maladies non transmissibles dans notre système. Il a, par ailleurs, rassuré que les normes ont été respectées, afin de rendre les résultats de l’enquête fiables. Les maladies non transmissibles vont constituer, selon les études de l’OMS, 60% des cas de mortalité dans le monde d’ici à 2020. Et 80% de ce taux de mortalité viendraient des pays comme le Burkina Faso, a laissé entendre M. Sebgo.

Cette enquête recommandée par l’OMS, répond aux objectifs, aux dires de sa représentante Djamila Cabral, de disposer de données fiables d’une part et d’établir des politiques, des stratégies ou des plans d’action pour lutter contre les maladies non transmissibles, d’autre part. L’apport de l’OMS, à cette première phase, selon Djamila Cabral, a été de mettre à la disposition de l’Etat burkinabè des moyens financiers, du matériel et du personnel. L’autre soutien consiste pour elle à, « offrir des moyens, en termes d’expertise pour mieux exploiter les données et définir la meilleure politique pour le Burkina Faso ». La phase de mise en œuvre de cette politique va dépendre essentiellement du gouvernement burkinabè qui sera appuyé par des partenaires techniques et financiers, a-t-elle ajouté.

Cette enquête va durer 44 jours et porte sur 4800 ménages réparties dans les 13 régions du Burkina. Pour assurer le bon déroulement de l’étude, 41 agents ont été formés et regroupées en 21 équipes. Ces agents, exerçant dans le domaine de la santé, ont été formés à la collecte des informations statistiques.

Ainsi, le questionnaire dont dispose ces agents enquêteurs comporte trois parties. La première partie concerne l’identité de l’enquêté, les données physiques que sont le poids, la taille et la tension artérielle viennent dans la seconde partie. Quant à la dernière partie, elle porte sur les données biochimiques qui s’obtiendront, à travers un prélèvement sanguin chez les différents enquêtés.

Selon le gouverneur de la région du Centre, Georges Compaoré, le Centre compte 560 ménages qui vont être visités par les agents enquêteurs. Pour la bonne marche et la réussite de l’activité, Georges Compaoré a lancé un appel à toute la population à se mettre à la disposition des agents enquêteurs. Parce que pour lui : « la santé n’a pas de prix et c’est parce qu’on est en bonne santé qu’on peut vaquer à ses occupations ».

Somborigna Djélika DRABO
Boubié Gilbert BAZIE

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