Nous venons de tenter une première expérience. Même s’il y avait un centre de dépistage, c’est pénible de dépister les gens sans être capable de les prendre en charge», a déclaré le docteur Léon Mbikayi. D’après ce dernier 12% de femmes séropositives à Dekese, il y a de quoi s’inquiéter. «C’est beaucoup, par rapport aux statistiques en la matière dans notre pays. Je lance un cri d’alarme. Les gens doivent comprendre qu’il y a un problème très sérieux à Dekese. Ils doivent ainsi prendre leurs responsabilités, à tous les niveaux», a conclu le médecin en s’adressant particulièrement au gouvernement et aux partenaires nationaux et internationaux.

Par Véron-Clément Kongo

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